Midis de l'ARES

En lien avec l’augmentation du niveau d’études et les politiques européennes de soutien à la recherche pour construire une société de la connaissance, le doctorat, le diplôme le plus élevé dans l’espace de qualification, est de plus en plus attractif. Il concerne des milliers de personnes en Fédération Wallonie-Bruxelles.

L’internationalisation est au cœur des développements de l’enseignement supérieur depuis plus de trois décennies. L’Association Internationale des Universités (AIU) publiera dans les prochaines semaines les résultats de la 5e enquête mondiale sur l’internationalisation de l’enseignement supérieur. Cet exercice unique permet de s’interroger sur les tendances observées aujourd’hui au niveau mondial, national, régional et institutionnel. Mais ce bilan permet aussi d’identifier de nombreux défis et opportunités pour demain… également en Fédération Wallonie-Bruxelles (FWB).

Depuis le début des années 2000, le monde est plus numérique et immatériel que jamais. L’internet, les smartphones, le cloud, les data, les vélos électriques, les énergies renouvelables révolutionnent notre manière de communiquer, de consommer, de produire, de nous éduquer, de travailler, de nous déplacer, de nous soigner… bref, de vivre.  Et cela peut séduire.

Dans le cadre du projet « VAE 2020 » mis en oeuvre en Fédération Wallonie-Bruxelles avec le soutien financier du le Fonds social européen, les universités participantes ont réalisé des actions en faveur du développement de l’accès à l’enseignement supérieur par la valorisation des acquis de l’expérience (VAE). Après une décennie d’activités, l’heure est au bilan : Quels sont les résultats ? Qui sont les bénéficiaires de la VAE ? Quels sont leurs parcours ? Quels liens avec le marché de l’emploi ? Et quelles perspectives pour la VAE dans l’enseignement supérieur ?

La mobilité internationale est devenue aujourd’hui un enjeu majeur pour les chercheur·e·s comme pour les établissements d’enseignement supérieur. Si beaucoup est fait pour l’encourager, tous les domaines de recherche n’offrent pas les mêmes opportunités et la mobilité elle-même se révèle parfois difficilement compatible avec la vie privée et familiale. Où en est-on en Fédération Wallonie-Bruxelles ? Quelles formes cette nécessaire mobilité peut-elle prendre et existe-t-il des alternatives crédibles à la mobilité de longue durée ?

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