Un vélo cargo pour notre récupérathèque superfaktur

La Cambre souhaite poursuivre et développer son engagement en faveur de l’éco-responsabilité et du développement durable en augmentant l’équipement de la récupérathèque de matériaux SuperFaktur mise en place grâce au soutien de l’ARES lors des Appels à projets Développement Durable 2019 et 2020.

L’objectif du projet est de réduire la production de déchets au sein de notre école d’arts et d’encourager le réemploi, tout en fortifiant les liens sociaux et de solidarité au sein de la Cambre.

L’ENSAV – La Cambre a la particularité d’être une école sur 3 sites ce qui rend la collecte et la logistique parfois peu pratique. Nous souhaitons donner encore davantage d’ampleur au projet de la récupérathèque qui nous tient particulièrement à cœur dans la mesure où il défend une économie circulaire, une forme de solidarité entre les étudiants et réduit drastiquement le gaspillage des ressources encore trop présent dans notre école (au regard des containers remplis chaque année de matériel encore utilisable).

Afin de pouvoir continuer le travail colossal qu’est celui de SuperFaktur, il nous semble indispensable de pouvoir les doter d’un outil supplémentaire que représente un vélo cargo.

L’ENSAV – La Cambre dispose d’une camionnette mais qui est déjà fort occupée par les équipes techniques et le fonctionnement général de l’école. Un vélo cargo représente une alternative plus adaptée à des volumes plus petits et à une mobilité douce et non productrice de CO2 que nous souhaitons privilégier. Cette dynamique rentre dans une perspective plus large où l’ENSAV souhaite encourager le transport en vélo d’une part pour alléger la pression automobile sur le site classé de l’Abbaye mais aussi pour réduire durablement les émissions de gaz à effet de serre.

Un vélo cargo nous semble l’outil indispensable pour faire le lien entre les étudiants, entre les différents ateliers, entre les ateliers et la récupérathèque, entre la récupérathèque et ses partenaires, entre les différentes récupérathèques de la région et pouvoir permettre à la récupérathèque une réelle autonomie dans l’accomplissement de ses missions.

Cette plus grande liberté permettra aussi d’explorer d’autres réseaux, d’autres contacts, d’autres fournisseurs de matériaux, donateurs de ressources et facilitera une autre ampleur au projet en pouvant diversifier les ressources.