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Futur de l’enseignement supérieur : 16 experts réfléchissent « out of the box » pour émettre des propositions innovantes et originales. Ils auront un an pour « plancher » sur les principaux défis de l’enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles à l’horizon 2030 et faire des propositions d’actions concrètes qui devront s’écarter des cadres actuels.
Seize personnalités européennes, choisies par l’ARES pour leur expertise en matière d’enseignement supérieur et de recherche, tiennent leur première réunion ce vendredi 18 mars.
Elles se pencheront notamment sur la place de l’enseignement supérieur dans le développement sociétal, sur sa massification – forcément liée à sa démocratisation, à son financement et à l’employabilité des diplômés –, sur son adéquation aux évolutions démographiques, ou encore sur ses « réponses » à la mondialisation ou aux développements technologiques comme le numérique.
Quelles pistes de réflexion ?
- Comment l’enseignement supérieur contribuera-t-il au mieux au développement de Bruxelles et de la Wallonie ?
- Comment concilier massification, démocratisation, financement et qualité de l’enseignement supérieur ?
- Quels impacts et quels atouts ont ou auront les développements technologiques, en particulier le numérique, sur les campus ?
- Comment résoudre la problématique du taux d’échec à l’entrée de l’enseignement supérieur – 50 à 60 % en première année – et inciter les étudiants à poursuivre leurs études au-delà du bachelier ?
- Comment développer la formation continue et renforcer l’apprentissage tout au long de la vie compte tenu des évolutions démographique ou du monde de l'entreprise ?
- Comment assurer la meilleure coordination possible entre acteurs socioéconomiques et établissements d’enseignement supérieur, ainsi qu’entre les établissements eux-mêmes ?
- Comment maintenir, en termes de moyens et de ressources, le profil élevé de la Fédération en matière d’assurance qualité de l'enseignement supérieur ?
- Enfin, comment dépasser la mobilité des étudiants et des chercheurs au profit d’une véritable politique d’internationalisation intégrée plus systématiquement dans la stratégie globale des établissements d’enseignement supérieur ?
Quels résultats attendus ?
Le collège a reçu de l’ARES une lettre de mission qui définit les objectifs, fixe les délais et précise les résultats attendus.