Prix Philippe Maystadt 2024-2025
L'appel à candidatures est ouvert.
Ouverture : 19 mai 2025.
Date limite : 15 octobre 2025.
EN SAVOIR + : voir « Tous les détails de l'appel » ci-dessous.
Valoriser et stimuler, dans les établissements d'enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles, les travaux de recherche et de fin d'études menés sur l'enseignement.
L'objectif du Prix Philippe Maystadt pour l'enseignement de demain ? Récompenser les meilleurs travaux de fin d'études, de bachelier, de master et de doctorat d'étudiantes et d'étudiants en Fédération Wallonie-Bruxelles (Belgique), qui couvrent les différentes dimensions de l'enseignement, avec un focus particulier sur l'enseignement supérieur et qui soient potentiellement transposables à l'échelle de la Fédération Wallonie-Bruxelles.
Le Prix rend hommage à Philippe Maystadt, ministre d’État et ancien président du Conseil d’administration de l’ARES, décédé le 7 décembre 2017, pour sa contribution active en faveur de l'enseignement et de la recherche en Fédération Wallonie-Bruxelles.
Qui sont les lauréats et lauréates des années précédentes ?
- Prix BAC : Yasmine GAÏED, HEH, « Comment lutter contre la violence dans l’enseignement primaire? Quels dispositifs à mettre en place? »
- Prix MASTER : Laurence DE WILDE, ULB, « L’alternance codique, une stratégie d’apprentissage et d’enseignement dans l’enseignement du français en milieu néerlandophone »
- Prix DOC : Jérémy DEHON, UNamur, « L’équation chimique, un sujet d’étude pour diagnostiquer les difficultés d’apprentissage de la langue symbolique des chimistes dans l’enseignement secondaire belge »
Découvrez les résumés des travaux de la première édition du Prix Philippe Maystadt pour l'enseignement de demain.
- Prix BAC : Marie LAMERANT, Margot PISCINA et Nadège RASE, HEVinci, « L’enfant TDAH et l’argile. Réflexion autour de la création et de l’implémentation d’un dispositif artistique à destination des enfants TDA(H) dans l’enseignement ordinaire (cycle 3) »
- Prix MASTER : Léonore LEBOUTEILLE, ULB-Solvay Brussels Schools of Economics & Management, « Cadeau empoisonné ? Analyse de l’impact du décret Paysage sur le succès des étudiants à l’université »
- Prix DOC : Marie BOCQUILLON, UMons, « Quel dispositif pour la formation initiale des enseignants ? Pour une observation outillée des gestes professionnels en référence au modèle de l’enseignement explicite »
Découvrez les résumés des travaux de la deuxième édition du Prix Philippe Maystadt pour l'enseignement de demain.
- Prix BAC : Sophie MARCUZZI et Lola GREITMANN, HEL, « L'apport d'un site Internet de référencement de ressources serait-il un outil pertinent pour améliorer la pratique professionnelle des (futurs) enseignants de Philosophie et citoyenneté ?»
- Mention BAC : Roxane DESQUENE, HELHa, « « Fa Si La lire » Comment faciliter l’entrée dans l’écrit grâce aux neurosciences ? »
- Mention BAC : Alexis GENIESSE, HENaLLux, « L’homophobie au pied du mur Comment, avec des élèves de l’enseignement secondaire, déconstruire les stéréotypes liés à l’homosexualité afin d’amener plus d’ouverture ? »
- Prix MASTER : Alice BROGNIAUX, ULB – Solvay Brussels Schools of Economics & Management, « Biais de genre dans l’évaluation de l’apprentissage : Questions à choix multiples notées avec des points négatifs »
- Prix DOC : Doriane JAEGERS, ULiège, « Les aspirations aux études et carrières à forte composante mathématique : quels leviers motivationnels et pédagogiques pour les filles et les garçons ? Étude menée auprès d'élèves de 5e et 6e années de l'enseignement secondaire de transition en Fédération Wallonie-Bruxelles »
- Mention DOC : Marie DUMONT, UMons, « Pour un enseignement efficient de l’orthographe en formation initiale des enseignants »
Découvrez les résumés des travaux de la troisième édition du Prix Philippe Maystadt pour l'enseignement de demain.
- Prix BAC : Thibault DENIS, HEPHC, « Méthode de recherche, au sein de la littérature scientifique, employée par l'infirmier »
- Mention BAC : Charlotte SAMAIN, HEG, « Quels outils utiliser pour enseigner l'oral du quotidien dans le cadre du cours de français au premier degré ? »
- Prix MASTER : Émilie EECHAUTE, IAD, « Prêter notre voix à la poésie de femmes belges. Comment, par le biais de la création, visibiliser la poésie de femmes belges d’expression francophone du XXe siècle ? »
- Prix MASTER : Laura LEONETTI, UMons, « L’impact de l’inclusion des enfants aux besoins extra-ordinaires dans l’architecture scolaire »
- Mention MASTER : Christophe BACO, UMons, « Évolution de la mise en œuvre de l’enseignement explicite par une institutrice primaire soutenue par un dispositif de formation et de coaching. Une étude de cas »
- Prix DOC : Émilie COLLETTE, UCLouvain, « Analyse des différents profils d’étudiants présentant une dyslexie et de la qualité de leurs représentations lexicales »
- Prix DOC : Jacinthe DANCOT, ULiège, « Contribution à l’exploration de l’estime de soi des étudiants infirmiers et de son lien avec le développement de la compétence clinique »
Découvrez les résumés des travaux de la quatrième édition du Prix Philippe Maystadt pour l'enseignement de demain.
- Prix BAC : Valentine DEHEM, HEG-ISPG, « Le conflit de loyauté entre cultures familiales et scolaires. Comment les enseignants perçoivent et traitent le conflit de loyauté ressenti par les élèves venant de cultures familiales différentes de celles de l’école ? Etude de cas réalisée dans une école à discrimination positive à Bruxelles »
- Mention BAC : Claire KOZAK, HEH, « La double transition écologique et numérique à l’école primaire. Comment sensibiliser les enfants du cycle 4 à l’impact du numérique sur l’environnement ? »
- Prix MASTER : Mathieu DEMARETS, ULB, « Analyse de l’impact direct et indirect de l’examen d’entrée en sciences médicales et dentaires de la Fédération Wallonie-Bruxelles sur le mix social des étudiants »
- Mention MA : Céline CHOMÉ, UCLouvain, « Représentations du phénomène de « violences gynécologiques et obstétricales » par les assistantes en spécialisation de gynécologie-obstétrique à l'UCLouvain »
- Prix HD : Denis BERTIEAUX, UMONS, « Le bien-être des enseignants en Fédération Wallonie-Bruxelles et au Québec en relation avec le concept de capital psychologique »
- Prix DOC : Audrey RENSON, ULiège, « Le débat de société public régulé en anglais langue étrangère en Belgique francophone. État des lieux sur les pratiques déclarées et expérimentation d’un enseignement explicite vs implicite du genre »
- Prix DOC : Cédric VANHOOLANDT, UNamur, « Conception d'outils diagnostiques et d'un entrainement du contrôle inhibiteur d'heuristiques en sciences. Aspects didactiques et transfert dans les disciplines scientifiques chez des adolescents en situation scolaire »
Découvrez les résumés des travaux de la cinquième édition du Prix Philippe Maystadt pour l'enseignement de demain.
- Prix BAC : Justine DUMONT, HERS, « Comment amener les élèves du cycle IV à surmonter leurs difficultés dans l’apprentissage des fractions ? »
- Prix MASTER : Estelle DESABLENS, UMONS, « Comment des enseignants ayant intégré l’enseignement secondaire qualifiant en seconde carrière sont-ils parvenus à persévérer dans l’enseignement ? »
- Mention MA : Artémis EFSTATHIOU, UCLouvain, « Quel corpus littéraire dans le secondaire supérieur ? État des lieux et enquête auprès de professeurs et d’élèves »
- Prix HD : Diane DOGNIAUX et Virginie DUBOIS, UCLouvain, « L’aventure en « mères ». Analyse comparative des obstacles à l’engagement rencontrés par des adultes en reprise d’études, parents et non parents, grâce à une approche qualitative »
- Mention HD : Amy HANNUZET, UCLouvain, « La satisfaction des besoins psychologiques fondamentaux au cœur du processus de transition vers l’enseignement supérieur. Évolution et rôle du soutien des professeurs sur l’engagement étudiant »
Découvrez les résumés des travaux de la sixième édition du Prix Philippe Maystadt pour l'enseignement de demain.
EN SAVOIR + : contactez le secrétariat du Prix Philippe Maystadt pour l'enseignement de demain - prix-maystadt@ares-ac.be.
Tous les détails de l'appel
Improving the accessibility of buildings for students with disabilities in higher education institutions in the Wallonia-Brussels Federation, including social advancement institutions offering higher education courses.
The Administrator
Laurent Despy has been the Administrator of ARES since July 2020.
Working with a team of more than seventy people, he oversees the administrative and financial management of ARES and supports the work of its Board of Directors and advisory bodies.
Graduated in journalism and communication from the Université libre de Bruxelles (ULB), Laurent Despy began his professional career as spokesperson for Philippe Busquin. He then became political secretary at the Parliament of the Wallonia-Brussels Federation. In 2003, he was appointed Government Delegate to the ULB. Subsequently, in 2007, he became Government Commissioner to the Université de Liège (ULiège). In 2011, he was elected administrator of the same university.
Laurent Despy defines himself as a facilitator. To meet the many challenges facing higher education (shortage of resources, competition in teaching and research, international and national pressure, access to quality education for as many people as possible, constant changes to regulatory frameworks, the digital revolution, etc.), he wants to serve institutions, build bridges between them and other players in higher education, and create the conditions for ongoing dialogue between their leaders.
Laurent Despy has been the Administrator of ARES since July 2020.
Working with a team of more than seventy people, he oversees the administrative and financial management of ARES and supports the work of its Board of Directors and advisory bodies.
Graduated in journalism and communication from the Université libre de Bruxelles (ULB), Laurent Despy began his professional career as spokesperson for Philippe Busquin. He then became political secretary at the Parliament of the Wallonia-Brussels Federation. In 2003, he was appointed Government Delegate to the ULB. Subsequently, in 2007, he became Government Commissioner to the Université de Liège (ULiège). In 2011, he was elected administrator of the same university.
Laurent Despy defines himself as a facilitator. To meet the many challenges facing higher education (shortage of resources, competition in teaching and research, international and national pressure, access to quality education for as many people as possible, constant changes to regulatory frameworks, the digital revolution, etc.), he wants to serve institutions, build bridges between them and other players in higher education, and create the conditions for ongoing dialogue between their leaders.
Most of this content is only available in French.
- Commission des bibliothèques et services académiques collectifs (CBS)
- Commission de la coopération internationale (CCI)
- Commission du développement durable (CDD)
- Commission de la formation continue et de l’apprentissage tout au long de la vie (COFOC)
- Commission genre en enseignement supérieur (COGES)
- Commission de l’information sur les études (CIE)
- Commission de la mobilité des étudiants et du personnel (COM)
- Commission pour la qualité de l’enseignement et de la recherche (COQER)
- Commission des relations internationales (CRI)
- Commission de l’aide à la réussite (CAR)
- Commission observatoire et statistiques (COS)
- Commission de la valorisation de la recherche (COVRI)
- Commission vie étudiante, démocratisation et affaires sociales (COVEDAS)
- Commission des bibliothèques et services académiques collectifs (CBS)
- Commission de la coopération internationale (CCI)
- Commission du développement durable (CDD)
- Commission de la formation continue et de l’apprentissage tout au long de la vie (COFOC)
- Commission genre en enseignement supérieur (COGES)
- Commission de l’information sur les études (CIE)
- Commission de la mobilité des étudiants et du personnel (COM)
- Commission pour la qualité de l’enseignement et de la recherche (COQER)
- Commission des relations internationales (CRI)
- Commission de l’aide à la réussite (CAR)
- Commission observatoire et statistiques (COS)
- Commission de la valorisation de la recherche (COVRI)
- Commission vie étudiante, démocratisation et affaires sociales (COVEDAS)
Le conseil d’orientation réunit essentiellement des personnalités extérieures et renommées notamment au niveau international en vue de conseiller le CA sur une meilleure organisation du système d’enseignement supérieur et sur une offre de cours évoluant avec les réalités socio-économiques, culturelles, scientifiques, artistiques et techniques.
This content is only available in French.
L’ARES accueille également :
- La Commission d’examen des plaintes d’étudiants relatives à un refus d’inscription (CEPERI)
- La Commission de l’enseignement supérieur inclusif (CESI)
- Le Comité Femmes et Sciences (CF&S)
- La Commission de coordination de la formation initiale des enseignants (FIE), de l'enseignement obligatoire, de promotion sociale et secondaire artistique à horaire réduit (COCOFIE)
- Le Conseil supérieur de la mobilité (CSM)
L’ARES accueille également :
- La Commission d’examen des plaintes d’étudiants relatives à un refus d’inscription (CEPERI)
- La Commission de l’enseignement supérieur inclusif (CESI)
- Le Comité Femmes et Sciences (CF&S)
- La Commission de coordination de la formation initiale des enseignants (FIE), de l'enseignement obligatoire, de promotion sociale et secondaire artistique à horaire réduit (COCOFIE)
- Le Conseil supérieur de la mobilité (CSM)
Le conseil d’orientation réunit essentiellement des personnalités extérieures et renommées notamment au niveau international en vue de conseiller le CA sur une meilleure organisation du système d’enseignement supérieur et sur une offre de cours évoluant avec les réalités socio-économiques, culturelles, scientifiques, artistiques et techniques.
/ ADDITIONAL INFORMATION
Starting date: 1st October 2013
End date: 30th September 2018
Evaluation period: July-October 2018
The Académie de recherche et d’enseignement supérieur (ARES) is the federation of Wallonia-Brussels federation higher education institutions. ARES is a public body in charge of supporting Universities and Superior Schools in their role in education, research and services to the community. ARES groups 6 universities, 16 superior schools (hautes écoles), 16 art superior schools, and 86 superior social promotion schools (établissements d’enseignement supérieur de promotion sociale); ARES promotes their dialogue and collaboration at national and international levels. ARES ensures the overall coordination of Wallonia Brussels higher education institutions.
In the frame of development and research projects (PRD) and education in the south projects (PFS), the academic partners have the possibility, after the completion of a project, to introduce a continuation project (projet de poursuite). The criteria for a continuation project are: (i) same location, (ii) same discipline/theme, (iii) same Belgium partner team, (iv) same South partner team. Conducting an external evaluation of the initial project, and including the results of this evaluation in the continuation project’s application, is a condition for ARES to grant a continuation project. This evaluation of the PFS project ‘Master in food technology, safety and quality management’ has been organized to comply with such requirement.
The expected results of this project were: 1) An advanced Master in "Food Technology, Safety and Quality Management” (FTSQM) is set up and taught at the HUA with partner universities (ULiège, UCLouvain, ITC, RUA and HUST) during 3 years, and 2) A junior teacher-researcher from the HUA improves her/his scientific skills related to food chain quality management issues. The (higher level) specific objective of the project is for Southeast Asian universities to strengthen their training –to students and professionals - and research capacities in the field of the food quality management all along the food chains, through a partnership for technical support with Belgium Universities.
The Académie de recherche et d’enseignement supérieur (ARES) is the federation of Wallonia-Brussels federation higher education institutions. ARES is a public body in charge of supporting Universities and Superior Schools in their role in education, research and services to the community. ARES groups 6 universities, 16 superior schools (hautes écoles), 16 art superior schools, and 86 superior social promotion schools (établissements d’enseignement supérieur de promotion sociale); ARES promotes their dialogue and collaboration at national and international levels. ARES ensures the overall coordination of Wallonia Brussels higher education institutions.
In the frame of development and research projects (PRD) and education in the south projects (PFS), the academic partners have the possibility, after the completion of a project, to introduce a continuation project (projet de poursuite). The criteria for a continuation project are: (i) same location, (ii) same discipline/theme, (iii) same Belgium partner team, (iv) same South partner team. Conducting an external evaluation of the initial project, and including the results of this evaluation in the continuation project’s application, is a condition for ARES to grant a continuation project. This evaluation of the PFS project ‘Master in food technology, safety and quality management’ has been organized to comply with such requirement.
The expected results of this project were: 1) An advanced Master in "Food Technology, Safety and Quality Management” (FTSQM) is set up and taught at the HUA with partner universities (ULiège, UCLouvain, ITC, RUA and HUST) during 3 years, and 2) A junior teacher-researcher from the HUA improves her/his scientific skills related to food chain quality management issues. The (higher level) specific objective of the project is for Southeast Asian universities to strengthen their training –to students and professionals - and research capacities in the field of the food quality management all along the food chains, through a partnership for technical support with Belgium Universities.
/ INFORMATIONS SUPPLÉMENTAIRES
Date de démarrage : 30 novembre 2013
Date de fin : 28 novembre 2018
Période d'évaluation : Juin-octobre 2018
Ce rapport présente les résultats de l’évaluation du projet pilote « Amélioration du Dépistage et du Suivi des Lésions Précancéreuses et Cancéreuses du col de l’Utérus dans la Région de Cochabamba en Bolivie », exécuté par le laboratoire de virologie de l’UMSS dans le cadre du programme global de coopération entre l'Université libre de Bruxelles (ULB) et l'Universidad Mayor de San Simon (UMSS), Cochabamba.
Il s’agit d’un Projet de recherche pour le développement (PRD) issu d’une initiative conjointe du laboratoire de chimie biologique et médicale et microbiologie pharmaceutique de l’ULB et du laboratoire virologique (HPV) de l’UMSS. Une Convention de partenariat a été établie entre les deux partenaires et signée en mars 2014. La mise en œuvre du projet était prévue sur une période de 60 mois, du 30 novembre 2013 au 30 novembre 2018. Le montant de la subvention accordée par la Coopération Belge, à travers l’Académie de recherche et d’enseignement supérieur (ARES) s’élève à 352.332,79 €.
Par une approche préventive, le PRD visait à contribuer à la réduction de l’incidence du cancer du col de l’utérus, qui est la forme de cancer la plus répandue chez les femmes en Bolivie. L’objectif était d’améliorer la couverture du dépistage et le suivi des lésions précancéreuses et cancéreuses du col de l'utérus par le développement d’une nouvelle technique d’auto-prélèvement permettant d’offrir une méthode plus sensible et peu coûteuse. Les résultats de la recherche et la diffusion des connaissances voulaient répondre à une problématique très grave pour la santé des femmes en Bolivie. Le projet est intervenu dans quatre régions du Département de Cochabamba (Cochabamba, Punata, Mizque et Villa Tunari), incluant des zones périurbaines et rurales, ayant pour groupes cibles des femmes de plus de 25 ans.
La mission d’évaluation s’inscrit dans le cadre des évaluations a posteriori des projets financés par l’ARES et a été réalisée dans une perspective constructive, basée sur une approche méthodologique fondamentalement qualitative et participative. Selon les Termes de Référence (TdR), la mission devait répondre à trois enjeux majeurs : (a) redevabilité vis-à-vis des parties prenantes du projet en Belgique et dans le pays partenaire ainsi que ses contributeurs ; (b) introduction potentielle d’une nouvelle demande de financement d’un projet de poursuite ; (c) efficacité et amélioration continue des pratiques. L’analyse du projet a été réalisée à partir des critères-clés d’évaluation établis par la Comité d’aide au développement (CAD) de l’Organisation pour la coopération et le développement économique (OCDE), à savoir : la pertinence, l’efficience, l’efficacité, l’impact et la durabilité. Les questions évaluatives concernaient aussi la bonne gouvernance, l’appropriation et les thématiques transversales.
Ce rapport présente les résultats de l’évaluation du projet pilote « Amélioration du Dépistage et du Suivi des Lésions Précancéreuses et Cancéreuses du col de l’Utérus dans la Région de Cochabamba en Bolivie », exécuté par le laboratoire de virologie de l’UMSS dans le cadre du programme global de coopération entre l'Université libre de Bruxelles (ULB) et l'Universidad Mayor de San Simon (UMSS), Cochabamba.
Il s’agit d’un Projet de recherche pour le développement (PRD) issu d’une initiative conjointe du laboratoire de chimie biologique et médicale et microbiologie pharmaceutique de l’ULB et du laboratoire virologique (HPV) de l’UMSS. Une Convention de partenariat a été établie entre les deux partenaires et signée en mars 2014. La mise en œuvre du projet était prévue sur une période de 60 mois, du 30 novembre 2013 au 30 novembre 2018. Le montant de la subvention accordée par la Coopération Belge, à travers l’Académie de recherche et d’enseignement supérieur (ARES) s’élève à 352.332,79 €.
Par une approche préventive, le PRD visait à contribuer à la réduction de l’incidence du cancer du col de l’utérus, qui est la forme de cancer la plus répandue chez les femmes en Bolivie. L’objectif était d’améliorer la couverture du dépistage et le suivi des lésions précancéreuses et cancéreuses du col de l'utérus par le développement d’une nouvelle technique d’auto-prélèvement permettant d’offrir une méthode plus sensible et peu coûteuse. Les résultats de la recherche et la diffusion des connaissances voulaient répondre à une problématique très grave pour la santé des femmes en Bolivie. Le projet est intervenu dans quatre régions du Département de Cochabamba (Cochabamba, Punata, Mizque et Villa Tunari), incluant des zones périurbaines et rurales, ayant pour groupes cibles des femmes de plus de 25 ans.
La mission d’évaluation s’inscrit dans le cadre des évaluations a posteriori des projets financés par l’ARES et a été réalisée dans une perspective constructive, basée sur une approche méthodologique fondamentalement qualitative et participative. Selon les Termes de Référence (TdR), la mission devait répondre à trois enjeux majeurs : (a) redevabilité vis-à-vis des parties prenantes du projet en Belgique et dans le pays partenaire ainsi que ses contributeurs ; (b) introduction potentielle d’une nouvelle demande de financement d’un projet de poursuite ; (c) efficacité et amélioration continue des pratiques. L’analyse du projet a été réalisée à partir des critères-clés d’évaluation établis par la Comité d’aide au développement (CAD) de l’Organisation pour la coopération et le développement économique (OCDE), à savoir : la pertinence, l’efficience, l’efficacité, l’impact et la durabilité. Les questions évaluatives concernaient aussi la bonne gouvernance, l’appropriation et les thématiques transversales.
/ INFORMATIONS SUPPLÉMENTAIRES
Date de démarrage : 1er septembre 2015
Date de fin : 1er septembre 2021
Période d'évaluation : Juin-aout 2018
L’outil « projets de sensibilisation » de l’ARES est destiné aux hautes écoles (HE) et aux écoles supérieures des arts (ESA). Cet outil est destiné à soutenir financièrement les projets de sensibilisation à la coopération au développement et à la formation de citoyen actif et responsable. Il offre des « bourses » (max. 4.500 Euros) pour soutenir des activités développées par des enseignants, le personnel et des étudiants à l’intention des étudiants du campus et de la société en général.
L’outil « projets de sensibilisation » de l’ARES est destiné aux hautes écoles (HE) et aux écoles supérieures des arts (ESA). Cet outil est destiné à soutenir financièrement les projets de sensibilisation à la coopération au développement et à la formation de citoyen actif et responsable. Il offre des « bourses » (max. 4.500 Euros) pour soutenir des activités développées par des enseignants, le personnel et des étudiants à l’intention des étudiants du campus et de la société en général.
/ INFORMATIONS SUPPLÉMENTAIRES
Date de démarrage : 15 septembre 2013
Date de fin : 14 septembre 2018
Période d'évaluation : Juin-octobre 2018
Ce rapport présente les résultats de l’évaluation du projet de « Formation de ressources humaines en sociolinguistique dans des contextes de diversité linguistique et culturelle en Abya Yala et en Bolivie en particulier » visant la mise en place d'un master en sociolinguistique dans le Département de post graduat de la Faculté d’humanités et sciences de l’éducation (FHSE) de l'Université Mayor de San Simon (UMSS) à Cochabamba. Ce Projet de formation Sud (PFS) a été exécuté par le Programme de formation en éducation interculturelle bilingue pour les pays andins (ProEIB Andes) , entre septembre 2013 et septembre 2018 . Basé sur les besoins identifiés dans le contexte bolivien, les valeurs des cultures indigènes, des principes de pluralisme et d’interculturalité, l’objectif spécifique du projet visait la création durable d’une formation d'experts sociolinguistes et la production de connaissances pertinentes pour le maintien de la diversité linguistique. Les groupes cibles du projet sont des fonctionnaires publics, des formateurs de formateurs et des membres d'organisations indigènes. Les étudiants sélectionnés pour le master font partie de ces groupes. Les bénéficiaires finaux de l’impact positif attendu sont les peuples indigènes.
La stratégie se proposait d’articuler deux composantes spécifiques et complémentaires : (a) appuyer la formation post-universitaire en sociolinguistique, dans le but de contribuer à maintenir la diversité linguistique du pays et de l’Abya Yala ; (b) contribuer à la restauration de la dignité des peuples indigènes pour la préservation de la diversité linguistique en Bolivie et dans le territoire Abya Yala.
La mission d’évaluation s’inscrit dans le cadre des évaluations a posteriori des projets financés par l’Académie de recherche et d’enseignement supérieur (ARES). Selon les termes de référence (TdR), la mission poursuivait deux grands enjeux : (a) Redevabilité vis-à-vis des parties prenantes du projet en Belgique et dans le pays partenaire ainsi que ses contributeurs et, (b) Efficacité et amélioration continue des pratiques. L’analyse du projet a été réalisée à partir des critères-clés d’évaluation établis par la Comité d’aide au développement (CAD) de l’Organisation pour la coopération et le développement économique (OCDE), à savoir : la pertinence, l’efficience, l’efficacité, l’impact et la durabilité. Les questions évaluatives concernaient aussi la bonne gouvernance, l’appropriation et les thématiques transversales.
Ce rapport présente les résultats de l’évaluation du projet de « Formation de ressources humaines en sociolinguistique dans des contextes de diversité linguistique et culturelle en Abya Yala et en Bolivie en particulier » visant la mise en place d'un master en sociolinguistique dans le Département de post graduat de la Faculté d’humanités et sciences de l’éducation (FHSE) de l'Université Mayor de San Simon (UMSS) à Cochabamba. Ce Projet de formation Sud (PFS) a été exécuté par le Programme de formation en éducation interculturelle bilingue pour les pays andins (ProEIB Andes) , entre septembre 2013 et septembre 2018 . Basé sur les besoins identifiés dans le contexte bolivien, les valeurs des cultures indigènes, des principes de pluralisme et d’interculturalité, l’objectif spécifique du projet visait la création durable d’une formation d'experts sociolinguistes et la production de connaissances pertinentes pour le maintien de la diversité linguistique. Les groupes cibles du projet sont des fonctionnaires publics, des formateurs de formateurs et des membres d'organisations indigènes. Les étudiants sélectionnés pour le master font partie de ces groupes. Les bénéficiaires finaux de l’impact positif attendu sont les peuples indigènes.
La stratégie se proposait d’articuler deux composantes spécifiques et complémentaires : (a) appuyer la formation post-universitaire en sociolinguistique, dans le but de contribuer à maintenir la diversité linguistique du pays et de l’Abya Yala ; (b) contribuer à la restauration de la dignité des peuples indigènes pour la préservation de la diversité linguistique en Bolivie et dans le territoire Abya Yala.
La mission d’évaluation s’inscrit dans le cadre des évaluations a posteriori des projets financés par l’Académie de recherche et d’enseignement supérieur (ARES). Selon les termes de référence (TdR), la mission poursuivait deux grands enjeux : (a) Redevabilité vis-à-vis des parties prenantes du projet en Belgique et dans le pays partenaire ainsi que ses contributeurs et, (b) Efficacité et amélioration continue des pratiques. L’analyse du projet a été réalisée à partir des critères-clés d’évaluation établis par la Comité d’aide au développement (CAD) de l’Organisation pour la coopération et le développement économique (OCDE), à savoir : la pertinence, l’efficience, l’efficacité, l’impact et la durabilité. Les questions évaluatives concernaient aussi la bonne gouvernance, l’appropriation et les thématiques transversales.
/ INFORMATIONS SUPPLÉMENTAIRES
Date de démarrage : 1er septembre 2016
Date de fin : 1er septembre 2021
Période d'évaluation : Juin 2019
Le projet Appui aux réseaux d’épidémiosurveillance des maladies animales et aspects sociologiques associés en Afrique de l’Ouest (Transticks), objet de cette évaluation, a pour objectif général de « contribuer à la maîtrise de l'incidence des maladies vectorielles et d'améliorer la sécurité alimentaire et les conditions de vie des éleveurs ». Pour cela, il vise l’objectif spécifique de définir « Des stratégies pilotes de lutte performantes pour les vecteurs et les maladies associées (…) sur une base scientifique pour une région transfrontalière ». Cet objectif est poursuivi au travers de trois résultats attendus :
- RA1 : La dynamique de dispersion des tiques présentes dans les couloirs transfrontaliers de transhumance entre le Burkina Faso et le Bénin est modélisée
- RA2 : Les agents pathogènes dans au moins une des principales espèces de tiques sont identifiés et les résistance/sensibilité aux acaricides sont connues
- RA3 : Les capacités et les résultats de la recherche sont valorisés par les acteurs de terrains (RéSurEp) pour la préparation et la mise en œuvre des stratégies de lutte durable
Le projet Appui aux réseaux d’épidémiosurveillance des maladies animales et aspects sociologiques associés en Afrique de l’Ouest (Transticks), objet de cette évaluation, a pour objectif général de « contribuer à la maîtrise de l'incidence des maladies vectorielles et d'améliorer la sécurité alimentaire et les conditions de vie des éleveurs ». Pour cela, il vise l’objectif spécifique de définir « Des stratégies pilotes de lutte performantes pour les vecteurs et les maladies associées (…) sur une base scientifique pour une région transfrontalière ». Cet objectif est poursuivi au travers de trois résultats attendus :
- RA1 : La dynamique de dispersion des tiques présentes dans les couloirs transfrontaliers de transhumance entre le Burkina Faso et le Bénin est modélisée
- RA2 : Les agents pathogènes dans au moins une des principales espèces de tiques sont identifiés et les résistance/sensibilité aux acaricides sont connues
- RA3 : Les capacités et les résultats de la recherche sont valorisés par les acteurs de terrains (RéSurEp) pour la préparation et la mise en œuvre des stratégies de lutte durable
/ INFORMATIONS SUPPLÉMENTAIRES
Date de démarrage : 2 septembre 2013
Date de fin : 1er septembre 2017
Période d'évaluation : Mai 2019
Le projet « Caractérisation et valorisation des argiles de Foumban (ouest Cameroun) » a pour objectif général de « contribuer à une gestion rationnelle et à une valorisation des géo-ressources au Cameroun ». Dans ce cadre, il vise l’objectif spécifique de « caractériser et valoriser les matières premières argileuses de la région de Foumban (Ouest Cameroun), en particulier dans le domaine de la céramique (terres cuites et produits réfractaires) ». Le groupe cible du projet évalué est l'ensemble des acteurs de la filière des matières argileuses de la région de Foumban (ouest Cameroun).
Ce projet visait à soutenir les structures en place : Institut des Beaux-Arts de Foumban- Université de Dschang, Université de Yaoundé 1- Département des Sciences de la Terre et Mission de Promotion des Matériaux – MIPROMALO.
L’objectif du projet est poursuivi au travers de quatre résultats attendus :
- Une base de données (BD) sur la localisation (SIG), l'estimation des ressources, les propriétés minéralogiques, chimiques et géotechniques des matériaux argileux et leurs potentiels de valorisation est disponible. Ce résultat constitue la stratégie recherche du projet ;
- Des sites de production témoins identifiés par l'étude de marché sont équipés de fours adéquats et adaptés au contexte local établi par l'étude sociologique. Ces Centres de Transfert de Technologies (CTT) constituent la stratégie technologie ;
- Un atelier de formation sur les matériaux céramiques (briques, poteries…) est créé, équipé et opérationnel. L’atelier constitue la stratégie formation ;
- Une cellule d’orientation, de conseil et d’information sur les géo-ressources argileuses (valorisant et diffusant les informations contenues dans la BD) est accessible aux producteurs et aux investisseurs. La cellule d’orientation constitue la stratégie économique.
Le projet « Caractérisation et valorisation des argiles de Foumban (ouest Cameroun) » a pour objectif général de « contribuer à une gestion rationnelle et à une valorisation des géo-ressources au Cameroun ». Dans ce cadre, il vise l’objectif spécifique de « caractériser et valoriser les matières premières argileuses de la région de Foumban (Ouest Cameroun), en particulier dans le domaine de la céramique (terres cuites et produits réfractaires) ». Le groupe cible du projet évalué est l'ensemble des acteurs de la filière des matières argileuses de la région de Foumban (ouest Cameroun).
Ce projet visait à soutenir les structures en place : Institut des Beaux-Arts de Foumban- Université de Dschang, Université de Yaoundé 1- Département des Sciences de la Terre et Mission de Promotion des Matériaux – MIPROMALO.
L’objectif du projet est poursuivi au travers de quatre résultats attendus :
- Une base de données (BD) sur la localisation (SIG), l'estimation des ressources, les propriétés minéralogiques, chimiques et géotechniques des matériaux argileux et leurs potentiels de valorisation est disponible. Ce résultat constitue la stratégie recherche du projet ;
- Des sites de production témoins identifiés par l'étude de marché sont équipés de fours adéquats et adaptés au contexte local établi par l'étude sociologique. Ces Centres de Transfert de Technologies (CTT) constituent la stratégie technologie ;
- Un atelier de formation sur les matériaux céramiques (briques, poteries…) est créé, équipé et opérationnel. L’atelier constitue la stratégie formation ;
- Une cellule d’orientation, de conseil et d’information sur les géo-ressources argileuses (valorisant et diffusant les informations contenues dans la BD) est accessible aux producteurs et aux investisseurs. La cellule d’orientation constitue la stratégie économique.
/ INFORMATIONS SUPPLÉMENTAIRES
Date de démarrage : 1er septembre 2014
Date de fin : 2 septembre 2019
Période d'évaluation : Mai-juin 2019
L’objectif général du PRD est de contribuer à renforcer les capacités du pays dans la gestion et la prévention des risques naturels dans les domaines de l’hydrologie et de l’hydraulique fluviale et sédimentaire. L’objectif spécifique vise à ce que l’équipe du Génie Rural de la Faculté d’Agronomie et de Médecine Vétérinaire à Port au Prince soit formée à l’évaluation et à la modélisation des risques de crues dans toutes leurs dimensions techniques et opérationnelles.
Pour y parvenir, le PRD comporte 4 résultats principaux. Le premier résultat prévoit que les éléments de caractérisation du bassin versant de la rivière de Cavaillon à l'aide de mesures soient identifiés et des solutions proposées. Le deuxième énonce qu’un modèle d'écoulement des rivières en crues et une méthodologie d'utilisation soient créés sous une forme exploitable par d'autres. Le troisième prévoit que les compétences académiques et techniques de l'équipe de la FAMV soient renforcées et orientées vers l'aide à la décision. Le quatrième résultat quant à lui doit permettre que les compétences acquises par l’équipe de la FAMV et les outils développés durant le projet rencontrent les besoins haïtiens ; qu’ils soient reconnus et mis en œuvre par les acteurs locaux de la prévention des risques de crues en Haïti au profit des populations.
L’objectif général du PRD est de contribuer à renforcer les capacités du pays dans la gestion et la prévention des risques naturels dans les domaines de l’hydrologie et de l’hydraulique fluviale et sédimentaire. L’objectif spécifique vise à ce que l’équipe du Génie Rural de la Faculté d’Agronomie et de Médecine Vétérinaire à Port au Prince soit formée à l’évaluation et à la modélisation des risques de crues dans toutes leurs dimensions techniques et opérationnelles.
Pour y parvenir, le PRD comporte 4 résultats principaux. Le premier résultat prévoit que les éléments de caractérisation du bassin versant de la rivière de Cavaillon à l'aide de mesures soient identifiés et des solutions proposées. Le deuxième énonce qu’un modèle d'écoulement des rivières en crues et une méthodologie d'utilisation soient créés sous une forme exploitable par d'autres. Le troisième prévoit que les compétences académiques et techniques de l'équipe de la FAMV soient renforcées et orientées vers l'aide à la décision. Le quatrième résultat quant à lui doit permettre que les compétences acquises par l’équipe de la FAMV et les outils développés durant le projet rencontrent les besoins haïtiens ; qu’ils soient reconnus et mis en œuvre par les acteurs locaux de la prévention des risques de crues en Haïti au profit des populations.
/ INFORMATIONS SUPPLÉMENTAIRES
Date de démarrage : 1er septembre 2015
Date de fin : 1er septembre 2020
Période d'évaluation : Mars-avril 2019
L’élément central de l’évaluation est l’analyse du projet et de ses réalisations selon une série de critères requis par l’ARES : pertinence, efficience, efficacité, viabilité, impact et appropriation. Ces critères ont été décliné en une série de questions auxquelles l’évaluateur doit répondre en s’appuyant sur différents outils de collecte de données, afin d’être en mesure de recouper les données et d’aboutir in fine à une évaluation rigoureuse, objective et complète. La réponse à ces questions produit les conclusions sur chaque critère d’évaluation. Ces conclusions sont ensuite traduites en recommandations utilisables pour la formulation d’un potentiel projet en lien.
L’évaluateur s’est efforcé de rester indépendant, objectif et impartial vis-à-vis du bailleur de fonds, du personnel et des institutions en charge de la mise en œuvre du projet, ainsi que des bénéficiaires directs et indirects et des autres partenaires du projet.
L’évaluation a été menée selon une approche participative consistant à impliquer toutes les parties prenantes du projet dans l’examen des actions et à leur permettre de s’exprimer sur le projet.
L’information recueillie a été, autant que possible, recoupée et analysée de façon critique.
Selon le type d’acteur, les outils suivants de récolte des données ont été utilisés :
- Examen exhaustif de la documentation disponible ;
- Observation directe pendant les visites au Sénégal ;
- Entretiens semi-structurés individuels ou en groupes ;
- Examen des données administratives et financières.
L’élément central de l’évaluation est l’analyse du projet et de ses réalisations selon une série de critères requis par l’ARES : pertinence, efficience, efficacité, viabilité, impact et appropriation. Ces critères ont été décliné en une série de questions auxquelles l’évaluateur doit répondre en s’appuyant sur différents outils de collecte de données, afin d’être en mesure de recouper les données et d’aboutir in fine à une évaluation rigoureuse, objective et complète. La réponse à ces questions produit les conclusions sur chaque critère d’évaluation. Ces conclusions sont ensuite traduites en recommandations utilisables pour la formulation d’un potentiel projet en lien.
L’évaluateur s’est efforcé de rester indépendant, objectif et impartial vis-à-vis du bailleur de fonds, du personnel et des institutions en charge de la mise en œuvre du projet, ainsi que des bénéficiaires directs et indirects et des autres partenaires du projet.
L’évaluation a été menée selon une approche participative consistant à impliquer toutes les parties prenantes du projet dans l’examen des actions et à leur permettre de s’exprimer sur le projet.
L’information recueillie a été, autant que possible, recoupée et analysée de façon critique.
Selon le type d’acteur, les outils suivants de récolte des données ont été utilisés :
- Examen exhaustif de la documentation disponible ;
- Observation directe pendant les visites au Sénégal ;
- Entretiens semi-structurés individuels ou en groupes ;
- Examen des données administratives et financières.
/ INFORMATIONS SUPPLÉMENTAIRES
Date de démarrage : 2 septembre 2014
Date de fin : 1er septembre 2018
Période d'évaluation : Mars-mai 2019
Le projet évalué a pour objectif général de « contribuer durablement au Plan de développement socioéconomique (SEDP) pour la période 2011-2015 du Vietnam dans le respect de l’environnement et de la santé ». Pour cela, il vise l’objectif spécifique de « mettre en place un centre de compétences (recherche et formation) dans le domaine de la protection des substrats métalliques à l'Institut Tropicale des Technologies (ITT) au sein de l’Académie des Sciences et de Technologies du Vietnam à Hanoi (VAST) ».
Cet objectif est poursuivi au travers de quatre résultats attendus de renforcement des capacités de l’ITT en termes de formation de pointe, d'excellence scientifique, de réseau de compétences et de rayonnement aux niveaux régional et international.
Le projet a été mis en œuvre de 2014 à 2018.
Le projet évalué a pour objectif général de « contribuer durablement au Plan de développement socioéconomique (SEDP) pour la période 2011-2015 du Vietnam dans le respect de l’environnement et de la santé ». Pour cela, il vise l’objectif spécifique de « mettre en place un centre de compétences (recherche et formation) dans le domaine de la protection des substrats métalliques à l'Institut Tropicale des Technologies (ITT) au sein de l’Académie des Sciences et de Technologies du Vietnam à Hanoi (VAST) ».
Cet objectif est poursuivi au travers de quatre résultats attendus de renforcement des capacités de l’ITT en termes de formation de pointe, d'excellence scientifique, de réseau de compétences et de rayonnement aux niveaux régional et international.
Le projet a été mis en œuvre de 2014 à 2018.
/ INFORMATIONS SUPPLÉMENTAIRES
Date de démarrage : 1er septembre 2016
Date de fin : 1er septembre 2021
Période d'évaluation : Juin 2019
L’objectif du projet évalué est d’améliorer les qualités de l’habitat en terre crue en agissant à la fois sur les matériaux et l’architecture. Cette double approche s’inscrit dans les objectifs des acteurs régionaux, nationaux et mondiaux de développement. Elle vise à permettre une réponse globale au problème de la construction et de l’accès au logement au Burkina Faso. Ainsi, les propriétés du matériau doivent être améliorées, en même temps que la façon de construire. Les aspects techniques sont complétés par une réflexion socio-économique mais aussi une action de réappropriation du matériau local souvent considéré comme « peu moderne et peu durable » par la population.
Le projet est mené en partenariat entre le 2iE (Burkina Faso), l’Université de Liège et l’Université catholique de Louvain. Des partenariats ciblés avec l’Université de Kinshasa (UNIKIN-RDC), la Mission de Promotion des Matériaux Locaux (MIPROMALO) université de Yaoundé, Cameroun) et l’ONG Autre Terre complètent le dispositif opérationnel.
L’évaluation répond à trois enjeux : Redevabilité vis-à-vis des parties prenantes du projet ainsi que ses contributeurs ; Introduction d’une nouvelle demande de financement d’un projet en lien ; Efficacité et amélioration continue des pratiques tant pour l’équipe de projet que l’ARES.
- Commission des bibliothèques et services académiques collectifs (CBS)
- Commission de la coopération internationale (CCI)
- Commission du développement durable (CDD)
- Commission de la formation continue et de l’apprentissage tout au long de la vie (COFOC)
- Commission genre en enseignement supérieur (COGES)
- Commission de l’information sur les études (CIE)
- Commission de la mobilité des étudiants et du personnel (COM)
- Commission pour la qualité de l’enseignement et de la recherche (COQER)
- Commission des relations internationales (CRI)
- Commission de l’aide à la réussite (CAR)
- Commission observatoire et statistiques (COS)
- Commission de la valorisation de la recherche (COVRI)
- Commission vie étudiante, démocratisation et affaires sociales (COVEDAS)
L’objectif du projet évalué est d’améliorer les qualités de l’habitat en terre crue en agissant à la fois sur les matériaux et l’architecture. Cette double approche s’inscrit dans les objectifs des acteurs régionaux, nationaux et mondiaux de développement. Elle vise à permettre une réponse globale au problème de la construction et de l’accès au logement au Burkina Faso. Ainsi, les propriétés du matériau doivent être améliorées, en même temps que la façon de construire. Les aspects techniques sont complétés par une réflexion socio-économique mais aussi une action de réappropriation du matériau local souvent considéré comme « peu moderne et peu durable » par la population.
Le projet est mené en partenariat entre le 2iE (Burkina Faso), l’Université de Liège et l’Université catholique de Louvain. Des partenariats ciblés avec l’Université de Kinshasa (UNIKIN-RDC), la Mission de Promotion des Matériaux Locaux (MIPROMALO) université de Yaoundé, Cameroun) et l’ONG Autre Terre complètent le dispositif opérationnel.
L’évaluation répond à trois enjeux : Redevabilité vis-à-vis des parties prenantes du projet ainsi que ses contributeurs ; Introduction d’une nouvelle demande de financement d’un projet en lien ; Efficacité et amélioration continue des pratiques tant pour l’équipe de projet que l’ARES.
/ INFORMATIONS SUPPLÉMENTAIRES
Date de démarrage : 1er septembre 2014
Date de fin : 1er septembre 2020
Période d'évaluation : Juin 2019
Le PFS propose d’appuyer la mise en place et le fonctionnement d’une école doctorale pluridisciplinaire au sein de l’Université du Burundi (UB). L’objectif est de contribuer au renforcement du cadre académique de l’UB dans le but de renforcer ses capacités de recherche et d’enseignement, ainsi que de préparer la relève académique par la formation de nouveaux enseignants et chercheurs. Le projet entend ainsi contribuer au renforcement individuel et institutionnel du secteur de la recherche pour l’ensemble du Burundi et de la Région des Grands Lacs. A terme, cela contribuera au développement socio-économique du pays, par l’amélioration du secteur éducatif et notamment de la formation supérieure des cadres publics et privés, en développant les avancées scientifiques et en favorisant des prises de décisions politiques valablement informées par des analyses scientifiques robustes.
Pour mener à bien cet objectif, le projet propose d’atteindre trois résultats. Le premier consiste (i) à développer au sein de l’UB une formation doctorale complète et pérenne en Sciences Humaines et Sociales (SHS). Le deuxième propose que (ii) des promotions de docteurs en SHS soient diplômées régulièrement par l’UB. Selon le troisième, (iii) l’UB tisse des collaborations internationales durables d’enseignement et de recherche avec des institutions universitaires partenaires de la région des Grands Lacs et de l’East African Community.
Concrètement, le projet propose d’organiser des activités afin de développer et mettre en place un programme de formation doctorale au sein de l’UB, d’accompagner des doctorants dans le parcours de thèse, notamment via des bourses de mobilité de doctorat, d’inciter et de soutenir le développement des liens et partenariats de recherche dans la sous-région.
Ce projet entend répondre à un enjeu stratégique et un besoin prioritaire exprimé au niveau politique (Ministère de l’Enseignement Supérieur) et au niveau de l’ensemble des universités burundaises. La mise en place d’une école doctorale, et au-delà la possibilité de conduire des thèses de doctorat, est un besoin et une demande constante des universités burundaises depuis des années. La loi de programmation de l’enseignement supérieur adoptée en 2012, censée adapter l’enseignement supérieur burundais au système Bachelier – Master – Doctorat, a rendu encore plus urgente la création d’une école doctorale.
Le PFS propose d’appuyer la mise en place et le fonctionnement d’une école doctorale pluridisciplinaire au sein de l’Université du Burundi (UB). L’objectif est de contribuer au renforcement du cadre académique de l’UB dans le but de renforcer ses capacités de recherche et d’enseignement, ainsi que de préparer la relève académique par la formation de nouveaux enseignants et chercheurs. Le projet entend ainsi contribuer au renforcement individuel et institutionnel du secteur de la recherche pour l’ensemble du Burundi et de la Région des Grands Lacs. A terme, cela contribuera au développement socio-économique du pays, par l’amélioration du secteur éducatif et notamment de la formation supérieure des cadres publics et privés, en développant les avancées scientifiques et en favorisant des prises de décisions politiques valablement informées par des analyses scientifiques robustes.
Pour mener à bien cet objectif, le projet propose d’atteindre trois résultats. Le premier consiste (i) à développer au sein de l’UB une formation doctorale complète et pérenne en Sciences Humaines et Sociales (SHS). Le deuxième propose que (ii) des promotions de docteurs en SHS soient diplômées régulièrement par l’UB. Selon le troisième, (iii) l’UB tisse des collaborations internationales durables d’enseignement et de recherche avec des institutions universitaires partenaires de la région des Grands Lacs et de l’East African Community.
Concrètement, le projet propose d’organiser des activités afin de développer et mettre en place un programme de formation doctorale au sein de l’UB, d’accompagner des doctorants dans le parcours de thèse, notamment via des bourses de mobilité de doctorat, d’inciter et de soutenir le développement des liens et partenariats de recherche dans la sous-région.
Ce projet entend répondre à un enjeu stratégique et un besoin prioritaire exprimé au niveau politique (Ministère de l’Enseignement Supérieur) et au niveau de l’ensemble des universités burundaises. La mise en place d’une école doctorale, et au-delà la possibilité de conduire des thèses de doctorat, est un besoin et une demande constante des universités burundaises depuis des années. La loi de programmation de l’enseignement supérieur adoptée en 2012, censée adapter l’enseignement supérieur burundais au système Bachelier – Master – Doctorat, a rendu encore plus urgente la création d’une école doctorale.
/ INFORMATIONS SUPPLÉMENTAIRES
Date de démarrage : 1er septembre 2015
Date de fin : 1er septembre 2020
Période d'évaluation : Février 2020