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Documents et outils

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Avis 2018-08 | Financement de la Recherche par le FNRS

Avis sur l'avant-projet d'arrêté du Gouvernement de la Communauté française modifiant l'arrêté du Gouvernement de la Communauté française du 19 décembre 2013 portant exécution du décret du 17 juillet 2013 relatif au financement de la Recherche par le FNRS

Recherche en santé globale, opportunités européennes et cotutelles de thèse Pays-Bas/Belgique/France

Soumis par Anonyme (non vérifié) le

Dans un contexte de coopération de recherche très dense entre la France, la Belgique et les Pays-Bas, ce webinaire a pour objectif de présenter les bonnes pratiques sur les cotutelles de thèse et de présenter des opportunités de coopérations dans le domaine de la santé (l’agroalimentaire, pharmaceutique, médecine, biologie, vétérinaire, santé globale). Outre les possibilités de liens entre la France, la Belgique et les Pays-Bas, la dimension européenne sera centrale dans les échanges.

Ce webinaire est ouvert aux services des relations internationales, aux écoles doctorales, aux laboratoires de recherche travaillant dans le domaine de la santé, aux représentant·es des administrations en charge de la recherche et des doctorats, aux entreprises travaillant dans le domaine de la santé et cherchant des coopérations pour des projets de R&D, etc.

Qui ?

Campus France


Quoi ?

Webinaire sur la recherche en santé globale et opportunités européennes et cotutelles de thèse Pays-Bas/Belgique/France


Quand ?

Le 2 décembre 2020, de 9h30 à 11h30


Inscription ?

Les inscriptions se font jusqu'au 30 octobre 2020 via le formulaire d'inscription.

Pour toute information, contactez Clarisse Zerbib - clarisse.zerbib@campusfrance.org

 

EN SAVOIR + : consultez le programme du webinaire

 

Événement en ligne
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CONFERENCE/ EHEA Rome Ministerial Conference

Soumis par Anonyme (non vérifié) le

La conférence sera visible en direct et en streaming. Il ne sera pas nécessaire de s'inscrire ni de se connecter. La conférence sera disponible en 6 langues : italien, anglais, français, allemand, russe et espagnol.

Les travaux de la conférence seront ouverts par le ministre italien des Universités et de la Recherche, le professeur Gaetano Manfredi, et par la commissaire européenne à l'Innovation, à la Recherche, à la Culture, à l'Éducation et à la Jeunesse, Mariya Gabriel.

Au cours de la conférence, les ministres de l'EHEA adopteront le communiqué ministériel de Rome, un document fondamental qui donnera des indications sur les dix prochaines années de travail de l'ensemble de l'espace européen de l'enseignement supérieur et qui soulignera la nécessité d'améliorer la mise en œuvre des valeurs fondamentales, en particulier la démocratie, puisque les principes de l'enseignement supérieur véhiculent des notions de paix et de liberté.

Le programme de l'après-midi laissera place aux discours des principales organisations internationales travaillant dans le domaine de l'enseignement supérieur au niveau mondial, ceci dans le but d'instituer un dialogue entre l'EHEA et d'autres régions du monde.

Vous pourrez suivre la conférence sur le site web de la Conférence ministérielle de l'EHEA 2020 qui se déroulera de 9h00 à 17h00 !

 

EHEA Rome Ministerial Conference 2020

19.11.2020 · Live streaming

 

 

EN SAVOIR + : télécharger le programme de la conférence

 

Événement en ligne
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Bologne dans un monde qui change : quel futur pour les Espaces européens de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’éducation ?

Soumis par Anonyme (non vérifié) le

Depuis sa mise en œuvre il y a vingt ans, le processus de Bologne, à l’origine de l’Espace européen de l’enseignement supérieur (EEES), n’a pas cessé de susciter l’intérêt et des discussions auprès des établissements d’enseignement supérieur, des étudiant·es, des chercheur·es et des responsables politiques en charge de l’enseignement supérieur.

Si le Processus n’a pas manqué, à ses débuts, d’attirer l’intérêt des pays européens et d’insuffler des réformes majeures de l’enseignement supérieur visant à plus d’harmonisation des systèmes, l’internationalisation récente de l’enseignement supérieur conjuguée aux nouveaux défis mondiaux entrainent une série d’interrogations concernant son avenir.

D’une part, l’émergence d’espaces politiques connexes à l’EEES, tels que l’Espace européen de la recherche ou le plus récent Espace européen de l’éducation, mais également les cadres européens dédiés à l’apprentissage et à la formation des adultes impliquent un repositionnement du processus de Bologne dans un monde qui change. D’autre part, les évolutions de la société ont contribué à l’émergence de nouvelles thématiques prioritaires qui guideront les développements de ces espaces (inclusion et diversité, soutien des valeurs fondamentales, réalisation des objectifs de développement durable, etc.). Ces évolutions suscitent des questionnements, notamment sur le rôle et la place des établissements d’enseignement supérieur dans nos démocraties.

La conférence « Bologne dans un monde qui change » visera à faire le point sur ces différentes évolutions. Elle sera l’occasion d’approfondir les observations par une discussion entre un panel (incluant quelques répondants à l’enquête) et le public. L’évènement se clôturera par l’intervention de Mme Françoise Docq, conseillère techno-pédagogique en pédagogie universitaire et e-learning à l’Université catholique de Louvain dont l’intervention abordera les thèmes très actuels de l’hybridation des parcours d’apprentissage (présentiel, présentiel enrichi, à distance) et des innovations numériques et pédagogiques.

Les discussions menées à l’occasion de la conférence permettront également d’alimenter les positions de la Fédération Wallonie-Bruxelles lors de la prochaine conférence ministérielle de l’Espace européen de l’enseignement supérieur qui se tiendra à Rome en novembre 2020.

 

« Bologne dans un monde qui change : 
quel futur pour les Espaces européens de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’éducation ? »

Bruxelles · Lundi 21.09.20 · 09h00 - 13h30

 

En fonction de l’évolution des dispositions sanitaires, les organisateurs se réservent le droit d’adapter le format de l’évènement en format virtuel ou mixte, voire de reporter ou d’annuler celui-ci.

 

Qui ? 

La Direction générale de l'Enseignement supérieur, de l'Enseignement tout au long de la vie et de la Recherche scientifique (DGESVR) et la Direction des Relations internationales (DRI) du Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles

Quand ?

Lundi 21 septembre 2020, de 09h00 à 13h30

Quoi ?

Conférence « Bologne dans un monde qui change : quel futur pour les Espaces européens de l'enseignement supérieur, de la recherche et de l'éducation ? »

 ?

Palais des Académies
Rue Ducale 1
1000 Bruxelles

En fonction de l’évolution des dispositions sanitaires, les organisateurs se réservent le droit d’adapter le format de l’évènement en format virtuel ou mixte, voire de reporter ou d’annuler celui-ci.

Inscription ?

La participation est gratuite, mais l'inscription est requise.

 

EN SAVOIR + : consultez le programme de la conférence · contact : caroline.hollela@cfwb.be

 

Bruxelles
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COLLOQUE / Belgian Open Science: European Open Science Cloud Initiatives

Soumis par Anonyme (non vérifié) le

Lors de ce colloque, l’accent sera mis sur la participation belge au projet European Open Science Cloud (EOSC) dont l’ambition est de permettre l’interopérabilité entre les répertoires de données de recherche en Europe et qui devrait rendre possibles des recherches interdisciplinaires inédites et apporter des réponses scientifiques adéquates aux défis de société actuels.

Cette après-midi sera articulée autour de présentations d’experts, panels de scientifiques belges et de responsables administratifs impliqués dans le projet EOSC et dans l’Open Science.

Intéressé·es ? Bloquez la date du 21 novembre 2019 dans vos agendas et inscrivez-vous sans plus tarder !

 

Le jeudi 21 novembre 2019

"Belgian Open Science: European Open Science Cloud Initiatives"

Palais des Académies · Bruxelles · 13h30 à 17h00


 

 

Qui ?

Le Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles, le Département EWI (Economie, Wetenschap & Innovatie), la Politique scientifique fédérale et Open Access Belgium

 

Quoi ?

Après-midi de colloque sur l'Open Science en Belgique


Où ?

Palais des Académies
Rue Ducale, 1
1000 Bruxelles

 

Quand ?

Le jeudi 21 novembre 2019 de 13h30 à 17h00

 

Inscriptions ?

La participation est gratuite mais l'inscription est souhaitée.

 

Télécharger le programme du colloque.

 

EN SAVOIR + : contactez Marc Vanholsbeeck - marc.vanholsbeeck@cfwb.be

 

Bruxelles
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Rwanda – 3e conférence sur la biotechnologie et focus sur la chirurgie mini-invasive

Soumis par Anonyme (non vérifié) le

Les 26 et 27 septembre 2019, la Rwanda Biotechnology 3rd Conference sera organisée à Kigali (Rwanda) avec l’Université du Rwanda. Cette année, un événement conjoint à cette conférence fera état des progrès dans le domaine de la chirurgie mini-invasive. Encore peu présente dans les hôpitaux rwandais, et plus largement africains, cette technologie fait aussi l’objet d’un programme de formation coordonné par l’Université de Liège et l’Université du Rwanda.

Le rendez-vous est désormais annuel : en septembre, le monde médical et scientifique se retrouve à Kigali (Rwanda) pour la conférence sur la biotechnologie. À l’invitation de Diane Gashumba, ministre rwandaise de la Santé, plus de 250 personnes – dont d’autres ministres africains de la santé, des bailleurs de fonds, des chercheur·es, des expert·es, des technicien·nes et des étudiant·es – prendront part à l’événement qui abordera cette année de multiples sujets comme la biotechnologie médicale et environnementale, les maladies infectieuses, la génétique, les diagnostics moléculaires des maladies humaines, animales ou végétales, ou encore les bioproduits.

 

La chirurgie mini-invasive, au cœur de la 3e conférence sur la biotechnologie

Un autre événement se greffera à cette 3e conférence et concernera la chirurgie mini-invasive, une approche chirurgicale encore peu pratiquée sur le continent africain, hormis en Afrique du Sud.

Plus confortable pour le patient, la chirurgie mini-invasive est une technique chirurgicale limitant le traumatisme opératoire. Elle permet au chirurgien d’atteindre sa cible via des mini incisions (+/- 1 centimètre) grâce à l’utilisation d’instruments couplés à un système d’imagerie vidéo. Le suivi post-opératoire s’avère plus simple, réduit les risques infectieux et diminue la durée de l’hospitalisation.

Par le biais de communications, de workshops et de présentations de posters scientifiques, les participant·es aborderont cette technologie, dont le Rwanda a fait une priorité. Le développement d’un pôle de compétence en chirurgie mini-invasive apparaît en effet comme un moyen de renforcer à la fois le système de santé et de positionner le pays comme un acteur de référence de la sous-région dans le domaine de la formation médicale.

Atteindre cet objectif passe notamment par le renforcement des capacités des chirurgiens en fonction (une cinquantaine, actuellement) et futurs chirurgiens, par la formation des personnels infirmiers et paramédicaux, par l’accès à des stages pointus et par la disponibilité de matériel.

 

Une technologie enseignée à l’Université du Rwanda

Avec le soutien de l’ARES, l’Université de Liège (ULiège) et l’Université du Rwanda (UR) ont décidé de relever ce défi. Depuis 2018, sous la direction des Professeurs David Waltrégny (ULiège) et Léon Mutesa (UR), les deux institutions et leurs divers partenaires (notamment le Prof. Jacob Souopgui de l’Université libre de Bruxelles), dispensent un programme de formation dans ce domaine. Léon Mutesa, coordonnateur rwandais de ce projet et directeur du Centre de génétique humaine au sein de la Faculté de médecine de l’UR, en justifie la raison.

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Cinq disciplines médicales ciblées

Le programme de formation de 12 mois a été conçu et est dispensé (au Rwanda ou via une plateforme d’e-learning) par une dizaine de spécialistes issus des établissements d’enseignement supérieur de la Fédération Wallonie-Bruxelles (entre autre l’ULiège, l’ULB, l’UCLouvain, la Haute école Léonard de Vinci) et du monde hospitalier (CHU de Liège, Hôpital de Marche-en-Famenne). Ils n’interviennent pas seuls. Des spécialistes rwandais mais aussi camerounais sont également mobilisés.

Léon Mutesa présente les 5 disciplines ciblées par ce programme de formation.

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Par année, ce programme doit permettre la formation de 10 médecins et de 30 membres d’unité chirurgicale. La constitution d’un noyau de futurs formateurs est également prévue pour assurer la pérennité du projet.

L’implémentation de la chirurgie mini-invasive dans les huit hôpitaux de référence du Rwanda serait une solution durable pour créer un mouvement de basculement massif vers ces pratiques novatrices et améliorer significativement la qualité des traitements de pathologies chirurgicales et le bien-être des patients. Pour le pays, il y aura un gain économique bénéfique de réduction du flux massif des patients traités à l’étranger.

Une démarche de sensibilisation de la population rwandaise est également prévue afin d’expliquer la technique opératoire et les aspects positifs d’une hospitalisation plus courte.

À noter que ce programme de formation s'inscrit aussi dans un partenariat Sud/Sud entre le Rwanda et le Cameroun. L’UR et l’Université de Douala collaborent en effet dans la mise en œuvre du master professionnel en chirurgie mini-invasive, programme bénéficiant de l’expertise académique de l’ULB.

 

Appel à communication

Dans le cadre de la conférence, les personnes souhaitant faire une communication ou présenter un poster en lien avec le thème "Transforming Rwanda’s Development by Investing in People’s Skills" peuvent consulter le document d’appel y relatif : 

> Télécharger le document d'appel à communication

Date limite d’introduction des candidatures : 9 septembre 2019.

 

EN SAVOIR + : visitez la page du Programme de formation Sud « Fellowship en chirurgie mini-invasive à l’Université du Rwanda » sur MOOVE.

 

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Succès pour le premier appel « Universités européennes » avec 17 alliances sélectionnées et un budget revu à la hausse

Soumis par Anonyme (non vérifié) le

Dix mois après le lancement du premier appel "universités européennes" pour le développement d’alliances stratégiques et innovantes en Europe, la Commission européenne a communiqué les résultats : 17 alliances, composées de 114 établissements d'enseignement supérieur issus de 24 États membres, ont été sélectionnées. Parmi celles-ci, il y aura 4 universités belges, dont l'ULB et son alliance universitaire civique européenne, "CIVIS".

Le 24 octobre 2018, la Commission européenne lançait un premier appel pilote avec pour objectif de soutenir la création d’« universités européennes » en tant que nouvelles alliances stratégiques et innovantes entre des établissements d’enseignement supérieur en Europe.

Quatre mois après la clôture de l’appel, la Commission européenne a annoncé ce 26 juin les résultats de ce premier appel. Parmi les 54 projets d’« universités européennes » réunissant près de 300 établissements d’enseignement supérieur, 17 alliances ont été sélectionnées, au lieu des 12 initialement prévues. À cet effet, un budget de 85 millions d’euros sera débloqué afin de financer chaque alliance à hauteur de 5 millions d’euros, soit 25 millions de plus que l’enveloppe de départ.

Parmi les 17 projets d’« universités européennes » sélectionnés, se retrouve l’« Alliance universitaire civique européenne – CIVIS » portée par l’ULB ainsi que 7 autres partenaires allemand, espagnol, français, grec, italien, roumain et suédois. Par cette alliance (qui rassemblera environ 384 000 étudiants et 55 000 membres du personnel), les partenaires entendent promouvoir « la vision d’une université civique européenne comme un espace pour l'enseignement innovant et responsable, la recherche, les échanges culturels et l'action citoyenne en Europe, de la Baltique à la mer Méditerranée, tout en s'engageant avec le monde, ses habitants et ses établissements. » Les établissements français et allemands « dominent » cette sélection puisqu’elles sont présentes dans 14 alliances. La Belgique n’a pas à rougir pour autant : outre l’ULB, la KULeuven, l’UAntwerp et la VUB ont vu leurs projets d’« universités européennes » également sélectionnés. Notons par ailleurs que, malgré l’incertitude qui plane sur la coopération académique et scientifique dans le contexte du Brexit, trois alliances européennes sélectionnées incluent des établissments britanniques.

Il convient enfin de souligner la diversité des alliances sélectionnées, tant par leur taille (variant de 4 à 11 établissements et comptant en moyenne 7 établissements par alliance), que par leurs objectifs. Nous retrouvons ainsi des alliances incluant des établissements ayant un profil plus technique, des écoles supérieures des arts, des établissements spécialisés en sciences appliquées ou encore des alliances d’universités plus globales mêlant toutes disciplines.

Grâce au succès de ce premier appel pilote, l’objectif de création de 20 « universités européennes » à l’horizon 2024 semble donc en bonne voie. Pour rappel, le second appel sera lancé en octobre 2019 et il est certain que d’autres établissements d’enseignement supérieur, dont ceux de la Fédération Wallonie-Bruxelles, candidateront et contribueront ainsi à l’émergence d’« universités européennes ». 
Rappelons enfin qu’en novembre 2018, le ministre Jean-Claude Marcourt et le Gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles ont débloqué un budget d’un demi-million d’euros pour soutenir les établissements qui répondront à cette nouvelle initiative européenne. Ainsi, les établissements qui auront répondu aux appels durant la phase pilote, se verront octroyer un budget de maximum 100 000 euros pour poursuivre le projet de collaboration, que celui-ci ait été sélectionné ou non par la Commission européenne.

 

EN SAVOIR+ : consultez le communiqué de presse de la Commission européenne pour en savoir plus concernant les résultats du premier appel « universités européennes » et consultez la page de l’appel sur le site de l'ARES pour en savoir plus concernant la subvention de la FWB

 

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