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Documents et outils

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6 résultat(s)

Podcast ZOOM / Esther Borauzima Feza, troisième du Prix de la Recherche du Comité Femmes et Sciences

Dans cet épisode, nous interviewons Esther Borauzima Feza (UMONS), troisième (ex aequo) de l'édition 2024 du Prix de la Recherche du Comité Femmes et Sciences pour son travail de recherche intitulé : De la victimisation à l'agentivité affirmée. Explorer l'infra-politique des femmes dans les groupes armés en RDC.

Podcast ZOOM / Aline Bahati Cibambo, troisième du Prix de la Recherche du Comité Femmes et Sciences

Dans cet épisode, nous interviewons Aline Bahati Cibambo (ULB), troisième (ex aequo) de l'édition 2024 du Prix de la Recherche du Comité Femmes et Sciences pour son travail de recherche intitulé : Violence des chiffres et violence des voix. Vulnérabilité des femmes dans les procédures de jugement des crimes de masse en RD Congo.

Podcast ZOOM / Jules Dejonckheere, deuxième du Prix de la Recherche du Comité Femmes & Sciences

Dans cet épisode, nous interviewons Jules Dejonckheere (UCLouvain), deuxième de l'édition 2024 Prix de la Recherche du Comité Femmes et Sciences pour son travail de recherche intitulé : Marie de Hongrie, sentinelle des Pays-Bas Habsbourgeois (1531-1555).

Podcast ZOOM / Véronique Feipel, lauréate du Prix de la Recherche du Comité Femmes & Sciences

Dans cet épisode, nous interviewons Véronique Feipel (ULB), lauréate de l'édition 2024 du Prix de la Recherche du Comité Femmes et Sciences pour son travail de recherche intitulé : Conséquences périnéales, psychologiques et de qualité de vie des violences sexuelles liées aux conflits chez les femmes vivant en République Démocratique du Congo.

La Corée du Sud, un partenaire académique et scientifique incontournable pour nos établissements

Soumis par Anonyme (non vérifié) le

Près de 40 académiques et scientifiques accompagnent les souverains et les ministres fédéraux, régionaux et communautaires lors de la visite d’État en Corée du Sud, du 24 au 28 mars prochains. Une nouvelle occasion de montrer l’importance et la diversité des collaborations entre nos deux pays. Au menu : intelligence artificielle, développement durable et smart cities.

En avril 2016 déjà, l’ARES coordonnait une mission interinstitutionnelle en Corée du Sud grâce à laquelle nos établissements avaient pu renforcer leur visibilité auprès des partenaires sud-coréens. En juin 2017 ensuite, plusieurs académiques accompagnaient la mission princière en Corée du Sud pour développer de nouveaux projets. A l’occasion de la visite d’Etat, c’est une délégation de 20 représentants de 4 universités et 4 hautes écoles de la Fédération Wallonie-Bruxelles, du FRS-F.N.R.S., de Wallonie-Bruxelles Campus et de l’ARES qui feront le déplacement. Une présence soutenue en Corée du Sud des acteurs académiques et scientifiques de premier plan de la Fédération Wallonie-Bruxelles, démontrant – s’il le fallait encore – que la Corée du Sud est un partenaire incontournable pour nos établissements.


L’éducation, la recherche et l’innovation au cœur de la réussite sud-coréenne

La puissance économique mondiale qu’est devenue la Corée du Sud en un peu moins de 70 ans repose de manière très significative sur l’éducation, la recherche et l’innovation. En investissant massivement dans ces secteurs et en favorisant par ailleurs une autonomisation et une responsabilisation renforcées des acteurs de l’enseignement supérieur et de la recherche, les autorités publiques ont créé les conditions idéales pour cette réussite.

Comme souligné dans le rapport de l’OCDE Regard sur l’éducation 2018, la Corée du Sud conserve le taux de diplômation de l’enseignement supérieur des 25-34 ans, le plus élevé des pays de l’OCDE – devant le Canada, le Japon et la Russie. Cet accès à l’enseignement supérieur s’explique notamment par une mobilité intergénérationnelle très élevée, qui se traduit ensuite par un taux d’emploi plus élevé pour les jeunes travailleurs comparativement à leurs aînés.

Il convient également de rappeler que, si l’investissement public dans l’éducation reste bien au-dessus de la moyenne européenne, la performance du système éducatif dépend également de l’investissement privé. Pour le supérieur, le total des dépenses privées (dépenses des ménages, des établissements d’enseignement supérieur privés, des entreprises, etc.) atteint 73% là où la moyenne OCDE dépasse à peine les 30%.

Le rôle des grands conglomérats industriels – chaebols – dans le développement du potentiel de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation est essentiel, permettant notamment de mieux identifier les filières d’avenir et d’investir massivement dans les secteurs les plus porteurs.


Une réelle volonté de démocratisation et une ouverture internationale de plus en plus importante

Pour rappel, la Corée du Sud compte plus de 3 millions d’étudiants répartis sur plus de 400 établissements dont une large majorité sont considérées comme privés. Au cours des dernières années, de nombreuses initiatives ont été prises par les autorités publiques et les établissements afin de renforcer leur internationalisation.

Par exemple, le programme World Class Research-oriented University (WCU), lancé en 2008, visait à renforcer la compétitivité des universités sud-coréennes et accroitre leur attractivité à l’égard des meilleurs étudiants, chercheurs et professeurs étrangers. Malgré un investissement de plus de €600 millions du ministère, les résultats de ce programme sont questionnés par certains observateurs. En effet, la mobilité entrante demeure essentiellement asiatique – avec près de deux tiers des étudiants étrangers provenant de Chine – et n’a progressé que faiblement depuis 2008. La mobilité sortante augmente, elle, de manière constante et donc de plus en plus de Sud-Coréens poursuivent un cycle complet d’études à l’étranger.

L’élitisme et le conservatisme du système et des établissements sud-coréens peuvent expliquer cette évolution. Pour faire face à cette réalité, les autorités sud-coréennes ont constamment augmenté les aides financières aux étudiants pour leur faciliter l’accès à l’enseignement supérieur. D’autre part, cet élitisme présent au sein des grandes universités nationales (en particulier des universités « SKY » – Seoul National University, Korea University et Yonsei University) ont incité une partie de la classe politique à favoriser le développement d’universités régionales.


#BELKOR2019

Le volet académique de cette visite d’Etat permettra aux acteurs académiques et scientifiques de mettre en lumière leurs collaboration dans des thématiques cruciales pour le futur de notre société.

À la Seoul National University, sera organisé un séminaire sur les défis de l’intelligence artificielle mise au service de la santé. Ce séminaire est coorganisé par le collège de pharmacie de cette université prestigieuse et l’Université de Liège et son centre de recherche « GIGA ». Cette activité donnera l’occasion aux participants de débattre sur les possibles applications de l’intelligence artificielle dans le domaine de la santé, avec une attention particulière sur les enjeux éthiques. Les membres de la délégation académique auront l’occasion de faire état de ces collaborations avec le Roi lors d’un déjeuner qui clôturera l’évènement.

La délégation académique se rendra également à Incheon sur le Ghent University Global Campus. Un séminaire, intitulé « Innovative solutions for circular economy, sustainable mobility and climate change », permettra aux académiques, aux scientifiques ainsi qu’aux chefs d’entreprise de débattre notamment des enjeux climatiques. En présence de la Reine, le séminaire sera introduit par l’ancien secrétaire général des Nations Unies, M. Ban-ki Moon. Ce sera également l’occasion pour la Reine de rencontrer des étudiants belges et coréens afin d’échanger sur leurs expériences de mobilité en Corée et en Belgique.

En début de mission, un petit-déjeuner de haut niveau, en présence du Ministre-President de la Fédération Wallonie-Bruxelles, Rudy Demotte, permettra aux partenaires belges et coréens d’échanger sur les développements récents en matière d’enseignement supérieur et de recherche, et de déjà discuter de perspectives de collaboration futures.

« Les dernières missions de portée interinstitutionnelle effectuées en Corée du Sud ont démontré l’importance de la coopération académique et scientifique avec ce pays, souligne Julien Nicaise, administrateur de l’ARES. Cette visite d’Etat constitue une nouvelle occasion de poursuivre les collaborations et de mettre en évidence qu’ensemble nos établissements et leurs partenaires sud-coréens développent des projets d’importance majeurs pour faire face aux enjeux d’aujourd’hui et de demain. Je suis ravi que de plus en plus d’établissements saisissent l’opportunité unique offerte par les visites d’Etat pour développer, renforcer, renouveler leurs partenariats à l’étranger mais aussi pour renforcer leurs liens avec les acteurs politiques et économiques qui prennent part à cette mission. »

Composition de la délégation :

» Brigitte Chanoine (directrice-présidente, ICHEC)
» Marie Clotuche (ULiège)
» Philippe Declercq (directeur-président, HELHa)
» Prof. Guillaume Drion (ULiège)
» Prof. Philippe Dubois (recteur, UMONS)
» Denis Dufrane (directeur-président, HEH)
» Aline Franchimont (WB Campus) 
» Prof. Pierre Geurts (ULiège)
» Kevin Guillaume (ARES)
» Prof. Nadji Habra (recteur, UNamur)
» Dr. Ir. Véronique Halloin (secrétaire générale, FNRS)
» Prof. Bertrand Hamaide (vice-recteur, USL-B)
» Damien Huvelle (directeur-président, HE Vinci)
» Prof. Pierre Jadoul (recteur, USL-B)
» Cécile Liégeois (WB Campus)
» Philippe Luyten (président, Eurometropolitan e-Campus) 
» Julien Nicaise (administrateur, ARES)
» Prof. Jacques Piette (ULiège)
» Prof. Alain Strowel (USL-B)
» Prof. Pierre Wolper (recteur, ULiège)

 

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Corée du Sud : un paysage à haut potentiel pour développer nos partenariats académiques

Soumis par Anonyme (non vérifié) le

<h4><strong>L’enseignement supérieur sud-coréen compte aujourd’hui parmi les plus performants au monde. En termes d’investissements, de taux de diplômation ou de dynamiques d’internationalisation, les avancées enregistrées depuis une quinzaine d’années sont fulgurantes. Avec l’ARES, l’agence WB Campus et le FRS-FNRS, nos établissements mettent le cap sur Séoul pour une mission interinstitutionnelle exploratoire de quatre jours du 12 au 15 avril.</strong></h4>

<h3>Le boom sud-coréen de l’enseignement supérieur et de la recherche</h3>
<p>En misant principalement sur l’éducation, l’économie créative et les exportations, la Corée du Sud est devenue, en un peu plus de 60 ans, la 13<sup>e</sup> puissance mondiale. Elle s’affirme aujourd’hui comme un acteur global de premier plan, assurant la promotion de sa culture à l’étranger et élargissant toujours plus sa présence à l’international&nbsp;: politique ambitieuse de coopération au développement et d’action humanitaire, organisation d’évènements internationaux, placement de ses ressortissants dans les organisations internationales, etc.<br /><br /></p>
<blockquote><em><strong>«&nbsp;66&nbsp;% des adultes sud-coréens sont diplômés du supérieur, le taux le plus élevé des pays de l’OCDE&nbsp;»</strong></em></blockquote>
<p><br />La politique que mène le pays en matière d’éducation et de recherche est particulièrement volontariste. Depuis plusieurs années, il se classe parmi les premiers dans l’enquête PISA de l’OCDE. Le taux de diplômation de l’enseignement supérieur des 25-34 ans y atteint 66&nbsp;% (62&nbsp;% pour les hommes, 69&nbsp;% pour les femmes)&nbsp;; le plus élevé des pays de l’OCDE. L'évolution est, somme toute, assez récente puisque en termes de diplômation, un fossé de plus de 50&nbsp;% sépare les jeunes adultes de la génération des 55-64 ans.</p>
<p>Ces chiffres sont à la hauteur de l’investissement consenti. Déjà en 2011, la Corée du Sud consacrait plus de 8&nbsp;% de son PIB à l’éducation et occupait la troisième marche du podium des pays de l’OCDE dans le domaine, après<span style="background-color: #ffffff;"> les États-Unis, et le Canada et le Chili, tous les deux ex-aequo</span>. Un système toutefois fortement marqué par le «&nbsp;privé&nbsp;»&nbsp;: pour le supérieur, le total des dépenses privées (dépenses des ménages, des établissements d’enseignement supérieur privés, des entreprises, etc.) atteint 73&nbsp;% là où la moyenne OCDE dépasse à peine les 30&nbsp;%.<br /><br /></p>
<blockquote><em><strong>«&nbsp;L’investissement dans la recherche-développement dépasse les 4&nbsp;% du PIB&nbsp;»</strong></em></blockquote>
<p><br />Même tendance dans le domaine de la recherche-développement. L’investissement dans le secteur dépasse les 4 % du PIB, plus du double de la moyenne européenne, estimée à 1,91 %. « <em>Le secteur</em>,&nbsp;explique&nbsp;<a href="https://twitter.com/_kevinguillaume&quot; target="_blank">Kevin Guillaume</a>, directeur des&nbsp;<a href="http://www.ares-ac.be/relations-internationales&quot; target="_blank">Relations internationales</a>&nbsp;à l’ARES,&nbsp;<em>peut aussi s’appuyer sur un solide capital humain : pour 1000 employés sud-coréens, à peu près 13 sont chercheurs et 16 sont employés dans la recherche-développement</em> ».<br /><br /></p>
<blockquote><em><strong>« Des projets-phares résolument tournés vers l’international »</strong></em></blockquote>
<p><br />Au-delà des chiffres, cette politique volontariste se traduit aussi par d’ambitieux programmes publics de soutien à la recherche et à l’enseignement supérieur. Au cours des 15&nbsp;dernières années, les autorités ont ainsi mis en place plusieurs projets-phares qui ont fait leurs preuves&nbsp;:</p>
<ul>
<li>Le projet <em>Brain Korea 21</em>, établi en 1999, vise à favoriser la recherche, la création et l’innovation au sein des universités par le biais de financement de chercheurs, d’environnements de recherche, de mobilité, etc.</li>
<li>Le&nbsp;<em>Study Korea Project</em>, établi en 2004, vise à attirer les étudiants internationaux, notamment par l’organisation de programmes en anglais, le développement de centres d’études coréens à l’étranger, etc.</li>
<li>En 2007, l’Assemblée nationale a adopté un nouveau cadre légal visant à faciliter l’enseignement transfrontalier ainsi que l’organisation et la délivrance de programmes ou diplômes conjoints.</li>
<li>Le projet <em>World Class Research-oriented University</em> (WCU), établi en 2008, vise essentiellement à attirer des chercheurs de haut niveau dans les meilleurs établissements coréens.<br /><br /></li>
</ul>
<h3>Un réseau de 359 établissements d’enseignement supérieur fondé sur système proche des systèmes belge francophone et européen</h3>
<p>La Corée du Sud compte près de 3,3&nbsp;millions d’étudiants répartis dans 359&nbsp;établissements dont 80&nbsp;%, considérés comme privés, accueillent plus de 85&nbsp;% de la population étudiante. Le système se base sur sept types d’établissements différents offrant chacun des programmes au profil spécifique&nbsp;: <em>colleges</em> et <em>universities</em>, <em>industrial universities</em>, <em>universities of education</em>, <em>junior colleges</em>, <em>broadcast and correspondence universities</em>, <em>technical colleges</em> et d’autres institutions d’enseignement et de recherche. Parmi eux, les universités considérées&nbsp;généralement&nbsp;comme les plus prestigieuses&nbsp;: les universités «&nbsp;SKY&nbsp;» (<a href="http://www.useoul.edu&quot; target="_blank">Seoul National University</a>, <a href="http://www.korea.edu&quot; target="_blank">Korea University</a> et <a href="http://oia.yonsei.ac.kr/&quot; target="_blank">Yonsei University</a>) et le <a href="http://www.kaist.edu/&quot; target="_blank">Korea Advanced Institute of Science and Technology</a> (KAIST).</p>
<p>La structure de l’enseignement supérieur sud-coréen est assez similaire au système en trois cycles mis en place dans le cadre du Processus de Bologne. À côté des <em>associate degrees</em> délivrés par les <em>junior colleges</em> au terme d’un programme de 2 à 3&nbsp;ans, le pays délivre des diplômes de bachelier (4&nbsp;ans), de master (uniquement par les universités et généralement d’une durée de 2 à 4&nbsp;ans) et de doctorat (uniquement par les universités) suivant un système de crédits qui ne correspond néanmoins pas tout à fait au système ECTS.<br /><br /></p>
<h3>Un paysage à haut potentiel pour développer nos partenariats académiques</h3>
<p>Le paysage confirme le potentiel de la Corée du Sud comme partenaire international de premier ordre pour les établissements d’enseignement supérieur de la Fédération Wallonie-Bruxelles. «&nbsp;<em>Nos établissements ont bien entendu déjà conclu des partenariats institutionnels avec leurs homologues coréens. Mais ils se concentrent aujourd’hui surtout sur la mobilité étudiante "in" et "out", dans les domaines des sciences de gestion, des sciences et technologies, des sciences appliquées ou des langues. Il est possible d’aller plus loin</em>, précise&nbsp;<a href="https://twitter.com/_kevinguillaume&quot; target="_blank">Kevin Guillaume</a>,<em> et c’est précisément là l’objectif de la mission.&nbsp;</em>»</p>
<p>Plusieurs rencontres à haut niveau sont programmées, notamment avec les universités « SKY » et le KAIST, ainsi qu’avec la plupart des acteurs-clés du secteur&nbsp;: <a href="http://english.moe.go.kr&quot; target="_blank">ministère de l’Éducation, des Sciences et Technologies</a>&nbsp;; <a href="http://www.nrf.re.kr&quot; target="_blank">agence nationale de la recherche</a>&nbsp;; associations des&nbsp;<a href="http://english.kcue.or.kr&quot; target="_blank">présidents des universités</a> et <a href="http://www.kcce.or.kr/guide/viewer/English.pdf&quot; target="_blank">des university colleges</a>, etc., mais aussi la Délégation de l’Union européenne, l’Ambassade de Belgique et les agences sœurs de <a href="http://www.studyinbelgium.be&quot; target="_blank">Wallonie-Bruxelles Campus</a> (WB Campus)&nbsp;:&nbsp;<a href="https://www.epnuffic.nl&quot; target="_blank">EP Nuffic</a> (Pays-Bas) et&nbsp;<a href="http://www.campusfrance.org/fr/&quot; target="_blank">Campus France</a>.</p>
<p>Les discussions porteront avant tout sur les tendances et les priorités de chacun en matière (de politique) d’enseignement supérieur, de recherche, de mobilité et de coopération internationales, d’innovation ou encore de collaborations avec le monde de l’entreprise. Mais l’objectif poursuivi ne consiste pas seulement à faire plus ample connaissance ou à faire le point sur les partenariats existants. Il s’agit de dégager les pistes pour les renforcer et pour envisager le futur des collaborations, par exemple dans le cadre de programmes de recherche ou d’études conjoints, de mobilité ou de cotutelle de thèse.<br /><br /></p>
<blockquote><em><strong>«&nbsp;Développer des relations gagnant-gagnant entre des acteurs qui partagent des valeurs et poursuivent des intérêts communs&nbsp;»<br /></strong></em></blockquote>
<p><span style="background-color: #ffff00;"><br /><span style="background-color: #ffffff;">Pour Julien Nicaise, administrateur de l’ARES</span></span><span style="background-color: #ffffff;">,</span> «&nbsp;<em>les opportunités sont nombreuses pour les universités et les hautes écoles de la Fédération Wallonie-Bruxelles, et encourager une coopération encore plus étroite entre nous et nos collègues coréens est une priorité. Nos propres atouts et le contexte coréen sont particulièrement propices pour développer des relations gagnant-gagnant dans tous ces domaines entre des acteurs qui, non seulement, ont de nombreuses similarités, mais qui partagent aussi des valeurs et poursuivent des intérêts communs&nbsp;</em>».</p>
<p>Dès mars 2015, la <a href="http://www.ares-ac.be/a-propos/instances/commissions-permanentes/relati…; target="_blank">Commission des relations internationales</a> de l’ARES, sous la houlette du professeur <a href="https://twitter.com/jaumain_serge&quot; target="_blank">Serge Jaumain</a>, vice-recteur à l'Université libre de Bruxelles (ULB), avait confirmé l’intérêt d’une telle mission. Organisée en collaboration avec WB Campus sous le pilotage du professeur&nbsp;<a href="http://www.usaintlouis.be/sl/100160.html&quot; target="_blank">Bertrand Hamaide</a>, vice-recteur à l’enseignement et aux relations internationales de l’Université Saint-Louis – Bruxelles (USL-B), elle a lieu sur quatre jours, du 12 au 15 avril, et rassemble une importante délégation de haut niveau composée notamment de recteurs, vice-recteurs et responsables des relations internationales de huit de nos établissements d’enseignement supérieur, du <a href="http://www.frs-fnrs.be/&quot; target="_blank">FRS-FNRS</a>, de l’ARES et de WB Campus.</p>
<p><a href="https://twitter.com/search?q=%23ARESmissionKR&amp;src=typd&quot; target="_blank"><br />#ARESmissionKR<br /><br /></a></p>
<p><strong>Composition de la délégation&nbsp;:&nbsp;</strong></p>
<p>Maïté Abram (HE Vinci)<br />Prof. Vincent Blondel (recteur, UCL)<br />Prof. Annick Castiaux (UNamur)<br />Marie Clotuche (ULg)<br />Yuan Feng (ULB)<br />Kevin Guillaume (ARES)<br />Dr Ir Véronique Halloin (secrétaire générale, FRS-FNRS)<br />Prof. Bertrand Hamaide (vice-recteur, USL-B)<br />Prof. Adrian Hopgood (ULg)<br />Prof. Serge Jaumain (vice-recteur, ULB)<br />Marine Kravagna (WB Campus)<br />Prof. Pascal Leroy (vice-recteur, ULg)<br />Jean-Louis Moortgat (ULB)<br />Julien Nicaise (administrateur de l’ARES)<br />Philippe Parmentier (HEPL)<br />Jacques Piette (ULg)<br />Prof. Alain Vande Wouwer (vice-recteur, UMONS)<br />Prof. Didier Viviers (recteur de l’ULB)<br />Prof. Pietro Zidda (UNamur)</p>
<p>&nbsp;</p>
<p><span lang="EN-US">Photo :&nbsp;</span> <a href="http://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0/&quot; title="Creative Commons Attribution-Share Alike 3.0&lt;p&gt;&lt;/p&gt;"><span lang="EN-US">CC BY-SA 3.0</span></a> <span lang="EN-US">&nbsp;/ <a href="https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Flag_of_South_Korea_(cropped).j…; target="_blank">https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Flag_of_South_Korea_(cropped).j… ARES</span></p>
<p>&nbsp;</p>

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