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Documents et outils

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Lancement du nouveau site web DIES : un outil interactif pour accompagner l'internationalisation des établissements

Soumis par Marine le

L’ARES a le plaisir d’annoncer la mise en ligne du nouveau site web DIES, qui rassemble désormais l’ensemble des ressources liées aux Descripteurs d’internationalisation pour l’enseignement supérieur (DIES) et propose un outil d’auto-évaluation entièrement repensé et accessible en ligne.

DIES en quelques mots

L’outil DIES constitue un référentiel composé de 121 descripteurs permettant d’observer, de manière structurée, les différentes composantes d’une stratégie d’internationalisation. L’objectif n’a jamais été de mener à un classement ou un modèle unique des activités et stratégies mises en place par les établissements, mais de fournir un cadre commun pour décrire, analyser et faire évoluer les pratiques d’internationalisation, dans toute leur diversité.

Un outil interactif pour soutenir l’analyse et le dialogue interne

Le nouvel outil en ligne met à disposition des établissements une interface intuitive permettant de :

  • consulter les sept dimensions du DIES, dont la nouvelle dimension « Durabilité » ;
  • évaluer les descripteurs un à un, commenter chaque élément et générer un rapport personnalisé ;
  • travailler à plusieurs, grâce à un système de comptes utilisateurs ;
  • accéder aux bonnes pratiques partagées par d’autres établissements.

L’outil ne vise pas à évaluer la performance, mais à aider chaque établissement à visualiser l’état de son internationalisation à un moment donné, à consolider l’expertise interne, et à soutenir les discussions stratégiques ou les transitions d’équipe.

L’accès au site est disponible à cette adresse : https://dies.ares-ac.be.

Retour sur le webinaire du 14 novembre

Le webinaire a été ouvert par Céline Nicodème (Direction générale de l'Enseignement supérieur, de l'Enseignement tout au long de la vie et de la Recherche scientifique), qui a rappelé l’origine de l’outil, son développement, et ses objectifs. La séance s’est poursuivie par un échange particulièrement éclairant entre Irina Ferencz (Academic Cooperation Association) et Giorgio Marinoni (Association Internationale des Universités), qui ont partagé leur analyse des enjeux liés à l’évaluation des stratégies d’internationalisation. Leur discussion a permis de replacer le DIES dans une perspective européenne et internationale, et de souligner l’importance d’outils permettant un examen régulier, structuré et collaboratif des activités internationales.

Le webinaire a également présenté le fonctionnement du nouvel outil en ligne — de la notation des descripteurs à la génération de rapports — ainsi que des témoignages d’institutions mettant en évidence la manière dont certains descripteurs ont inspiré de nouvelles initiatives au sein de leurs établissements.

La vidéo est disponible sur YouTube.

Une ressource à explorer et à s’approprier

Nous invitons l’ensemble des établissements à consulter le site, à parcourir les descripteurs, à tester l’outil, et à l’utiliser comme support de réflexion, d’amélioration continue et de partage de pratiques.

Pour toute question ou pour être accompagné dans la prise en main du DIES en ligne, l’équipe des relations internationales de l’ARES reste à votre disposition.

DIES

Site DIES

Rendez-vous sur le site DIES pour plus d'informations et visualiser le replay du webinaire

DIES
Non-importé
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Habilitations : 14 nouveaux programmes d’études proposés par l'ARES

Soumis par Antoine le

Le Conseil d’administration de l’ARES a remis ce 17 décembre 2024 un avis positif pour des demandes d’habilitation, qui devront encore être soumises au Gouvernement et au Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles (FWB) pour décision.

En vue de solliciter l’avis des organes représentatifs des milieux socioéconomiques (voir ci-dessous), la Ministre de l’enseignement supérieur a indiqué à l’ARES que les nouvelles habilitations entreront en vigueur en septembre 2026.

Si le Gouvernement et le Parlement de la FWB octroient ces habilitations, l’enseignement supérieur francophone enrichira son offre diplômante parmi les 62 demandes retenues par l’ARES, de 14 formations inédites (des « créations ») :

  • 6 masters (120 crédits),
  • 4 masters de spécialisation,
  • 2 bacheliers en alternance,
  • 1 bachelier de spécialisation,
  • 1 brevet de l'enseignement supérieur en alternance.

S’y ajoutent 12 « ouvertures » de formations déjà existantes et 36 modifications de partenariat n’impactant pas le nombre total d’habilitations.

Les établissements d’enseignement supérieur ont répondu au souhait du Gouvernement de « privilégier l’alternance dans toutes les filières pour les apprentissages qui s’y prêtent » : le bachelier : assistant de direction, le bachelier en assurances et gestion du risque, le BES en heating, ventilation et air conditioning et le master en smart buildings sont ainsi proposés à la création et 3 habilitations en alternance sont proposées pour le bachelier en bioqualité, le bachelier en biopharmaceutique et le master : business analyst.

Réforme du processus d’habilitations

Ces dernières années, les règles encadrant les habilitations ont été modifiées à plusieurs reprises par le législateur. Le décret du 5 juillet 2023, modifiant le décret « Paysage », a introduit de nouveaux mécanismes plus contraignants, désormais applicables à toutes les procédures d’habilitations menées par l’ARES. Ces changements incluent, entre autres :

  • La règle dite du « +1/-1 » : toute nouvelle habilitation est désormais conditionnée à la suppression d’une habilitation existante activée par l’établissement référent.
  • Le financement différé : lorsqu’une nouvelle habilitation est activée, les inscriptions à ce cursus ne seront pas prises en compte pour le calcul du financement de l’établissement concerné pendant une période de 3 ans.
  • Un délai de mise en œuvre : toute nouvelle habilitation doit être activée dans un délai de trois ans, sous peine de suppression.
  • Des consultations élargies : le Gouvernement va solliciter un avis, en plus de celui de l’ARES, à d’organes représentatifs des milieux socioéconomiques. Il a opté pour BruPartners à Bruxelles et le CESE Wallonie.

Il convient de noter que le législateur a prévu des dérogations à ces principes, notamment pour le développement de formations répondant à des obligations légales, de formations innovantes, augmentant l’offre dans des zones ou elle est déficitaire ou menant à des métiers en pénurie.

En savoir +
Accédez à la liste complète des demandes de créations et ouvertures d’habilitations.


Le catalogue des études organisées en Fédération Wallonie-Bruxelles pour l’année académique en cours est disponible sur www.mesetudes.be/catalogue. L’offre pour l’année académique 2025-2026 sera disponible dans le catalogue à partir du mois de juin 2025.

Note 1 : La « création » concerne de nouveaux grades pour lesquels aucun établissement d’enseignement supérieur en FWB ne possède actuellement d’habilitation.
Note 2 : L’« ouverture » concerne des grades déjà organisés par au moins un autre établissement en FWB ou par l’établissement demandeur dans un autre arrondissement.

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Podcast D-ZOOM / L'internationalisation de l'enseignement supérieur

Dans cet épisode, nous accueillons trois intervenantes pour échanger autour des stratégies, politiques et pratiques d'internationalisation dans leurs établissements d'enseignement supérieur.

18-05-2021 | Avis sur les habilitations : Critères d'évaluation des demandes (version actualisée du 22 novembre 2022)

Note du Conseil d'orientation au Conseil d'administration de l'ARES du 25 mai 2021 (PDF)

18-05-2021 | Avis sur les habilitations : Critères d'évaluation des demandes

Note du Conseil d'orientation au Conseil d'administration de l'ARES du 25 mai 2021 (PDF) 

Habilitations 2022 : 41 formations supérieures inédites proposées par l'ARES

Soumis par Antoine le

Le Conseil d’administration de l’ARES a remis ce mardi 20 décembre 2022, au terme d’un processus d’analyse, un avis positif pour des demandes d’habilitations qui devront à présent être soumises au Gouvernement et au Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles pour décision. 

Moyennant l’approbation du Gouvernement et du Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles (FWB), l’enseignement supérieur francophone devrait enrichir son offre diplômante, au plus tôt, à la rentrée de septembre 2023 : 60 demandes d’habilitations ont en effet été retenues par l’ARES. Parmi celles-ci, 41 formations supérieures inédites : 16 bacheliers de type court, 10 masters (120 crédits), 3 masters organisés en alternance, et 9 masters de spécialisation. En outre, s’ajoutent 14 formations existantes sur une nouvelle implantation et 5 adaptations de partenariats n’impactant pas le volume de l’offre globale. 

Le Conseil d’administration de l’ARES a également remis un avis favorable à l’ouverture des habilitations, entre autres, pour le grade de Médecin et le master en droit à l’UMONS (en partenariat avec l’ULB), le bachelier en jeu vidéo (organisé en codiplômation par la Haute École de la Province de Liège et la Haute École Albert Jacquard), les deux bacheliers en informatique et systèmes (HENaLLux) ou encore le bachelier : technologue en imagerie médicale, dans l’arrondissement de Bruxelles-Capitale.

Des cursus proposés de manière coordonnée

Il est à noter que 4 nouveaux cursus sont proposés de manière coordonnée entre des établissements d’enseignement supérieur déposants. Il s’agit de demandes d’habilitation distinctes pour chaque établissement, mais ceux-ci se sont coordonnés pour la conception de ces nouveaux programmes. Pour Laurent Despy, Administrateur de l’ARES, “une telle démarche s'inscrit dans l'ADN de l'ARES et est un signal positif visant à améliorer la cohérence de l’offre d’études, facilitant la lecture de cette offre pour le grand public”.

Il s’agit du master en urbanisme et développement territorial (organisé séparément par l'ULB, l'UCLouvain, l'UMONS, l'ULiège), du master : ingénieur civil en génie de l’énergie (organisé séparément par l'ULB, l'ULiège, l'UCLouvain, l'UMONS), du bachelier en informatique et systèmes, orientation intelligence artificielle (organisé en codiplômation par la Haute École de Namur-Liège-Luxembourg et l'École Supérieure des Affaires ainsi que par la Haute Ecole Libre Mosane et l’Institut Saint-Laurent de Promotion Sociale) et du bachelier en accueil et éducation du jeune enfant (9 organisations réparties sur le territoire de la FWB en horaire décalé ou de jour). 

Si toutes les propositions sont acceptées par le Gouvernement et par le Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles, les établissements pourront ouvrir ces formations dès la rentrée de septembre 2023, au plus tôt

Rappel de quelques principes concernant le processus d'habilitations

  • L’établissement d’une procédure bien balisée assure l’équité de traitement des dossiers et est de nature à favoriser une régulation harmonieuse de l’offre de formation. 
  • Un planning précise la périodicité du processus d’habilitation qui intervient, au plus, une fois par an. 
  • La pertinence globale de la demande est évaluée au regard des critères suivants :
    • Elle vise le développement de la science et des arts ;
    • Elle rencontre un enjeu sociétal ;
    • Elle répond à une demande légale d’actualisation de la formation ;
    • Elle répond à un besoin socio-économique ou culturel attesté par un ou plusieurs organisme(s) externe(s) ; il s’agit, entre autres, du développement d’une expertise de pointe requise par le monde professionnel ou la recherche ;
    • Elle constitue une plus-value en termes d’ouverture à des publics spécifiques (inclusion sociale, recrutement international, adultes…).
  • Les critères de concurrence, redondance et d’adéquation entre le projet et les ressources sont également pris en compte.

 

En savoir +
Accédez à la liste complète des créations et ouvertures d’habilitations

Les avis détaillés correspondants aux habilitations approuvées par le CA de l’ARES seront consultables, dans le courant du mois de janvier, sur le site Internet de l’ARES

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L'enseignement supérieur artistique franco-belge se donne rendez-vous

Soumis par Antoine le

La troisième édition des journées franco-belges des écoles supérieures des arts sera accueillie du 30 juin au 2 juillet 2022 par l’ESA Saint-Luc Liège, les Beaux-Arts de Liège, l'École nationale supérieure des arts visuels de la Cambre à Bruxelles et la KASK Académie Royale des Beaux-Arts de Gand.

Ce rendez-vous, désormais incontournable entre les représentants et représentantes des écoles supérieures des arts belges et des écoles supérieures d'art et design françaises, est co-organisé par l’ARES – l’Académie qui fédère les établissements d’enseignement supérieur de la Communauté française de Belgique – et l’ANdEA – l’association nationale des écoles supérieures d’art et design publiques françaises -– avec le soutien de WB Campus et de l’Ambassade de France en Belgique.

Organisées autour de débats en plénière, d’ateliers de travail, de moments conviviaux et de la découverte des écosystèmes artistiques et culturels, ces journées visent à encourager les échanges d’expérience, d’expertise et de pratiques entre les établissements, à connecter la communauté franco-belge de l’enseignement supérieur des arts et du design, à renforcer la coopération et à envisager de nouveaux types de partenariats. Près de vingt écoles françaises et une dizaine d’écoles belges seront représentées par 120 participants et participantes – directeurs et directrices d’écoles, responsables pédagogiques, de la recherche ou de l’international, bibliothécaires, artistes-enseignant⸱es, ainsi que la communauté étudiante.

La transdisciplinarité aide-t-elle à agir dans un monde en mutation ? Comment questionner le numérique en école d’art ? Quelle place l’activisme peut-il avoir dans nos établissements ?

Les participant·es travailleront ensemble autour de questions majeures qui traversent les écoles d’art en transition et questionneront leurs pratiques. Ce programme, élaboré avec les participant·es, abordera ainsi concrètement, à partir de coopérations franco-belges existantes ou à venir, la professionnalisation des jeunes artistes, le soutien à la recherche en art, les évolutions pédagogiques et les rapports enseignant·es / étudiant·es, le renouvellement des missions des bibliothèques artistiques, l’organisation du travail créatif en ligne, le rôle de l’art et du design dans les transitions urbaines, l'accueil d’artistes en exil dans nos écoles, etc.

Le fruit d’une coopération historique consolidée depuis 2017

Les échanges entre les écoles françaises et belges mais aussi entre les deux scènes artistiques ont toujours été importants, avec des communautés enseignantes et étudiantes vivant dans un pays et travaillant ou étudiant dans l'autre, mais aussi des mobilités et des partenariats d'autant plus naturels entre les établissements eux-mêmes.

Les premières rencontres franco-belges ont été organisées en 2017 à la LUCA School of Arts à Bruxelles par l'Ambassade de France en Belgique et ont rassemblé une quarantaine d’écoles avec une centaine de participant⸱es.

En 2019, la deuxième édition des rencontres, mise en œuvre par l'ANdEA et l'Ambassade de France en Belgique, qui s'était tenue à l'Ecole nationale supérieure de la photographie d'Arles, à l'Ecole supérieure des beaux-arts de Montpellier MO.CO Contemporain et à l'Ecole supérieure des beaux-arts de Nîmes, portait sur la relation des écoles de création aux professions et plus largement à l'espace social, questionnant les pédagogies et les nouveaux enjeux à l'œuvre.

C’est ainsi qu’a émergé l'envie de structurer et de formaliser le partenariat entre l'ARES et l'ANdEA – en vue notamment d'appuyer les collaborations entre écoles d'art, de favoriser l'échange de pratiques, d'expérience et d'expertise – lequel s'est concrétisé en juillet 2021 avec la signature d’un mémorandum d’entente et se déploie cette année avec l’organisation de ces 3e rencontres en Belgique.


Troisième édition des journées franco-belges des écoles supérieures des arts du 30 juin au 2 juillet 2022 à Liège, Bruxelles et Gand

Organisée par :

ARES - Académie de recherche et d’enseignement supérieur
ANdEA - Association nationale des écoles supérieures d’art

Accueillie par :

l’ESA Saint-Luc Liège
les Beaux-Arts de Liège
l'École nationale supérieure des arts visuels de la Cambre à Bruxelles 
l’Académie Royale des Beaux-Arts de Gand (KASK)

Avec le soutien de :

Ambassade de France en Belgique
WB Campus

 

EN SAVOIR+ : Programme à découvrir ici

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