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Documents et outils

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38 résultat(s)

Epreuve de maitrise approfondie de la langue française : 12,67% des étudiantes et étudiants maitrisent déjà les compétences attendues en fin de master

Soumis par Antoine le

Le mardi 15 octobre dernier a eu lieu l’épreuve liminaire portant sur la maitrise approfondie de la langue française1 (EMLF). Les résultats de cette épreuve, facultative et dispensatoire pour les masters en enseignement des sections 1 à 3, qui a réuni 2746 étudiantes et étudiants, ont été délibérés et validés par le jury.

Présentation des résultats

Sur les 3088 étudiantes et étudiants inscrits, 2746 ont effectivement présenté l’épreuve, soit un taux de participation de 88,92%. Les résultats indiquent que 12,67% des personnes ayant présenté l’EMLF, soit 348 lauréates et lauréats, maitrisent à l’entame des études le niveau attendu en fin de cursus. Par conséquent, ces étudiantes et étudiants sont dispensés des 5 crédits consacrés à la culture de l’écrit et à ses pratiques.

Le jury souligne que le fonctionnement de la langue (orthographe lexicale et grammaticale, syntaxe, ponctuation) est ce qui pose le moins de difficultés aux étudiantes et aux étudiants, avec un taux de réussite de 42,46%.

C’est au niveau textuel que se posent le plus de difficultés : les compétences de production écrite (résumé et argumentation), avec un taux de réussite de 25,49%, et les compétences de compréhension du texte (QCM), avec un taux de réussite de 33,17%.

Les conditions de réussite de l’épreuve

L’épreuve est composée de deux parties : un questionnaire à choix multiples (QCM) portant sur la compréhension d’un texte scientifique et une production écrite argumentative. Pour réussir, l’étudiante ou l’étudiant devait atteindre le niveau C1 du Cadre Européen Commun de Référence pour les Langues (CECRL). Ce niveau est validé et l’épreuve est réussie lorsque les trois conditions cumulatives suivantes sont remplies :

  • réussir la partie QCM avec 60% de réponses correctes ;
  • atteindre 97% de formes correctes pour le fonctionnement de la langue dans la production écrite ;
  • réussir la production écrite avec 50%, indépendamment du fonctionnement de la langue.

Cours de maitrise de langue française

Les étudiantes et étudiants qui n’ont pas réussi l’épreuve pourront consulter leur copie et bénéficier d’un feedback personnalisé. Ceux-ci suivront le cours de maitrise de la langue française inscrit à leur programme, tout comme les personnes qui ne l’ont pas présentée. Leurs compétences en culture et pratiques de l’écrit pourront ainsi être affinées au cours des quatre années de leur cursus.

 

Les deux parties de l’épreuve ainsi que le corrigé du QCM seront accessibles, dès le lundi 16 décembre, sur le sitemesetudes.be.

 

Note(1) Rappelons que l’EMLF était prévue cette année encore pour les sections 1 à 3 (futures enseignantes et futurs enseignants de la classe d’accueil à la 3e année du secondaire). Pour les sections 4 et 5 (futures enseignantes et futurs enseignants du secondaire supérieur), l’EMLF sera obligatoire dès septembre 2025 et liée à l'attribution de 5 crédits supplémentaires en cas de non-réussite.

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3091 inscriptions à la seconde édition de l’épreuve sur la maitrise approfondie de la langue française

Soumis par Antoine le

La seconde édition de l’épreuve liminaire portant sur la maitrise approfondie de la langue française en qualité d’émetteur et de récepteur en contexte professionnel (EMLF) se déroule aujourd’hui ! Organisée au sein de 15 établissements d’enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles, elle s’inscrit dans le cadre du décret définissant la réforme de la formation initiale des enseignants du 7 février 2019.

Qui est concerné ?

Un total de 3091 étudiantes et étudiants des sections 1 à 3 (futures enseignantes et futurs enseignants de la classe d’accueil à la 3e° année du secondaire) passent en ce moment leur épreuve dans l’établissement de leur choix. Cette épreuve, bien que facultative, leur offre la possibilité d’obtenir une dispense du cours de maitrise de la langue française prévu en première année du cursus, s’ils la réussissent.

Quelles sont les conditions de réussite ?

Pour réussir cette épreuve, l’étudiante ou l’étudiant doit atteindre le niveau C1 du Cadre Européen Commun de Référence pour les Langues. Pour ce faire, deux compétences vont être évaluées :

  • analyser et résumer un texte écrit informatif ou argumentatif au niveau des contenus explicites et implicites ;
  • produire un texte écrit argumentatif en mettant en œuvre adéquatement un processus d’écriture, en ce compris les règles syntaxiques et orthographiques.

L'EMLF a donc pour objectif d'évaluer le niveau de la langue française, nécessaire pour enseigner. Si ce niveau n’est pas atteint dès le début des études, les étudiantes et les étudiants suivront un cours leur permettant d’acquérir les compétences attendues.

Comment les résultats seront-ils communiqués ?

Après avoir préparé cette épreuve, le jury, assisté par des expertes et experts, pourra délibérer des résultats de l’épreuve.

Ces résultats seront communiqués, au plus tard le premier mardi du mois de décembre, soit le 3 décembre 2024. Les candidates et candidats recevront personnellement leur résultat de l’épreuve, soit une attestation de réussite ou une attestation de participation en cas d'échec, le cas échéant.

 
 
 
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Réforme de la formation initiale des enseignants : deuxième édition de l’épreuve sur la maitrise approfondie de la langue française

Soumis par Antoine le

La deuxième édition de l’épreuve liminaire écrite portant sur la maitrise approfondie de la langue française en qualité d’émetteur et de récepteur en contexte professionnel (EMLF) aura lieu le mardi 15 octobre 2024 dans une quinzaine d’établissements d’enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles. Les étudiantes et étudiants pourront s’y inscrire gratuitement, du 10 septembre au 1er octobre 2024, via une plateforme en ligne.

Qui est concerné ?

  • Elle est organisée pour les sections 1 à 3 (futures enseignantes et futurs enseignants de la classe d’accueil à la 3e année du secondaire). Pour ces sections, l’épreuve est facultative et permet d’obtenir une dispense du cours de maitrise de la langue au programme de la première année d’études.
  • Les sections 4 et 5 (futures enseignantes et futurs enseignants de la fin du secondaire) seront concernées dès l’année académique 2025-2026. L’épreuve sera obligatoire et liée à 5 crédits supplémentaires en cas d’échec pour les étudiantes et les étudiants des sections 4 et 5.

Quelles sont les conditions de réussite ?

Pour réussir ce test, les étudiantes et étudiants doivent atteindre le niveau C1 du Cadre Européen Commun de Référence pour les Langues (CECRL). Deux compétences seront évaluées :

  • Analyser et résumer un texte écrit informatif ou argumentatif au niveau des contenus explicites et implicites.
  • Produire un texte écrit argumentatif en mettant en œuvre adéquatement un processus d’écriture, en ce compris les règles syntaxiques et orthographiques.

L'EMLF a donc pour objectif d'évaluer le niveau de maîtrise de la langue française, nécessaire pour enseigner. Si ce niveau n’est pas atteint dès le début des études, les étudiantes et les étudiants suivront un cours leur permettant d’acquérir les compétences attendues.

Comment se préparer à l’épreuve ?

Les modalités académiques et les conditions de réussite sont définies au sein d’un programme détaillé rédigé par un jury composé de neuf membres représentant les établissements d’enseignement supérieur. Pour celles et ceux qui le souhaitent, il est d’ailleurs possible de se préparer à l’épreuve via la plateforme mesetudes.be.

Comment les résultats seront-ils communiqués ?

Chaque personne recevra personnellement le résultat de son épreuve au plus le mardi 3 décembre 2024 avec une mention de réussite ou de non-réussite. La grille d’évaluation reprenant les critères de réussite est mise à la disposition de l’étudiante ou de l’étudiant sur le site mesetudes.be à la suite des consignes de passation de l’épreuve.

L’an dernier, près de 3 440 étudiantes et étudiants ont participé à la première édition du test.

 

Les informations essentielles au sujet de l’épreuve se trouvent sur le site mesetudes.be.

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Plaidoyer pour la mise en place d’un enseignement supérieur inclusif 2.0

Soumis par Antoine le

Ce 30 janvier 2024 marque les dix ans du décret relatif à l’enseignement supérieur inclusif, voté par la Fédération Wallonie-Bruxelles en application de la convention ONU relative aux droits des personnes en situation de handicap (CDPH). À cette occasion, la Commission de l’enseignement supérieur inclusif (CESI) et Unia plaident pour que les autorités passent à la vitesse supérieure. Les demandes de reconnaissance d’un handicap émanant des étudiants et étudiantes de l’enseignement supérieur ont explosé et nécessitent des moyens humains supplémentaires.

Le décret a permis d’encadrer la mise en place des aménagements raisonnables prévus par la législation antidiscrimination et de légitimer l’engagement de nombreux acteurs en faveur d’un enseignement plus inclusif pour les étudiantes et étudiants en situation de handicap. Depuis lors, les établissements sont dans l’obligation légale de mettre en œuvre des dispositifs visant à supprimer ou à réduire les barrières matérielles, pédagogiques, culturelles, sociales et psychologiques rencontrées par ces étudiantes et étudiants lors de leurs études.

Nombre de demandes multiplié par 7

En 10 ans, la CESI a constaté une explosion des demandes étudiantes en vue de faire reconnaitre une situation de handicap. Leur nombre est passé de 904 à près de 6.500 entre 2014 et 2023. Près de 2,5 % de l’ensemble de la population étudiante du supérieur introduisent une demande.

Ces demandes sont gérées au sein des services d’accueil et d’accompagnement par 165 personnes représentant seulement 48 ETP (équivalents temps plein). En moyenne, une personne consacre donc une journée et demie par semaine pour coordonner près de 120 dossiers par an. Les équipes s’essoufflent, avec le risque à terme de ne plus être en mesure d’accueillir le public estudiantin ou d’assurer un niveau de qualité satisfaisant dans l’exécution des tâches considérées comme un « minimum ».

Des troubles spécifiques nécessitant des équipes pluridisciplinaires spécialisées

Les troubles spécifiques d’apprentissage font l’objet de 2 requêtes sur 3, suivis par les maladies invalidantes, avec un peu moins d’1 demande sur 7. Les déficiences sensorielles constituent quant à elles 5 % des demandes et les déficiences motrices 5 %.

Les troubles psychiques et les maladies invalidantes représentent de véritables défis dans leur prise en charge par les services d’accueil et d’accompagnement. Le décret enseignement supérieur inclusif centre son action sur « l’étudiant » et induit une individualisation de son accompagnement, ce qui nécessite d’avoir des professionnels pérennes et formés de manière continue aux maladies chroniques ou invalidantes, troubles et autres handicaps.

Éviter la concurrence entre les besoins inclusifs et les besoins sociaux

Chaque établissement d’enseignement supérieur est tenu de consacrer, par période de trois années académiques, un montant au moins équivalent à 5 % de son budget social à la mise en œuvre du décret. « La CESI demande que le soutien à l’inclusion des étudiants et étudiantes en situation de handicap soit distinct du budget social afin que les besoins inclusifs n’entrent plus en « concurrence » avec les besoins de lutte contre la précarité. Un budget spécifique permettra d’assurer la stabilité du personnel, la pérennité des missions et les besoins de formation professionnelle » explique Florence Elleboudt, présidente de la CESI.

Évaluation de la Belgique par l’ONU

Au printemps prochain, Unia remettra un rapport actualisé au Comité des droits des personnes handicapées de l’ONU, en vue de l’évaluation (finale) de la Belgique fixée au mois d’août 2024. En vertu de l’article 24 de la CDPH, signée par la Belgique en 2009, un système d’éducation inclusif de qualité doit être progressivement mis en place, pour tous les niveaux d’enseignement. L’objectif est d'assurer l'exercice du droit fondamental à l’éducation sans discrimination et sur la base de l'égalité. Ce droit à l’inclusion a d’ailleurs été rajouté dans la Constitution en 2021 (art 22ter).

« La question n’est pas de savoir si on est pour ou contre un système d’éducation inclusive. Parce que c’est obligatoire selon un cadre juridique international, européen et constitutionnel belge explicite. Malgré des avancées et des équipes « qui en veulent », il faut aujourd’hui rendre ce droit effectif en y mettant les moyens nécessaires. Unia le rappellera au Comité ONU des droits des personnes handicapées lors de l’évaluation de la Belgique cet été », rappelle Patrick Charlier, directeur d’Unia.


EN SAVOIR + : Découvrir le Plaidoyer pour la mise en place d'un enseignement supérieur inclusif 2.0

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Plaidoyer pour la mise en place d’un enseignement supérieur inclusif 2.0

Ce 30 janvier 2024 marque les dix ans du décret relatif à l’enseignement supérieur inclusif, vo

La première épreuve de maîtrise approfondie de la langue française livre ses résultats

Soumis par Antoine le

Le 17 octobre dernier a eu lieu la première épreuve sur la maitrise approfondie de la langue française (EMLF), marquant ainsi une étape significative dans la réforme de la formation initiale des enseignants. Les résultats de cette épreuve non obligatoire, qui a réuni 3102 étudiantes et étudiants, ont été délibérés et validés par le jury.

L’épreuve était composée de deux parties : un questionnaire à choix multiples (QCM) et une production écrite argumentative. Pour réussir, l’étudiante ou l’étudiant devait atteindre le niveau C1 du Cadre Européen Commun de Référence (CECR) pour les Langues. Ce niveau est validé et l’épreuve est réussie lorsque les trois conditions cumulatives sont remplies :

  • réussir la partie QCM avec 60% de réponses correctes ;
  • atteindre 97% de formes correctes pour le fonctionnement de la langue dans la production écrite ;
  • réussir la production écrite avec 50%, indépendamment du fonctionnement de la langue.

Résultats

Sur les 3442 étudiantes et étudiants inscrits, 3102 ont effectivement présenté l’épreuve, représentant un taux de participation de 90%.

En ce qui concerne la partie QCM, 63% des candidates et candidats (1964) ont atteint le seuil de réussite fixé à 7 réponses correctes sur 12. Pour la production écrite, 47% des étudiantes et étudiants (1484) ont atteint le seuil des 97 % de formes correctes, soit un taux de réussite de 47%, tandis que 34% (1064) ont réussi la production écrite, sans prendre en considération le seuil des 97% de formes correctes.
Ces résultats indiquent que 21% des personnes ayant présenté l’EMLF, soit 655 lauréates et lauréats, ont donc réussi.

Rappelons que l’EMLF était initialement prévue cette année exclusivement pour les sections 1 à 3 (futures enseignantes et futurs enseignants de la classe d’accueil à la 3e° année du secondaire). Facultative, cette épreuve permet d’obtenir une dispense du cours de maitrise de la langue au programme de la première année du cursus. Pour les sections 4 et 5 (futures enseignantes et futurs enseignants de la fin du secondaire), l’EMLF sera obligatoire dès 2025 et liée à l'attribution de 5 crédits supplémentaires en cas d'échec.

Attestations et consultation des copies

Les candidates et candidats ont reçu par mail une attestation de réussite ou une attestation de participation (en cas d’échec), valable dans tous les établissements organisant la formation initiale des enseignants. La consultation des copies est organisée par l’établissement dans lequel les candidates et candidats ont passé l’épreuve.

 

Sont considérées comme formes incorrectes : erreurs d’orthographe grammaticale (accords, conjugaison, homophones grammaticaux), d’orthographe lexicale (dont homophones lexicaux), erreurs de lexique (utilisation d’un terme incorrect, d’une mauvaise préposition…), les erreurs syntaxiques (ruptures, phrases averbales, concordance des temps…) et les erreurs de ponctuation indiscutables (une virgule entre le sujet et le verbe, mauvais choix de ponctuation pour finir une phrase…). Pour plus d’infos, consultez l’annexe du présent document.

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Signature d'une convention entre l'ARES et l'AVIQ pour un enseignement supérieur plus inclusif

Soumis par Antoine le

L’Académie de recherche et d'enseignement supérieur (ARES) et l’Agence pour une Vie de Qualité (AVIQ) ont le plaisir d'annoncer la signature conjointe d’une convention visant à renforcer l'accessibilité et l'inclusivité de l'enseignement supérieur en Wallonie. Cette collaboration marque une étape importante dans la volonté commune de promouvoir un enseignement supérieur toujours plus inclusif et adapté à l’ensemble des étudiantes et étudiants, en particulier celles et ceux en situation de handicap.

Depuis 2014, l'ARES accueille la Commission de l’enseignement supérieur inclusif (CESI) qui vise à soutenir et accompagner les étudiantes et étudiants en situation de handicap dans leur parcours académique. L’AVIQ, forte de son expertise acquise au fil des années, joue un rôle essentiel dans l'accompagnement des personnes en situation de handicap en Wallonie et ce, tout au long de leur vie. En outre, l’AVIQ participe activement à la CESI depuis sa création.

Cette convention s’articule autour de quatre axes clés :

  • Information, formation, sensibilisation : l’AVIQ soutiendra la promotion de l'inclusion par des actions de sensibilisation et de formation pour le personnel et le corps étudiant, tout en relayant activement son offre de services aux établissements d'enseignement supérieur.
  • Espace d’échanges : les deux parties collaboreront étroitement pour discuter des aménagements raisonnables et organiseront des réunions régulières pour échanger sur les pratiques, simplifier les procédures administratives, et discuter de situations problématiques.
  • Orientation et insertion socioprofessionnelle : l’AVIQ et les établissements d’enseignement supérieur informeront sur les dispositifs régionaux favorisant l'insertion professionnelle, tout en mettant en place des recommandations pour les lieux de stages et des contacts avec des alumni ayant bénéficié d'aménagements raisonnables.
  • Accompagnement du personnel en situation de handicap : l'AVIQ offrira son expertise pour ajuster les situations de travail du personnel en situation de handicap, renforçant ainsi l'inclusivité au sein des établissements d’enseignement supérieur.

Cette initiative témoigne de l’engagement commun de l’ARES et de l’AVIQ en faveur d'un enseignement supérieur toujours plus inclusif.

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