Documents et outils
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Projets d'amorce et de valorisation 2026
Appel à projets 2026
/ Appel à projets d'amorce et de valorisation 2026
Ouverture : 14 octobre 2025
Date limite du dépôt du dossier à l'ARES : 16 janvier 2026 à 12h (heure belge, UTC+1)
->Information aux candidat·es : veillez aux échéances internes de vos établissements qui peuvent être antérieures à cette date.
Qui peut soumettre un projet et avec qui ?
Le projet doit être déposé par une personne membre d’un établissement d’enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles avec, au moins, un ou une partenaire dans un établissement d’enseignement supérieur d’un pays de la liste ci-dessous et, au moins pour les projets de valorisation, un autre acteur de la coopération non gouvernementale en Belgique.
Un seul projet par promoteur ou promotrice, par catégorie et par appel.
Les pays éligibles ?
- En Afrique : Bénin, Burkina Faso, Burundi, Cameroun, RD Congo, Madagascar, Maroc, Niger, Rwanda, Sénégal.
- En Amérique du Sud et Caraïbes : Bolivie, Cuba, Équateur, Haïti, Pérou.
- En Asie du Sud-Est : Cambodge, Philippines, Vietnam.
Durée ?
1 an ou 2 ans.
Budget ?
Maximum 40 000 € pour les projets de 1 an - Maximum 80 000 € pour les projets de 2 ans.
Détails de l'appel
Télécharger le document d’appel 2026.
Comment soumettre un projet ?
- Le dépôt d’un projet se fait en ligne via la plateforme GIRAF.
- Pas encore de compte GIRAF ? Créer un compte.
- Le lien de création d’un formulaire de projet est communiqué par la cellule de coopération/relations internationales de l’établissement de la Fédération Wallonie-Bruxelles de la personne coordonnatrice du projet. Le formulaire doit être ouvert par la personne coordonnatrice de la proposition.
- Guide GIRAF du candidat
Les propositions de projets doivent inclure :
- les coordonnées de toutes les parties prenantes ;
- le formulaire de proposition de projet complété ;
- le canevas du budget détaillé.
Ces documents seront uploadés sur GIRAF.
Critères d'évaluation
- Alignement avec les objectifs des projets d’amorce
- Pertinence des objectifs dans le contexte du projet
- Caractère inédit/innovant/original de la proposition (en termes de concepts / méthode / domaine / institution / etc.)
- Adéquation entre les objectifs, les résultats attendus et les activités
- Adéquation entre les moyens mobilisés (humains et financiers) et les objectifs
- Qualité scientifique et/ou pédagogique (qualité de la méthode, rigueur, lien avec l’état de l’art, etc.)
- Équilibre des contributions, compétences, et complémentarité des partenaires
- Perspectives à l’issue du projet
- Alignement avec les objectifs des projets de valorisation
- Pertinence des objectifs dans le contexte du projet
- Caractère inédit/innovant/original de la proposition (en termes de concepts / méthode / domaine / institution / etc.)
- Adéquation entre les objectifs, les résultats attendus et les activités
- Adéquation entre les moyens mobilisés (humains et financiers) et les objectifs
- Qualité scientifique et/ou pédagogique (qualité de la méthode, rigueur, lien avec l’état de l’art, etc.)
- Équilibre des contributions, compétences, et complémentarité des partenaires académiques et non-académiques
- Perspectives à l’issue du projet
Calendrier complet
14 octobre 2025 : Diffusion de l'appel
12 janvier 2026 à 16h (heure belge, UTC+1) : Date limite pour ouvrir un nouveau formulaire
16 janvier 2026 à 12h (heure belge, UTC+1) : Date limite pour la soumission définitive des projets
Mai 2026 : Sélection des projets
Septembre 2026 : Démarrage des projets
Documents utiles
EN SAVOIR + : contactez l'ARES : a-v@ares-ac.be
Start-up and Promotion Projects 2026
Call for projects 2026
/ Call for Start-up and Promotion Projects 2026
Opening: 14 October 2025
Deadline for submitting applications to ARES: 16 January 2026 at 12 noon (Belgian time, UTC+1)
->Information for applicants: please note that your institutions may have internal deadlines that are earlier than this date.
Who can submit a project and with who?
The project must be submitted by a member of a higher education institution in the Wallonia-Brussels Federation with at least one partner in a higher education institution in one of the countries listed below and, at least for Promotion Projects, another non-governmental cooperation actor in Belgium.
Only one project per promoter, per category and per call for proposals.
Eligible countries?
- In Africa: Benin, Burkina Faso, Burundi, Cameroon, DR Congo, Madagascar, Morocco, Niger, Rwanda, Senegal.
- In South America and Caribe: Bolivia, Cuba, Ecuador, Haiti, Peru.
- In South-East Asia: Cambodia, Philippines, Vietnam.
Duration?
1 or 5 years.
Budget?
Maximum 40 000 € for 1-year projects - Maximum 80 000 € for 2-years projects.
Call details
The 2025 call for proposals is now closed, but you can download the call document for information purposes (in French).
How to submit a project?
- The project must be submitted online via GIRAF.
- You don’t have a GIRAF account ? Create an account.
- The link to create a project form is provided by the cooperation/international relations unit of of the institution of the project coordinator. The form must be opened by the coordinator of the project proposal.
- GIRAF guide for the candidate (in French only)
Project proposals must include:
- the contact details of all stakeholders;
- the completed project proposal form;
- the detailed budget outline.
These documents will be uploaded through GIRAF.
Evaluation criteria
- Alignment with the objectives of the Start-up Projects
- Relevance of the goals in the context of the project
- Uniqueness/innovativeness/originality of the proposal (in terms of concepts/method/field/institution/etc.)
- Adequacy of goals, expected results and activities
- Adequacy of resources mobilised (human and financial) in relation to the goals
- Scientific and/or educational quality (quality of method, rigour, link with state of the art, etc.)
- Balance of contributions, skills and complementarity of partners
- Prospects at the end of the project
- Alignment with the objectives of the Promotion Projects
- Relevance of the goals in the context of the project
- Uniqueness/innovativeness/originality of the proposal (in terms of concepts/method/field/institution/etc.)
- Consistency between the goals, expected results and activities
- Consistency between the resources mobilised (human and financial) and the goals
- Scientific and/or educational quality (quality of the method, rigour, link with the state of the art, etc.)
- Balance of contributions, skills and complementarity of academic and non-academic partners
- Prospects at the end of the project
Synthetic calendar
14 October 2025: Launch of the call
12 January 2026 at 4 pm (Belgian time, UTC+1): Deadline for opening a new form
16 January 2026 at 12 noon (Belgian time, UTC+1): Final deadline for project submissions
May 2026: Project selection
September 2026: Start-up of the projects
Useful documents
- The thematic CSC document (in French).
- The geographical CSC documents (in French).
MORE INFORMATION: contact ARES : a-v@ares-ac.be
Lettre ouverte en réponse aux menaces de défédéralisation de la coopération académique
Les négociations sur l’avenir de la coopération et de la solidarité internationale entre les partis politiques pressentis pour former un gouvernement fédéral amènent aujourd’hui les établissements d’enseignement supérieur à exprimer leurs préoccupations.
Les mesures envisagées dans le cadre des négociations pour la formation du gouvernement fédéral belge font peser sur la coopération, en particulier académique, une menace grave, voire existentielle. En effet, le transfert (sans budget équivalent) de compétences et responsabilités liées à la Coopération au développement du fédéral vers les entités fédérées mènerait inéluctablement à une fragmentation de la Coopération belge au développement. Si elles sont mises en œuvre, ces mesures conduiront à une dispersion qui ferait perdre à la Belgique sa cohérence, sa visibilité et son efficacité à l’échelle internationale et qui serait désastreuse pour l’image du pays. L’expertise belge des actrices et des acteurs non gouvernementaux de la coopération, acquise de longue date et reconnue internationalement, s’en trouverait fragilisée.
La coopération académique perdrait alors sa place singulière dans le paysage de la Coopération belge au développement où elle agit en complémentarité avec les autres actrices et acteurs de la solidarité internationale.
L’ARES et le VLIR-UOS, les deux fédérations d’établissements d’enseignement supérieur du pays, sont des partenaires essentiels de la Coopération fédérale belge dont elles assurent, de manière concertée, le volet académique.
Une communauté de destins et d’intérêts
Ces deux organisations mettent en œuvre annuellement des centaines de projets de coopération académique dans des pays partenaires de la Coopération belge au développement en Afrique, en Asie, en Amérique latine et dans les Caraïbes.
Centrés sur la recherche et la formation dans des secteurs-clés comme la santé, l’éducation, l’agriculture, l’environnement, la démographie, les arts, l’urbanisme, ces projets contribuent pleinement à la réalisation des 17 objectifs de développement durable des Nations-Unies.
Ces défis globaux (sociaux, climatiques, économiques, culturels, sécuritaires…) nécessitent des réponses concertées, mais différenciées et une collaboration accrue entre scientifiques, décideurs nationaux et internationaux, opérateurs économiques et sociaux.
C’est tout le sens de la coopération académique. Elle stimule, à l’échelle internationale, la production de nouvelles connaissances, l’échange et la préservation des savoirs existants. Elle promeut la culture du partage entre scientifiques dont on a mesuré l’importance avec la pandémie de Covid-19.
Sans le financement incitatif de la Coopération belge au développement, il est à craindre que les établissements d’enseignement supérieur recentrent leur coopération internationale avec des partenaires de pays riches, ce qui aggraverait les déséquilibres mondiaux.
La coopération académique, c’est aussi l’accueil annuel de centaines de personnes qui viennent se former dans nos établissements d’enseignement supérieur en Wallonie, en Flandre et à Bruxelles et qui, de retour chez elles avec un diplôme ou de nouvelles compétences, en font profiter leur institution, leurs collègues, leur communauté scientifique, leur pays.
Plus qu’une dépense, un investissement
Davantage qu’une dépense, la coopération académique est un investissement dans le capital humain. Elle favorise le dialogue interculturel, contribue à l’internationalisation des établissements d’enseignement supérieur et au développement d’un réseau international d’alumni qui est un puissant outil de diplomatie scientifique, politique, économique. Elle participe ainsi au rayonnement de la Belgique dans le monde.
C’est aussi un investissement dans la capacité des individus, des institutions, des pays à réagir de manière autonome, innovante, aux changements de plus en plus rapides de nos sociétés interdépendantes et à développer leurs propres solutions.
Enfin, la coopération académique promeut des valeurs comme la liberté de chercher et d’enseigner, l’autonomie des individus et des institutions, encourage les débats et les échanges régionaux et internationaux et contribue ainsi, en Belgique comme dans les pays partenaires de la Coopération au développement, à des sociétés démocratiques et plurielles.
C’est donc aujourd’hui face à un choix de société que se trouvent les négociateurs de la prochaine coalition fédérale : permettre à la Belgique, à l’instar des 193 états membres de l’ONU, de poursuivre ses engagements dans l’«Agenda 2030» visant une transformation de notre monde et en assurant sa transition vers un développement durable ou fragiliser la capacité de notre pays dans l’atteinte de cet objectif et porter atteinte à sa réputation internationale.
Lettre ouverte signée par le Président Jean-Paul Lambert au nom du Conseil d’administration de l’Académie de Recherche et d’Enseignement Supérieur (ARES), fédération de plus de 120 établissements d’enseignement supérieur francophones (5 universités, 19 hautes écoles, 16 écoles supérieures des arts et 81 établissements d’enseignement supérieur de promotion sociale).
Vade-mecum
Vade-mecum unique pour les projets académiques de la coopération de l'ARES
Le développement revisité. Regards croisés : intergénérationnels, interdisciplinaires et interrégionaux
Fondé en 1961, le Centre d’études du développement de l'UCL est un espace de dialogue et de collaboration scientifique entre chercheurs, doctorants et enseignants d’Afrique, d’Amérique latine & Caraïbes, d’Asie et du monde arabe. Depuis sa création, ses membres ont travaillé en réseau avec des partenaires universitaires, associatifs et de terrain en Belgique et à l’étranger. Ces échanges ont permis, et permettent encore aujourd’hui, un enrichissement mutuel de l’enseignement et de la recherche, tout en promouvant un dialogue ouvert avec le monde associatif et les acteurs de terrain.
Les chercheurs qui sont passés par le centre ont mené et mènent encore une analyse critique de la production des discours, théories et paradigmes tournant autour de la notion de développement.
Lors de ce colloque, ils s'interrogeront sur la place du chercheur et de la chercheure au sein de cette constellation d’acteurs. À quels défis éthiques, relationnels et politiques sont-ils confronté sur le terrain ? Quelle nécessité – s’il en est une – de transformer leurs recherches en instrument d’appui au changement social ? Ou, plus généralement, quelle articulation entre construction du savoir, questionnement éthique et changement social ?
Un colloque organisé autour de 6 thématiques
Six thèmes constitueront l’ancrage de la réflexion lors de ce colloque. Ils ont en commun la place privilégiée donnée à l’interaction entre dynamiques d’acteurs et processus de changement sociétaux.
- La question agraire : controverse ancienne et renouvèlement des débats, coordonnée par Aymar Nyenyezi et Etienne Verhaegen ;
- Pratiques d’économie populaire et solidaire et leur institutionnalisation, coordonnée par Andreia Lemaître et Ana Mercedes Sarria Icaza ;
- Contribution d’une approche genre à la compréhension des dynamiques de changement social, coordonnée par Sophie Charlier et Grégory Dallemagne ;
- Mobilité, processus historiques et nouvelles subjectivités, coordonnée par Lorena Izaguirre et Guénaëlle de Meeûs ;
- Espaces de pouvoirs et enjeux démocratiques, coordonnée par Fréderic Debuyst et Emmanuelle Piccoli ;
- Territoires, changements globaux, résistances et nouveaux droits, coordonnée par Céline Delmote et Leslie Jaramillo.
Qui ?
Le Centre d'études du développement de l'UCL
Quand ?
Les 9 et 10 mars 2017 de 9h à 18h
Quoi ?
Colloque international regroupant des chercheurs et chercheures intergénérationnels, interdisciplinaires et interrégionaux autour de la notion de développement
Où ?
Auditoires Socrate
Place Cardinal Mercier, 10-12
1348 Louvain-la-Neuve
Inscriptions ?
L'inscritpion pour participer au colloque est obligatoire et se fait en ligne :
- jusqu'au 23 janvier sur le site de l'UCL ;
- à partir du 24 janvier sur le site de l'Institut d'analyse du changement dans l'histoire et les sociétés contemporaines (IACCHOS).
Pour que l'inscription soit valide, elle devra être suivie par un virement bancaire de 25 euros. Pour les personnes habitant en dehors de l’Union européenne, le paiement pourra être effectué sur place.
Pour des raisons organisationnelles, la date limite pour les inscriptions est fixée au 15 février 2017.
EN SAVOIR + : téléchargez le document de présentation du colloque, le programme des deux journées et l'affiche complète du colloque.