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Podcast ZOOM / À la découverte de Circle U.
Dans cet épisode, nous partons à la découverte de Circle U., une alliance d'universités européennes créée en 2020, à laquelle l’Université catholique de Louvain prend activement part.
Podcast ZOOM / Les alliances d'universités européennes
Dans cet épisode, nous nous intéressons aux alliances d’universités européennes, ces alliances transnationales qui réunissent des établissements d'enseignement supérieur partout en Europe. Cette initiative vraiment unique vise à promouvoir les valeurs et l'identité européennes tout en boostant la qualité et la compétitivité de l'enseignement supérieur !
Succès pour le premier appel « Universités européennes » avec 17 alliances sélectionnées et un budget revu à la hausse
Dix mois après le lancement du premier appel "universités européennes" pour le développement d’alliances stratégiques et innovantes en Europe, la Commission européenne a communiqué les résultats : 17 alliances, composées de 114 établissements d'enseignement supérieur issus de 24 États membres, ont été sélectionnées. Parmi celles-ci, il y aura 4 universités belges, dont l'ULB et son alliance universitaire civique européenne, "CIVIS".
Le 24 octobre 2018, la Commission européenne lançait un premier appel pilote avec pour objectif de soutenir la création d’« universités européennes » en tant que nouvelles alliances stratégiques et innovantes entre des établissements d’enseignement supérieur en Europe.
Quatre mois après la clôture de l’appel, la Commission européenne a annoncé ce 26 juin les résultats de ce premier appel. Parmi les 54 projets d’« universités européennes » réunissant près de 300 établissements d’enseignement supérieur, 17 alliances ont été sélectionnées, au lieu des 12 initialement prévues. À cet effet, un budget de 85 millions d’euros sera débloqué afin de financer chaque alliance à hauteur de 5 millions d’euros, soit 25 millions de plus que l’enveloppe de départ.
Parmi les 17 projets d’« universités européennes » sélectionnés, se retrouve l’« Alliance universitaire civique européenne – CIVIS » portée par l’ULB ainsi que 7 autres partenaires allemand, espagnol, français, grec, italien, roumain et suédois. Par cette alliance (qui rassemblera environ 384 000 étudiants et 55 000 membres du personnel), les partenaires entendent promouvoir « la vision d’une université civique européenne comme un espace pour l'enseignement innovant et responsable, la recherche, les échanges culturels et l'action citoyenne en Europe, de la Baltique à la mer Méditerranée, tout en s'engageant avec le monde, ses habitants et ses établissements. » Les établissements français et allemands « dominent » cette sélection puisqu’elles sont présentes dans 14 alliances. La Belgique n’a pas à rougir pour autant : outre l’ULB, la KULeuven, l’UAntwerp et la VUB ont vu leurs projets d’« universités européennes » également sélectionnés. Notons par ailleurs que, malgré l’incertitude qui plane sur la coopération académique et scientifique dans le contexte du Brexit, trois alliances européennes sélectionnées incluent des établissments britanniques.
Il convient enfin de souligner la diversité des alliances sélectionnées, tant par leur taille (variant de 4 à 11 établissements et comptant en moyenne 7 établissements par alliance), que par leurs objectifs. Nous retrouvons ainsi des alliances incluant des établissements ayant un profil plus technique, des écoles supérieures des arts, des établissements spécialisés en sciences appliquées ou encore des alliances d’universités plus globales mêlant toutes disciplines.
Grâce au succès de ce premier appel pilote, l’objectif de création de 20 « universités européennes » à l’horizon 2024 semble donc en bonne voie. Pour rappel, le second appel sera lancé en octobre 2019 et il est certain que d’autres établissements d’enseignement supérieur, dont ceux de la Fédération Wallonie-Bruxelles, candidateront et contribueront ainsi à l’émergence d’« universités européennes ».
Rappelons enfin qu’en novembre 2018, le ministre Jean-Claude Marcourt et le Gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles ont débloqué un budget d’un demi-million d’euros pour soutenir les établissements qui répondront à cette nouvelle initiative européenne. Ainsi, les établissements qui auront répondu aux appels durant la phase pilote, se verront octroyer un budget de maximum 100 000 euros pour poursuivre le projet de collaboration, que celui-ci ait été sélectionné ou non par la Commission européenne.
EN SAVOIR+ : consultez le communiqué de presse de la Commission européenne pour en savoir plus concernant les résultats du premier appel « universités européennes » et consultez la page de l’appel sur le site de l'ARES pour en savoir plus concernant la subvention de la FWB
Un demi-million d'euros pour appuyer la participation des établissements de la Fédération Wallonie-Bruxelles à l'appel « universités européennes »
Avec l’initiative des « universités européennes », l’Union européenne souhaite soutenir le développement d’alliances stratégiques et innovantes d’institutions d’enseignement supérieur en Europe. Le ministre Jean-Claude Marcourt entend inciter les établissements de la Fédération Wallonie-Bruxelles à contribuer à l’émergence des futures universités européennes. Ainsi, un budget d’un demi-million d’euros a été débloqué pour soutenir les établissements de la Fédération Wallonie-Bruxelles qui présenteront un projet auprès de la Commission européenne. En étroite collaboration avec le Ministère, l’ARES a été chargée de la mise en œuvre de cet appui aux établissements.
Au Sommet de Göteborg de décembre 2017, les dirigeants européens exprimaient leur volonté de renforcer le rôle stratégique de l’Union européenne dans le domaine de l’éducation, et en particulier de l’enseignement supérieur. Dans cette perspective, ils appelaient la Commission européenne à soutenir le développement de partenariats stratégiques entre les institutions d’enseignement supérieur et à encourager l’émergence d’une vingtaine d’« universités européennes ». Constituées sur la base d’initiatives bottom-up, ces alliances transnationales devront notamment promouvoir les valeurs et l’identité européennes et renforcer la qualité et la compétitivité de l'enseignement supérieur européen sur le plan international.
Le 24 octobre 2018, la Commission européenne a lancé un premier appel pilote. Doté d’un budget de 30 millions d’euros, cet appel permettra de financer six alliances d’universités européennes mais surtout de tester des modèles innovants, reposant notamment sur :
- une alliance de partenaires, incluant tout type d’établissement d’enseignement supérieur et couvrant une vaste zone géographique de l’Union européenne,
- une stratégie à long terme co-construite, axée sur l’excellence, l’innovation, la pérennité et les valeurs européennes,
- une offre de cursus centrés sur les étudiants et organisés conjointement sur un campus interinstitutionnel et européen.
Toujours dans cette phase pilote, la Commission européenne a déjà indiqué que le deuxième appel sera lancé en octobre 2019.
À l’instar de quelques Etats membres dont la France et l’Allemagne, la Fédération Wallonie-Bruxelles soutiendra financièrement les établissements d’enseignement supérieur dans le cadre de l’appel « universités européennes ». Une subvention forfaitaire de maximum 100.000 € sera automatiquement octroyée aux établissements qui auront répondu à l’appel européen. Cette subvention permettra d’appuyer les établissements dans la préparation de leur dossier de candidature et dans la mise en œuvre du projet déposé – que ce projet soit sélectionné ou non par la Commission européenne.
« Il s’agit d’un engagement politique fort de la Fédération Wallonie-Bruxelles, souligne Julien Nicaise, administrateur de l’ARES, qui démontre une nouvelle fois l’engagement de l’ensemble des acteurs de notre enseignement supérieur à contribuer à la construction européenne. Ce financement va même au-delà de l’initiative des universités européennes puisqu’il participera de manière plus globale au renforcement de l’internationalisation de nos établissements. Enfin, la concrétisation de cet engagement a été rendue possible grâce à l’excellente collaboration entre l’ARES, le Cabinet du Ministre et la DGESVR, laquelle a joué un rôle d’information et de proposition essentiel auprès des acteurs de la Fédération, dans le cadre des discussions européennes. »
EN SAVOIR+ : pour connaitre les modalités d’octroi de la subvention, consultez la page de l'appel sur le site de l'ARES
Turquie - Répression universitaire et criminalisation de la liberté académique continuent de susciter l'inquiétude
<p><strong>À la veille d'une nouvelle journée d'audience des procès des 1128 « Universitaires pour la Paix » et au lendemain d'une nouvelle purge visant près de 3000 personnes, dont 105 universitaires, l'ARES dénonce la criminalisation de l'exercice de la liberté académique dans la Turquie de l'après 15 juillet 2016, où la répression universitaire est aujourd'hui devenue aussi banale qu'inquiétante.</strong></p>
<p>Les premiers de ces 1128 universitaires turcs sont poursuivis individuellement depuis le 5 décembre dernier pour « propagande terroriste », coupables d'avoir lancé, en janvier 2016, un appel à une paix négociée avec la communauté kurde dans le Sud-Est du pays.<br /><br /> Pour la plupart déjà exclus définitivement de l’université, quatre d'entre eux avaient aussi été emprisonnés et étaient poursuivis depuis mars 2016.<br /><br /> Leur situation personnelle préoccupe l'ARES, qui dénonce, à la veille d'une<strong> nouvelle journée d'audience</strong> programmée ce 26 décembre et au lendemain d'une <strong>nouvelle purge visant 105 académiques</strong>, une <strong>institutionnalisation de la répression universitaire</strong> et l'installation, dans la Turquie de l'après coup d'État avorté de juillet 2016, d'une <strong>véritable politique d'inquisition</strong> menée à l'encontre de l'exercice de la liberté académique.</p>
<p>La nuit du 15 au 16 juillet 2016 avait été suivie, dans la foulée de l'instauration de l'état d'urgence, d'une série de limogeages et d'arrestations arbitraires sans précédent, notamment dans la fonction publique et dans les milieux académiques. Plus de 1500 doyens avaient ainsi été démis, quatre jours à peine après les évènements, tandis que les universitaires étaient assignés au pays dès le 20 juillet.<br /><br /> Cette première vague répressive avait déjà laissé craindre une <strong>sérieuse mise à mal des principes de liberté académique et d'autonomie institutionnelle</strong> des établissements d'enseignement supérieur, qui <strong>semble se confirmer tous les jours un peu plus</strong> dans le pays.<br /><br /> L’ARES et les établissements d'enseignement supérieur de la Fédération Wallonie-Bruxelles continuent, dans ce contexte, de soutenir les établissements turcs, leurs étudiants, chercheurs, professeurs et membres des personnels, contraints d'évoluer dans un climat de suspicion permanente à l'égard de leurs activités de recherche et d’enseignement.<br /><br /> En complément aux <strong>chaires</strong> ou aux <strong>bourses de recherche</strong> déjà ouvertes en Fédération Wallonie-Bruxelles aux professeurs ou aux doctorants turcs, de <strong>nouvelles actions de solidarité</strong> sont en ce moment à l'étude via l'ARES.</p>
<p>Plusieurs <strong>observateurs académiques envoyés par l'ULB</strong> assisteront ce mardi aux audiences prévues à Istanbul dans le cadre de la longue série de procès qui s'annonce au moins jusqu'en mai prochain.<br /><br /> Les universitaires poursuivis rappellent la situation du journaliste indépendant et par ailleurs étudiant <strong>Loup Bureau</strong>, soupçonné de soutien au terrorisme par Ankara et incarcéré sommairement en aout dernier avant d'être libéré en septembre. Elle rappelle aussi, en Iran, la figure du doctorant de l'ULiège, <strong>Hamid Babaei</strong>, condamné en 2013 à six ans de réclusion pour refus d'espionnage et incarcéré depuis lors à Téhéran, ou celle d'<strong>Ahmadreza Djalali</strong>, professeur invité de la VUB, contre lequel le Tribunal révolutionnaire iranien a prononcé la peine capitale le 21 octobre dernier, pour « haute trahison ».<br /><br /> Tous ces cas mettent en lumière les atteintes portées délibérément et durablement au principe de liberté académique.<br /><br /> «<em> Conjuguée à la liberté d'expression et à la liberté de la presse, <strong>la liberté des chercheurs et des enseignants est pourtant vitale pour la démocratie. Elle doit être garantie par le législatif et l'exécutif, et 'sanctuarisée' par le pouvoir judiciaire</strong></em> », rappelle l'administrateur de l'ARES, Julien Nicaise.<br /><br /> L'ARES appelle donc les autorités belges et européennes ainsi que l'ensemble de la communauté académique et scientifique à <strong>maintenir la vigilance et la pression</strong> envers Ankara <strong>en condamnant fermement toute atteinte à l'autonomie institutionnelle des établissements</strong> d'enseignement supérieur turcs, à la<strong> liberté de leurs enseignants et de leurs chercheurs</strong>, et au droit de leurs étudiants et des citoyens turcs à une<strong> éducation </strong>et à une<strong> science pluralistes</strong>.</p>
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Turquie - L’ARES s’associe à l’IHECS et aux organisations étudiantes pour soutenir Loup Bureau
<p><strong><span lang="FR">L’ARES exprime sa vive inquiétude quant au sort de l’étudiant en journalisme de l’IHECS, Loup Bureau, incarcéré en Turquie depuis mardi dans le cadre de ses activités de journaliste indépendant. Elle s’associe aux démarches entreprises par les autorités de l’IHECS et les organisations étudiantes.</span></strong></p>
<p>L’emprisonnement de Loup Bureau, un de nos étudiants, inscrit à l’Institut des hautes études des communications sociales (IHECS, Haute École Galilée), et par ailleurs journaliste indépendant, inquiète l’ARES en tant que fédération représentant l’ensemble des établissements d’enseignement supérieur de la Fédération Wallonie-Bruxelles.</p>
<p>Elle tient à apporter son <strong>soutien à l’étudiant et à sa famille</strong>, et <strong>s’associe aux démarches et prises de position</strong> de l’Administrateur général de l’IHECS, le prof. Jean-François Raskin, ainsi que du Conseil des étudiants de la Haute École Galilée (CEHEG) et de l’Union des étudiants de la Communauté française (UNECOF).</p>
<p>L’étudiant, interpelé au poste-frontière de Habur, entre l'Irak et la Turquie, s’était rendu dans la région dans le cadre de ses activités de journaliste indépendant. Il s’apprêtait à actualiser un reportage réalisé en 2013 pour TV5 Monde sur les combattants des Unités de protection du peuple (YPG), considérées comme organisation terroriste par Ankara.</p>
<p>Au-delà de son soutien à Loup Bureau, l’ARES rappelle sa <strong>ferme condamnation des atteintes répétées à la liberté académique et à l’autonomie institutionnelle</strong> des établissements d’enseignement supérieur turcs et elle réitère son soutien à leurs étudiants, chercheurs, professeurs et membres des personnels, qui évoluent dans <strong>un climat de suspicion permanente portant atteinte à leurs activités de recherche et d’enseignement</strong>.</p>
<p>Le prof. Serge Jaumain, président de la Commission des relations internationales (CRI) de l’ARES, indique que « <em>nos établissements suivent avec grande attention l’évolution de la situation de l’enseignement supérieur turc. Actuellement, ils n’encouragent pas leurs étudiants à effectuer des séjours de mobilité dans ce pays </em>». Il ajoute toutefois que « <em><strong>laisser tomber nos collègues démocrates de Turquie serait contraire aux valeurs de l’enseignement supérieur</strong> </em>».</p>
<p>Certains établissements de la Fédération Wallonie-Bruxelles ont mis en place des bourses pour accueillir des chercheurs turcs et la CRI <strong>réunira fin aout les responsables des relations internationales des universités, hautes écoles et écoles supérieures des arts</strong> pour examiner l’évolution récente de la situation en Turquie et <strong>développer de nouvelles actions communes de solidarité</strong>.</p>
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<p><strong>Le 8 aout 2017, l'ARES a cosigné une <a href="images/presse/communiques/Lettre-ouverte-Didier-Reynders-FreeLoupTurkey-2017-08-08.pdf" target="_blank">lettre ouverte adressée au vice-Premier ministre et ministre des Affaires étrangères Didier Reynders</a> l'appelant à intervenir en faveur de la libération de Loup Bureau</strong>.</p>
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<p><a href="images/presse/communiques/ARES-CP-Turquie-Loup-Bureau-2017-08-04.pdf" target="_blank" title="ARES - Communiqué de presse - L’ARES s’associe à l’IHECS et aux organisations étudiantes pour soutenir Loup Bureau">Télécharger le communiqué de presse</a></p>
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Prise de position de l'ARES face à la situation en Turquie
<h2><strong>Prise de position de l'ARES face à la situation en Turquie</strong><br /><strong><em>ARES Statement concerning situation in Turkey</em></strong></h2>
<h3>L’ARES réitère son soutien aux établissements d’enseignement supérieur turcs</h3><p>L’ARES a appris avec inquiétude les nouvelles interpellations de 42 académiques, issus de l’Université de Medeniyet d’Istanbul (İstanbul Medeniyet Üniversitesi) et de l’Université du Bosphore (Boğaziçi Üniversitesi) avec lesquels plusieurs établissements d’enseignement supérieur de la Fédération Wallonie-Bruxelles ont établi des partenariats.</p><p>D’autres interpellations de professeurs et de membres des personnels d’universités ont été annoncées par la justice turque, dans le cadre de l'enquête sur le putsch avorté de juillet 2016.</p><p>L’ARES réitère son soutien aux établissements d’enseignement supérieur turcs et à leurs personnels. Elle condamne énergiquement les atteintes répétées à la liberté académique, à l’autonomie institutionnelle et, plus largement, aux activités de recherche et d’enseignement menées par les établissements d’enseignement supérieur turcs.</p><p>L’ARES continuera à suivre avec attention l’évolution de la situation et à apporter son soutien aux étudiants, chercheurs, professeurs et membres des personnels des établissements d’enseignement supérieur turcs.</p><p> </p><h3><em>ARES reaffirms support to the Turkish HEIs</em></h3><p><em>ARES notes with dismay the new apprehension of 42 academics from the Istanbul Medeniyet University (İstanbul Medeniyet Üniversitesi) and the Bosphorus University (Boğaziçi Üniversitesi) with which several higher education institutions of the Wallonia-Brussels Federation have established partnerships.</em></p><p><em>More arrests of professors and staff members have been announced by the Turkish courts in the framework of the investigation following the aborted putsch of July 2016.</em></p><p><em>ARES reaffirms its support to the Turkish HEIs and their staff. It strongly condemns the repeated attacks against academic freedom, institutional autonomy and, more widely, research and teaching activities led by the Turkish HEIs.</em></p><p><em>ARES will continue to follow closely the developments in Turkey and to bring its support to students, researchers, professors and staff members from the Turkish HEIs.</em></p><p> </p><p><a href="images/presse/communiques/ARES-CP-Position-Situation-Turquie-2017-07-12.pdf" target="_blank" title="ARES - Communiqué de presse - L'ARES réitère son soutien aux établissements d'enseignement supérieur turcs">Télécharger le communiqué de presse</a></p><p> </p>