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Documents et outils

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Mobilisation générale!

Soumis par Antoine le
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Comment sensibiliser la communauté éducative à la question du développement durable ? Pour l’ESA ARTS2, ça passe par la végétalisation de l’école, ou plutôt de la grande cour intérieure de l’école au Carré des arts (env. 1500 m2), son second campus. Un bâtiment magnifique mais d’un visuel exclusivement minéral : des pierres de taille, des pavés, des briques peintes. Dans un tel lieu, une mobilisation générale s’impose !

Le plan? Amener dans cet univers urbain une certaine poésie de la nature, tout en employant ces ressources naturelles au sein de l’école. Se réapproprier le lieu en l’équipant de grands bacs à végétaux est apparu comme un bon déclencheur pour sensibiliser au développement durable, les usages possibles étant multiples : des bacs de plantes aromatiques pour la cantine, des bacs à fleurs annuelles ou vivaces, des bacs à arbustes ornementaux…

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©Shutterstock.com/D-Krab

"Happy Apis", le rucher des jardins du CERIA

Soumis par Antoine le
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“Happy Apis” est avant tout un projet qui met l’humain au service de la sauvegarde de la biodiversité. Impossible pour nous en effet d’ignorer les conséquences négatives de l’urbanisation, du dérèglement climatique, de la pollution et de l’utilisation des insecticides sur notre environnement proche mais aussi à l’échelle de la biosphère.

Dans le cadre d’un projet de recherche, des colonies d’abeilles sont présentes sur le toit de l’Institut Meurice du campus. Malheureusement, cet emplacement n’est pas idéal : les récoltes des demoiselles sont souvent compromises par les pertes d’énergie pour lutter contre la chaleur excessive en été et pour rejoindre les ruches par grands vents. Les faire déménager un étage plus bas dans la zone Natagora des jardins pédagogiques du CERIA est une manière de combiner l’utile à l’agréable. En effet, les objectifs du projet sont également de faire connaître le monde des abeilles aux utilisateurs du campus et de susciter l’intérêt et l’émerveillement.

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©Shutterstock.com/D-Krab

Activités complémentaires à l'Ecoteam

Soumis par Antoine le
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Une équipe dynamique offre à l’ensemble des membres de la HEPN la possibilité de réduire leur empreinte carbone. De l’organisation d’ateliers DIY à la vente de produits écoresponsables, la cellule Ecoteam met tout en œuvre pour sensibiliser les étudiants et enseignants au développement durable.

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©Shutterstock.com/D-Krab

« Consommons responsable à la HEH »

Soumis par Antoine le
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Deux marchés regroupant une vingtaine de producteurs locaux ouverts à l’ensemble de la communauté éducative (environ 3600 personnes) et à un public extérieur ont été l’occasion de sensibiliser et d’initier à une consommation locale et de saison à la HEH. En parallèle, la distribution de 800 troènes communs, pommiers, fusains d’Europe, viornes obier et cornouillers sanguins a contribué partiellement à compenser les émissions de gaz à effet de serre de l’établissement.

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©Shutterstock.com/D-Krab

20 years of cooperation. From an emergency phase to spinoffs creation

Brochure réalisée dans le cadre des 20 ans de partenariat avec l'Université du Rwanda

Rwanda – 3e conférence sur la biotechnologie et focus sur la chirurgie mini-invasive

Soumis par Anonyme (non vérifié) le

Les 26 et 27 septembre 2019, la Rwanda Biotechnology 3rd Conference sera organisée à Kigali (Rwanda) avec l’Université du Rwanda. Cette année, un événement conjoint à cette conférence fera état des progrès dans le domaine de la chirurgie mini-invasive. Encore peu présente dans les hôpitaux rwandais, et plus largement africains, cette technologie fait aussi l’objet d’un programme de formation coordonné par l’Université de Liège et l’Université du Rwanda.

Le rendez-vous est désormais annuel : en septembre, le monde médical et scientifique se retrouve à Kigali (Rwanda) pour la conférence sur la biotechnologie. À l’invitation de Diane Gashumba, ministre rwandaise de la Santé, plus de 250 personnes – dont d’autres ministres africains de la santé, des bailleurs de fonds, des chercheur·es, des expert·es, des technicien·nes et des étudiant·es – prendront part à l’événement qui abordera cette année de multiples sujets comme la biotechnologie médicale et environnementale, les maladies infectieuses, la génétique, les diagnostics moléculaires des maladies humaines, animales ou végétales, ou encore les bioproduits.

 

La chirurgie mini-invasive, au cœur de la 3e conférence sur la biotechnologie

Un autre événement se greffera à cette 3e conférence et concernera la chirurgie mini-invasive, une approche chirurgicale encore peu pratiquée sur le continent africain, hormis en Afrique du Sud.

Plus confortable pour le patient, la chirurgie mini-invasive est une technique chirurgicale limitant le traumatisme opératoire. Elle permet au chirurgien d’atteindre sa cible via des mini incisions (+/- 1 centimètre) grâce à l’utilisation d’instruments couplés à un système d’imagerie vidéo. Le suivi post-opératoire s’avère plus simple, réduit les risques infectieux et diminue la durée de l’hospitalisation.

Par le biais de communications, de workshops et de présentations de posters scientifiques, les participant·es aborderont cette technologie, dont le Rwanda a fait une priorité. Le développement d’un pôle de compétence en chirurgie mini-invasive apparaît en effet comme un moyen de renforcer à la fois le système de santé et de positionner le pays comme un acteur de référence de la sous-région dans le domaine de la formation médicale.

Atteindre cet objectif passe notamment par le renforcement des capacités des chirurgiens en fonction (une cinquantaine, actuellement) et futurs chirurgiens, par la formation des personnels infirmiers et paramédicaux, par l’accès à des stages pointus et par la disponibilité de matériel.

 

Une technologie enseignée à l’Université du Rwanda

Avec le soutien de l’ARES, l’Université de Liège (ULiège) et l’Université du Rwanda (UR) ont décidé de relever ce défi. Depuis 2018, sous la direction des Professeurs David Waltrégny (ULiège) et Léon Mutesa (UR), les deux institutions et leurs divers partenaires (notamment le Prof. Jacob Souopgui de l’Université libre de Bruxelles), dispensent un programme de formation dans ce domaine. Léon Mutesa, coordonnateur rwandais de ce projet et directeur du Centre de génétique humaine au sein de la Faculté de médecine de l’UR, en justifie la raison.

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Cinq disciplines médicales ciblées

Le programme de formation de 12 mois a été conçu et est dispensé (au Rwanda ou via une plateforme d’e-learning) par une dizaine de spécialistes issus des établissements d’enseignement supérieur de la Fédération Wallonie-Bruxelles (entre autre l’ULiège, l’ULB, l’UCLouvain, la Haute école Léonard de Vinci) et du monde hospitalier (CHU de Liège, Hôpital de Marche-en-Famenne). Ils n’interviennent pas seuls. Des spécialistes rwandais mais aussi camerounais sont également mobilisés.

Léon Mutesa présente les 5 disciplines ciblées par ce programme de formation.

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Par année, ce programme doit permettre la formation de 10 médecins et de 30 membres d’unité chirurgicale. La constitution d’un noyau de futurs formateurs est également prévue pour assurer la pérennité du projet.

L’implémentation de la chirurgie mini-invasive dans les huit hôpitaux de référence du Rwanda serait une solution durable pour créer un mouvement de basculement massif vers ces pratiques novatrices et améliorer significativement la qualité des traitements de pathologies chirurgicales et le bien-être des patients. Pour le pays, il y aura un gain économique bénéfique de réduction du flux massif des patients traités à l’étranger.

Une démarche de sensibilisation de la population rwandaise est également prévue afin d’expliquer la technique opératoire et les aspects positifs d’une hospitalisation plus courte.

À noter que ce programme de formation s'inscrit aussi dans un partenariat Sud/Sud entre le Rwanda et le Cameroun. L’UR et l’Université de Douala collaborent en effet dans la mise en œuvre du master professionnel en chirurgie mini-invasive, programme bénéficiant de l’expertise académique de l’ULB.

 

Appel à communication

Dans le cadre de la conférence, les personnes souhaitant faire une communication ou présenter un poster en lien avec le thème "Transforming Rwanda’s Development by Investing in People’s Skills" peuvent consulter le document d’appel y relatif : 

> Télécharger le document d'appel à communication

Date limite d’introduction des candidatures : 9 septembre 2019.

 

EN SAVOIR + : visitez la page du Programme de formation Sud « Fellowship en chirurgie mini-invasive à l’Université du Rwanda » sur MOOVE.

 

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Rwanda - Belgique / La coopération académique, clé du développement

Soumis par Anonyme (non vérifié) le

Fin 2017, les universités de la Fédération Wallonie-Bruxelles (FWB) et l’Université du Rwanda (UR) ont célébré les 20 ans de ce partenariat de long terme entamé au lendemain du génocide de 1994 avec le soutien de l’ARES et de la Coopération belge.

D’un campus décimé qui ne comptait alors plus qu’une quinzaine de professeurs, que quelques laboratoires pillés, et quelques milliers d’étudiants, l’Université du Rwanda est parvenue, en l’espace de 20 ans, à se reconstruire. 
Elle compte aujourd’hui près de 33 000 étudiant·e·s pour 909 enseignant·e·s, et son expertise est de plus en plus internationalement reconnue.

Trois vidéos viennent illustrer la richesse de cette collaboration entre les acteurs de la coopération académique belges et rwandais et confirmer l’impact de ce partenariat pour la société rwandaise.

 

Les 20 ans de la coopération

Ce reportage aborde l'historique de la coopération académique entre l'UR et les Universités de la FWB, ainsi que les principales orientations méthodologiques et thématiques des divers programmes. Il évoque également les impacts de cette coopération, d'une part sur l'UR mais aussi sur la société rwandaise.

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La Fish Farm de Rwasave

La pisciculture de Rwasave est un projet de recherche qui a mobilisé toute l'énergie des universitaires belges et rwandais pendant de nombreuses années. Il a également mis à contribution de nombreux doctorants. La finalité de cet investissement est importante car elle vise, entre autre, la sécurité alimentaire du Rwanda. La Fish Farm est aussi un bel exemple de spin off, ou, comment un projet de recherche peut aussi avoir une finalité économique.

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Les souhaits des académiques belges pour leurs confrères rwandais

Ils et elles sont venus en nombre au Rwanda depuis 20 ans... Ils et elles, ce sont les enseignant·e·s, les gestionnaires, les coordonnateurs·trices et les pilotes d'atteinte des résultats (PAR) des divers programmes et projets de la CUD, devenue depuis 2014 l'ARES. A Huyé et à Kigali, ils ont été à chaque fois accueillis avec enthousiasme par leurs confrères et consoeurs, ainsi que par les étudiants... 
20 années de cours, d'activités de recherches... cela laisse des souvenirs, cela engendre de nouvelles attentes...

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La coopération au développement relève de la mission de services à la société des établissements d’enseignement supérieur. En Fédération Wallonie-Bruxelles, l’ARES est chargée de la gestion d’une subvention annuelle de 30 millions € accordée par le Gouvernement fédéral, qui finance le volet académique francophone de la Coopération belge dans 18 pays partenaires.

Le partenariat avec le Rwanda est programmé jusqu’en 2021, à hauteur de 3,2 millions € sur 5 ans.

 

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