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Documents et outils

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Comment la biodiversité est prise en compte par la coopération académique

Soumis par Anonyme (non vérifié) le

<p><strong>Comment l’appui des pays du Nord pour la sauvegarde de la biodiversité au Sud contribue-t-il à la lutte contre la pauvreté dans les pays en développement et à l’atteinte des Objectifs pour le développement durable (ODD)&nbsp;? La question est posée par l’Institut royal des sciences naturelles de Belgique (IRSNB) à une vingtaine d’experts et de chercheurs belges lors d’un colloque organisé ce 28 mai 2018.</strong></p>

<p>Ce colloque clôture la première phase de cinq ans du <a href="http://www.biodiv.be/cebios2/&quot; target="_blank" title="Programme CEBioS"><strong>programme CEBioS</strong></a><strong> (Capacities for biodiversity and sustainable development)</strong>, qui œuvre pour la conservation et la gestion durable de la biodiversité dans le but de contribuer à l'éradication de la pauvreté dans les pays partenaires de la Coopération belge.</p><p>Véronique Schmit, ingénieur agronome et docteur en sciences agronomiques, est responsable du suivi des&nbsp;<a href="index.php?option=com_content&amp;view=article&amp;id=318:les-projets-de-recherche-pour-le-developpement-et-les-projets-de-formation-sud&amp;catid=44&amp;Itemid=282" title="ARES - Projets de recherche pour le développement et Projets de formation Sud">projets de recherche pour le développement (PRD) et des projets de formation Sud (PFS)</a>, principalement en Amérique latine et en RD Congo. Son intervention dans le cadre de ce colloque précise <strong>l’apport des établissements d'enseignement supérieur de la Fédération Wallonie-Bruxelles dans de domaine de la conservation de la biodiversité</strong>, notamment sous la forme de <strong>projets de recherche collaborative</strong> et de <strong>mise en place de formations</strong>&nbsp;dans les 18 pays partenaires de l'ARES, qui assure la coordination du volet académique francophone de la Coopération belge.<br><br>&nbsp;</p><blockquote><p><span style="color:#00a5bd;"><strong>« </strong></span><em><span style="color:#00a5bd;"><strong>Chaque projet, quelle que soit sa thématique,&nbsp;intègre systématiquement une dimension «&nbsp;protection de l’environnement</strong></span></em><span style="color:#00a5bd;"><strong>&nbsp;»</strong></span></p></blockquote><p><br>«<em> Chaque projet, quelle que soit sa thématique</em>, précise Véronique Schmit, <em>intègre systématiquement une dimension "protection de l’environnement" dans sa mise en œuvre. Par ailleurs, 29 projets parmi les 105 en cours ou mis en œuvre depuis 2014 visent directement l’amélioration des conditions de vie des populations locales, notamment par l’amélioration de la production agricole, de l’élevage ou encore par une meilleure connaissance des propriétés des plantes médicinales locales utilisées traditionnellement. »</em><br><br>&nbsp;</p><h2>De La Havane à Antananarivo, les chercheurs préservent la biodiversité</h2><p>À <strong>Cuba</strong> par exemple, un projet de recherche mis en œuvre entre 2008 et 2013 par l’UCL, l’Université de Guantánamo, l’ULB et l’Université de La Havane a contribué à <a href="index.php?option=com_content&amp;view=article&amp;id=202:cuba-l-agroecologie-au-service-d-un-chocolat-d-excellence&amp;catid=53&amp;Itemid=353" target="_blank" title="ARES - Cuba - L&apos;agroécologie au service d&apos;un chocolat d&apos;excellence"><strong>l’amélioration de la qualité du cacao produit dans la région de l’Oriente</strong></a>. Les chercheurs des universités partenaires ont ainsi établi une collection de cacaoyers anciens, parmi lesquels ils ont notamment identifié des variétés produisant <strong>un cacao de qualité supérieure</strong>.</p><p>Un nouveau projet a démarré en 2017 afin d’évaluer leur résistance à la pourriture brune, principale maladie qui touche les fèves aujourd’hui, et de&nbsp;<a href="/cooperation-au-developpement/pays-projets/projets-dans-le-monde/item/170-prd-design-and-strengthening-of-an-agroecological-cacao-production-system-in-cuba" target="_blank" title="ARES - PRD - Design and Strengthening of an agroecological cacao production system in Cuba"><strong>mettre sur pied un système de production agroécologie du cacao</strong></a>. En sauvegardant la diversité génétique des cacaoyers et <strong>en soutenant des petits producteurs qui continuent à cultiver les variétés anciennes, le projet contribue à la sauvegarde de la biodiversité</strong>.</p><p>Au <strong>Bénin</strong>, au <strong>Burkina Faso</strong> et au <strong>Rwanda</strong>, plusieurs projets de recherche et de formation ont pour finalité la <strong>valorisation et la sauvegarde des plantes médicinales</strong> et la validation de leurs vertus, en vue de promouvoir la pharmacopée traditionnelle largement utilisée par les habitants de ces pays.</p><p>D’autres recherches mobilisant les expertises scientifiques des établissements d’enseignement supérieur de la Fédération Wallonie-Bruxelles s’intéressent à des virus affectant des plantes extrêmement importantes pour la santé et le bienêtre des populations locales ainsi que pour l’économie des pays concernés. En recherchant les résistances aux maladies ou en identifiant des caractéristiques de qualité au sein des variétés locales, ces chercheurs sauvegardent la biodiversité.</p><p>C’est le cas au Rwanda où <strong>les scientifiques de l’ULiège et de l’Université du Rwanda sont au chevet du manioc</strong>, victime de diverses infections virales. C’est aussi le cas à <strong>Madagascar</strong> où les experts de l’ULB et de l’Université d’Antananarivo développent une stratégie scientifique à long terme pour garantir&nbsp;<a href="/cooperation-au-developpement/pays-projets/projets-dans-le-monde/item/118-prd-integration-d-un-reseau-de-competences-scientifiques-dans-la-filiere-de-production-de-la-vanille-pour-une-exploitation-durable-et-de-qualite-dans-la-region-de-sava-madagascar" target="_blank" title="ARES - PRD - Intégration d’un réseau de compétences scientifiques dans la filière de production de la vanille pour une exploitation durable et de qualité dans la Région de SAVA, Madagascar"><strong>une exploitation durable de la culture de la vanille</strong></a>&nbsp;et améliorer la qualité des gousses.</p><p>&nbsp;</p><h2>Renforcer, en Fédération Wallonie-Bruxelles, les compétences du Sud</h2><p><em>«&nbsp;Les interventions des universités et hautes écoles francophones de Belgique en faveur de la biodiversité ne se concrétisent pas exclusivement dans le Sud</em>, tient à préciser Véronique Schmit. <em>Étudiants et chercheurs de nos 18 pays partenaires ont également accès à des stages et des bourses d’études qui leur permettent notamment de suivre des formations de perfectionnement et divers masters de spécialisation dans les universités de la Fédération Wallonie-Bruxelles. »</em></p><p>En tant que partenaire de la Coopération belge au développement, l’ARES permet en effet aussi aux ressortissants des pays en développement, titulaires d'un master et disposant d'une expérience professionnelle, de venir <strong>renforcer leurs compétences dans le domaine de l'environnement et de la biodiversité</strong> en intégrant, par exemple, l’un des masters de spécialisation proposés dans le cadre du programme de bourses en Belgique : en <a href="index.php?option=com_content&amp;view=article&amp;id=133:master-de-specialisation-en-developpement-environnement-et-societes&amp;catid=70:masters-et-stages&amp;Itemid=363" target="_self" title="Master en développement, environnement et sociétés">développement, environnement et sociétés</a>, en <a href="index.php?option=com_content&amp;view=article&amp;id=136:master-de-specialisation-en-gestion-des-risques-et-des-catastrophes&amp;catid=70:masters-et-stages&amp;Itemid=363" target="_self" title="Master en gestion des risques et catastrophes">gestion des risques et des catastrophes</a>&nbsp;ou encore en <a href="index.php?option=com_content&amp;view=article&amp;id=144:master-de-specialisation-en-sciences-et-gestion-de-l-environnement-dans-les-pays-en-developpement&amp;catid=70:masters-et-stages&amp;Itemid=363" target="_self" title="Master en sciences et gestion de l&apos;environnement dans les pays e développement">sciences et gestion de l’environnement dans les pays en développement</a>.</p><p>&nbsp;</p><p><strong>EN SAVOIR +</strong> :</p><ul><li><a href="http://www.biodiv.be/cebios2/events/biodiversity-development-way-forwar…; target="_blank" title="Colloque CEBioS">Consultez</a> les informations relatives au colloque «&nbsp;La biodiversité pour le développement&nbsp;»</li><li>Les informations concernant les <a href="index.php?option=com_content&amp;view=article&amp;id=83&amp;Itemid=209" target="_self" title="Bourses">bourses</a>&nbsp;disponibles aux ressortissants des pays en développement et les&nbsp;informations concernant les <a href="index.php?option=com_content&amp;view=article&amp;id=318:les-projets-de-recherche-pour-le-developpement-et-les-projets-de-formation-sud&amp;catid=44:instruments&amp;Itemid=282" target="_self" title="PRD-PFS">projets de recherche et de formation</a>&nbsp;mis en œuvre dans les pays partenaires sont disponibles sur le site web de l'ARES</li></ul><p>&nbsp;</p>

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Vers un espace francophone de la valorisation de la recherche au service du développement

Soumis par Anonyme (non vérifié) le

Réunis au Liège Science Park ces 22 et 23 mai 2018 à l’occasion du 1er forum francophone de la valorisation, une vingtaine de chercheurs de pays du Sud ont été invités à partager leurs expériences de valorisation de la recherche locale avec une dizaine d’experts du Nord. Leur objectif ? Créer un espace francophone de la valorisation de la recherche.

À l’heure actuelle, un chercheur de Cotonou, au Bénin, a-t-il, par exemple, l'occasion de partager aisément les progrès de sa recherche avec un collègue de Lausanne, en Suisse, ou de susciter l’intérêt d’une entreprise québécoise ? Difficile, tant les connexions « Nord-Sud » dans le monde de la recherche en 2018 demeurent ponctuelles et encore insuffisamment structurées. Mettre en relation des équipes de recherche à l’échelle nationale et internationale et mieux structurer ces collaborations reste donc un défi à relever. Et la Fédération Wallonie-Bruxelles, la France et le Québec – par le biais de trois réseaux de valorisation de la recherche (LIEU, C.U.R.I.E et les BLEUS) – s’y emploient et souhaitent résolument faire évoluer les pratiques. Ces trois réseaux, s’ils collaborent déjà entre eux pour renforcer l’impact de la recherche universitaire dans la société, ont entrepris d’étendre et de dynamiser les collaborations à l’international et d’impliquer un nombre croissant d’équipes de recherche issues des pays de l’espace francophone, y compris, donc, de l'hémisphère sud.

 

« Tout seul, on va plus vite. Ensemble, on va plus loin »

Traduisant en fait concret ce proverbe africain, les chercheurs présents à Liège souhaitaient ainsi capitaliser sur les collaborations existantes et mettre en place un espace francophone de la valorisation, plus largement accessible aux partenaires du Sud. Cet espace aura comme objectif de développer l’impact de la recherche académique au bénéfice de la société, des communautés locales et régionales et de répondre à des défis sociaux, culturels, économiques environnementaux et de santé des populations. Pour concrétiser cette vision, dans un premier temps, il est important de pouvoir proposer un cadre d’actions pour cet espace francophone. Et très concrètement, à terme, cet espace pourrait permettre la professionnalisation des échanges, la mobilisation des connaissances, l’organisation des sessions de formation en ligne ou encore le transfert des connaissances.

 

Le réseautage, un axe essentiel de la coopération académique

Plusieurs universités du Sud, partenaires de l’UCL, de l’ULiège, de l’UMONS et de l’ULB dans le cadre des programmes de coopération académique de l’ARES, sont parties prenantes à cette réflexion et bénéficient, depuis plusieurs années déjà, des opportunités que représente le réseautage international.

Ainsi, l’Université d’Antananarivo (Madagascar) collabore depuis 2014 avec l’AVRE-UMONS, débouchant sur l’accueil de stagiaires malgaches à Mons ou la mise en place d’une plateforme offrant plus de visibilité aux recherches universitaires et dynamisant les collaborations avec les acteurs du monde socioéconomique.

De 2007 à 2012, l’ULiège et sa cellule Interface entreprises-université ont accompagné l’Université de Lubumbashi (RD Congo) dans le développement de sa cellule IUS (Interface université-société). Celle-ci structure désormais avec plus d’efficacité les relations entre les chercheurs congolais et les acteurs du monde socioéconomique local.

Au Maroc, avec le soutien de la coopération universitaire, l’Université Mohammed Premier d'Oujda a pu créer le Centre universitaire du développement de la région de l’Oriental (CUDRO), interface essentielle pour valoriser les résultats de la recherche et la connecter au monde économique marocain.

 

La valorisation de la recherche, un enjeu francophone

Au lendemain de ce premier forum, avec le soutien de l’Agence universitaire de la Francophonie (AUF) et de Wallonie Bruxelles International (WBI), la priorité des participants sera de traduire les recommandations dans un livre blanc de la valorisation qui sera présenté aux chefs d’État lors du prochain Sommet de la Francophonie qui se tiendra à Erevan (Arménie) en octobre 2018. Nul doute qu’ils devraient percevoir les opportunités que représente la stimulation des échanges au sein de l’espace francophone, afin que les résultats de la recherche circulent et que les innovations qui en découlent puissent, in fine, encore mieux capter l’intérêt des différents acteurs, dont le monde économique.

 

EN SAVOIR + : pour en savoir plus, consultez le programme du forum francophone de la valorisation.

 

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Irlande : un partenaire privilégié pour nos futurs partenariats académiques

Soumis par Anonyme (non vérifié) le

<p><strong>L’Irlande a l’ambition de devenir un leader mondial de l’innovation et d’offrir, d’ici à 2025, le meilleur système d’enseignement supérieur en Europe. Les mesures prises au cours des 20 à 30 dernières années, dans un contexte économique favorable, ont déjà montré leurs effets. Avec l’ARES et l’agence WB Campus, nos établissements d’enseignement supérieur se rendent en Irlande du 16 au 18 mai pour développer et renforcer leurs collaborations.</strong></p>

<p>Via une coordination de l’ARES et la Commission des relations internationales (CRI), et avec l’appui de&nbsp;<a href="http://www.studyinbelgium.be&quot; target="_blank" title="Study in Belgium">WB Campus</a>, une trentaine de représentants de nos institutions d’enseignement supérieur prendront part à cette mission interinstitutionnelle en Irlande. Si des collaborations académiques et scientifiques existent déjà (notamment dans le cadre des programmes européens «&nbsp;Erasmus+&nbsp;» et «&nbsp;Horizon 2020&nbsp;»), cette mission offre une opportunité unique de développer de nouvelles collaborations et d’en renforcer d’autres, notamment dans le contexte sensible du «&nbsp;Brexit&nbsp;», qui impactera l’ensemble des acteurs européens de l’enseignement supérieur et en particulier les institutions irlandaises.<br><br>&nbsp;</p><h2><strong>Un système d’enseignement supérieur en constante évolution</strong></h2><p>Au cours des deux dernières décennies, l’enseignement supérieur a joué un rôle central dans la transformation économique, sociale et culturelle de l’Irlande, à commencer par une augmentation rapide et constante du taux de participation à l’enseignement supérieur. Ainsi, alors qu’en 1980 seulement 20&nbsp;% de la population irlandaise poursuivait des études supérieures, aujourd’hui près de 60&nbsp;% de la population est inscrite dans une institution d’enseignement supérieur. Si bien qu’aujourd’hui l’Irlande possède un des taux les plus élevés de sa population âgée de 30-34 ans détenant un diplôme d’enseignement supérieur.<br><br>&nbsp;</p><blockquote><p><em><span style="color:#00a5bd;"><strong>Entre 2006 et 2017, le taux de la population âgée de 30-34 ans ayant obtenu un diplôme d’enseignement a évolué de 41,3&nbsp;% à 53,5&nbsp;%. Sur la même période, alors que la Belgique avait un taux similaire en 2006, celui-ci atteint aujourd’hui 45,9&nbsp;%.</strong></span></em></p></blockquote><h2><br><strong>Un investissement public dans l’enseignement supérieur en baisse</strong></h2><p>Malgré les développements positifs dans l’enseignement supérieur irlandais, l’investissement des pouvoirs publics dans le secteur reste plus faible que la moyenne européenne et donc également plus faible que celui observé en Fédération Wallonie-Bruxelles. Pourtant, le gouvernement irlandais –&nbsp;à travers sa stratégie de financement de l’enseignement supérieur&nbsp;– souhaite renforcer les ressources pour les institutions, notamment en ce qui concerne les infrastructures de recherche.<br><br>&nbsp;</p><blockquote><p><em><span style="color:#00a5bd;"><strong>En 2017, l’Irlande a consacré 1,1&nbsp;% de son PIB au secteur de l’enseignement supérieur –&nbsp;en compris les dépenses pour la recherche et le développement. Ce taux a constamment baissé depuis 2010&nbsp;</strong></span></em><br><span style="color:#00a5bd;"><strong>Un attrait pour le français et la francophonie.</strong></span></p></blockquote><p><br>Le français est la première langue étrangère enseignée dans l’enseignement secondaire et dans les institutions d’enseignement supérieur irlandaises. Ainsi, en 2012, près de 55&nbsp;% des élèves irlandais apprenaient le français comme première langue étrangère. Par ailleurs, les universités irlandaises disposent d’importants département de français et français appliqué avec une population étudiante stable au cours des 10&nbsp;dernières années. De même, les instituts de technologie offrent des programmes partiellement en français, langue de spécialité ou langue appliquée&nbsp;: français des affaires, du tourisme et du droit notamment. Enfin, il est important de souligner que la France est le premier pays d’accueil d’étudiants irlandais en mobilité d’étude.<br><br>&nbsp;</p><blockquote><p><em><span style="color:#00a5bd;"><strong>En 2017, près de 25&nbsp;% des étudiants irlandais en mobilité ont choisi la France comme destination, soit près de 600&nbsp;étudiants. En Fédération Wallonie-Bruxelles, une trentaine d’étudiants seulement ont été accueilli dans un de nos établissements.</strong></span></em><br>&nbsp;</p></blockquote><h2><br>Le «&nbsp;Brexit&nbsp;» en ligne de mire pour les institutions irlandaise</h2><p><br>Le Royaume-Uni est le premier partenaire de l’Irlande. Dès lors, le «&nbsp;Brexit&nbsp;» constitue une menace non négligeable pour les institutions irlandaises. La mobilité des étudiants, des chercheurs et des professeurs entre les deux pays sera certainement impactée en premier lieu. En effet, en 2015-2016, plus de 12&nbsp;000 étudiants ont circulé entre l’Irlande et le Royaume-Uni. Le «&nbsp;Brexit&nbsp;» amène dès aujourd’hui les institutions irlandaises à se repositionner auprès de ces partenaires de l’UE pour devenir le premier partenaire anglophone.<br><br>&nbsp;</p><blockquote><p><em><span style="color:#00a5bd;"><strong>Dans le cadre d’une enquête récente, 79&nbsp;% des professeurs et chercheurs irlandais ont affirmé que leurs collaborations avec le Royaume-Uni étaient essentielles dans leur domaine.&nbsp;</strong></span></em></p></blockquote><h2><br><strong>Une dizaine de rencontres sur trois jours pour 35 représentants d’établissements d’enseignement supérieur</strong></h2><p>Outre des rencontres avec les organisations faitières irlandaises que sont <a href="https://www.iua.ie/&quot; target="_blank" title="Irish Universities Association">Irish Universities Association</a>,&nbsp;<a href="http://www.thea.ie&quot; target="_blank" title="Technological Higher Education Association">Technological Higher Education Association</a> ou encore <a href="http://hea.ie/&quot; target="_blank" title="Higher Education Authority">Higher Education Authority</a>, la délégation académique visiteront les principales universités et instituts de technologie à Dublin, Galway et Limerick. Ces rencontres seront l’occasion d’échanger sur les derniers développements au sein des paysages de l’enseignement supérieur respectifs, de mettre en évidence les collaborations existantes mais surtout de discuter de pistes pour renforcer les partenariats. «&nbsp;<em>Dans le contexte actuel du ‘Brexit’, les membres de la Commission des relations internationales </em>(CRI) <em>de l’ARES ont estimé essentiel de renforcer le dialogue avec les partenaires irlandais et de leur rappeler notre volonté forte de travailler ensemble&nbsp;</em>»<em>, </em>souligne le professeur&nbsp;Serge Jaumain, président de la CRI.</p><p>Et Julien Nicaise, administrateur de l’ARES de rajouter sur la mission&nbsp;académique&nbsp;: «&nbsp;<em>C’est un des rôles majeurs de l’ARES que d’appuyer les établissements dans le développement de leurs collaborations. Je suis d’ailleurs ravi de voir qu’un nombre important de hautes écoles seront représentées et que cette mission ait été organisée par la CRI sous le pilotage de la directrice des relations internationales de la HE Vinci, Maïté Abram&nbsp;</em>».</p><p><br><a href="https://twitter.com/search?f=tweets&amp;q=%23ARESmissionIE&amp;src=typd…; target="_blank">#ARESmissionIE</a><br>&nbsp;</p><p><strong>Composition de la délégation&nbsp;:</strong></p><ul><li>Maïté Abram (HE Vinci)</li><li>Jonathan Bangels (WBI)</li><li>Henrich Brunke (Université de Namur)</li><li>Carine Closter (HENALLUX)</li><li>Gertrude Croé (HE Vinci)</li><li>Julie David (WB Campus)</li><li>Christine Demaecker (ULB)</li><li>Catherine Finozzi (HE Condorcet)</li><li>Patrick Galliez (HERS)</li><li>Martine Gérard (HELHa)</li><li>Nathalie Gerlach (HEPL)</li><li>Christian Goethals (HELHa)</li><li>Julie Guiot (HELMo)</li><li>Sophie Henrard (HE Galilée, IHECS)</li><li>Camille Kelbel (ULB)</li><li>Caroline Laloux (ICHEC)</li><li>Bénédicte Ledent (ULiège)</li><li>Anne Ledoux (HE Vinci)</li><li>Fanny Lutz (USL-B)</li><li>Florence Maertens (ARES)</li><li>Pierre Meulenyzer (HEH)</li><li>Kristien Minet (ICHEC)</li><li>Margaret Mulcahy (UCL)</li><li>Elisabeth Plard (HEFF)</li><li>Laetitia Pozniak (UMONS)</li><li>Olivier Praz (HELMo)</li><li>Yves Satinet (HERS)</li><li>Aude Segers (UMONS)</li><li>Cécile Thuillier (ESA Saint-Luc Bruxelles)</li><li>Murielle Thunus (HENALLUX)</li><li>Véronique Van Cauter (HEAJ)</li><li>Alain Vande Wouwer (UMONS)</li><li>Gunther Vranken (ULiège)</li></ul><p>&nbsp;</p><p>&nbsp;</p><p><span lang="EN-US">Photo :&nbsp;</span> <a href="https://creativecommons.org/licenses/by-sa/2.0/&quot; title="Creative Commons Attribution-Share Alike 2.0&lt;p&gt;&lt;/p&gt;"><span lang="EN-US">CC BY-SA 2.0</span></a>&nbsp;<span lang="EN-US"> / </span><a href="https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Flag_of_ireland.jpg&quot; target="_blank" title="https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Flag_of_ireland.jpg"><span lang="EN-US">https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Flag_of_ireland.jpg</span></a><… lang="EN-US">&nbsp;/ ARES</span></p><p>&nbsp;</p>

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Visite d’État au Canada : langues, numérique et accords pour la plus importante délégation académique jamais constituée

Soumis par Anonyme (non vérifié) le

Quelque 80 représentants du secteur de l’enseignement supérieur et de la recherche – dont une quarantaine pour la Fédération Wallonie-Bruxelles – s’envolent ce dimanche pour le Canada où ils accompagnent les Souverains à l’occasion de la visite d’État programmée entre ces 11 et 17 mars. L’occasion de mettre en lumière les collaborations existantes et de préparer… ou de signer de nouveaux partenariats.

Première destination extraeuropéenne des étudiants francophones de Belgique en mobilité sortante, le Canada est aussi un partenaire stratégique de premier ordre pour les établissements d’enseignement supérieur de la Fédération Wallonie-Bruxelles.

Fort de ses 93 universités dont 3 figurent au top 100 mondial  et 250 « collèges » (l’équivalent de nos hautes écoles) regroupant quelque 2 millions d’étudiants, le pays peut s’appuyer sur un système éducatif solidement financé à hauteur de 6 % de son PIB, qui a, par exemple, généré au cours des 9 dernières années plus d’1,5 million d’emplois nets pour les seuls diplômés des universités.

Parmi la quinzaine d’activités prévues pour la plus importante délégation académique jamais constituée pour une visite d’État, quatre « temps forts » baliseront le programme, d’Ottawa à Montréal, en passant par Toronto :

  1. Les expériences et expertises que la Belgique et le Canada partagent en matière d’enseignement multilingue seront mises en lumière à l’occasion d’un séminaire scientifique qui aura lieu, en présence de SM le Roi, le mardi 13 mars à l’Université d’Ottawa, l’une des plus importantes universités bilingues de par le monde.

    Après avoir brossé un tableau général de l’apprentissage des langues dans les deux pays, il s’agira de présenter les résultats des recherches les plus récentes menées sur les questions d’enseignement en immersion et d’apprentissage linguistique en contexte universitaire. Le séminaire sera suivi d’un déjeuner au cours duquel les conclusions seront discutées avec SM la Reine.
     
  2. La délégation académique et le ministre-président Rudy Demotte seront reçus, le mercredi 14 mars, sur le campus de l’Université de Toronto. L’occasion de développer les liens avec une université, qui compte parmi les mieux classées du pays, mais avec laquelle il n’existe pour l’heure encore aucun accord spécifique.
     
  3. Le jeudi 15 mars, à l’Université de Montréal, une série de tables rondes académiques, conclues en présence de SM le Roi, seront consacrées aux innovations technopédagogiques par le numérique. Elles couvriront trois thèmes : les inégalités en termes de compétences numériques à l’entrée du supérieur, la qualité des cours en ligne et la formation des enseignants aux technologies.
     
  4. Enfin, les collaborations en recherche fondamentale seront, quant à elles, au cœur d’une rencontre de haut niveau entre les fonds belges de la recherche scientifique (FRS-FNRS et FWO) et leur homologue québécois (FRQ). L’évènement, conçu comme l’occasion d’insister, projets à l’appui, sur la pertinence des accords bilatéraux pour l’avancement des connaissances se prolongera par un déjeuner présidé par SM la Reine.

« Le volet académique et scientifique des visites d’État est aujourd’hui reconnu, à juste titre, comme le complément naturel de leurs aspects économiques », se réjouit Julien Nicaise, administrateur de l’ARES, qui note qu’« à l’heure actuelle, les partenariats internationaux de recherche, d’échanges d’étudiants ou de personnel, de programmes conjoints ou de codiplômation, sont incontournables, tant pour nourrir nos relations diplomatiques que pour renforcer la dimension internationale de nos établissements d’enseignement supérieur dans un contexte mondial toujours plus compétitif ».

Véritable « sésames » et opportunités uniques d’accroitre la visibilité des acteurs de l’enseignement supérieur, les visites d’État sont des moments privilégiés pour les relations internationales des établissements. « Avec le soutien de nos Souverains et avec plusieurs ministres de l’État fédéral et des entités fédérées aux côtés de nos universités et de nos hautes écoles, le renforcement de nos liens et de nos échanges internationaux, ici avec le Canada, s’en trouve facilité ».

Du côté francophone, la visite d’État sera ponctuée par la signature de 11 accords de coopération académique et scientifique, dont 3 signés par 2 hautes écoles.

 

EN SAVOIR +https://www.belgianstatevisit.be/

#BELCAN2018 

 

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Réussir ses études : des parcours types aux dispositifs d'aide

Soumis par Anonyme (non vérifié) le

Que signifie aujourd'hui "réussir ses études" ? Des différents types de parcours de réussite aux meilleures façons d'accompagner les étudiants, l'aide à la réussite était au coeur de la journée organisée ce mardi 27 février autour des résultats d'une étude menée par l'ARES sur les parcours et les formes de soutien apporté aux étudiants dans les établissements d'enseignement supérieur de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Les principaux constats et les principales conclusions de cette recherche sont à présent disponibles sous la forme d'un résumé du rapport de recherche, dont la version complète, elle aussi, sera bientôt en ligne.

Les pratiques de promotion de la réussite et d’accompagnement des étudiants de l’enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles connaissent, ces dernières années, un développement à la fois quantitatif et qualitatif et une "institutionnalisation" croissante. Et pourtant, l’échec et l’abandon persistent...​ Serait-ce donc une "fatalité" dans un système d'enseignement supérieur où l'accès est "ouvert" comme le nôtre (avec peu de filtres à l'entrée) ? Ou encore une résultante assez logique de l'augmentation très significative du nombre d'étudiants qui entament des études supérieures ces dernières années ? Existe-t-il des obstacles expliquant que l'offre d'aide à la réussite ne rencontre pas toujours les besoins des étudiants ?

La recherche autour de laquelle la journée était construite se base sur les réponses apportées par 2505 étudiants "diplômables" au terme de l'année académique 2016-2017 et qui ont été interrogés par questionnaire en 2017, ainsi que sur l'analyse de 17 entretiens qualitatifs réalisés en août et septembre 2017 auprès d'un échantillon des répondants. Elle avait pour but de s’interroger sur la notion de réussite et de mettre en évidence des "parcours de réussite" dans le premier cycle de l’enseignement supérieur. Avec, en toile fond, la réforme de l'organisation académique des études entrée en vigueur en 2014, qui a vu "disparaitre" le principe d'année d’études et le concept de réussite évoluer. Quelles sont les principales conclusions ?

 

"Le parcours d'un étudiant qui réussit trois blocs de 60 crédits en trois ans n'est qu'un exemple parmi d'autres"
 


​9 profils types de parcours de réussite

Le parcours d'un étudiant qui réussit trois blocs de 60 crédits en trois ans n'est qu'un exemple parmi d'autres. En élargissant le spectre, la recherche a permis de mettre en évidence, auprès des étudiants, différentes formes de résilience et de stratégies, et d'aboutir à la caractérisation de neuf profils types de "parcours de réussite" conjuguant durée (parcours direct, intermédiaire et long) et degré de personnalisation (classique, personnalisé, très personnalisé).

Dix indices regroupant des variables "individuelles" susceptibles d'influencer les parcours ont également été construits et mis en relation avec ces profils. Il s'agissait ici notamment de vérifier la mesure dans laquelle le fait de "posséder" telle caractéristique impactait la probabilité de s'inscrire dans un tel parcours de réussite, sans toutefois que ces corrélations impliquent des liens de causalité. L'analyse permet ainsi d'observer que les étudiants de l'enseignement supérieur artistique suivent davantage un parcours direct que les autres. Ou, plus étonnant, qu'un soutien pédagogique important ne signifie pas nécessairement "parcours direct", ce qui tend à remettre en cause l'idée selon laquelle ceux qui bénéficient de l'aide à la réussite sont ceux qui en ont le moins besoin.

 

"La réussite semble ainsi aujourd'hui reposer sur une adaptabilité des parcours d'autant plus nécessaire que l'étudiant est, par exemple, âgé, que son "capital culturel" est faible ou qu'il travaille parallèlement à ses études"


L'adaptabilité des parcours au service de la réussite

A partir de ces parcours, précise Leila Mouhib, chargée de recherche à l'ARES, "l'idée était aussi de mettre en lumière les dispositifs d'aide qui ont permis aux étudiants, notamment ceux en difficulté, d'arriver au bout de leur bachelier, pour favoriser leur mise en perspective, identifier leurs dénominateurs communs, et favoriser leur potentielle adaptation aux besoins et aux perceptions des bénéficiaires".

Là où les variables "individuelles" ne permettent pas de prédire le type de parcours d'un étudiant, l'analyse des données du questionnaire – et, plus encore, les récits livrés au cours des entretiens individuels – fait, elle, apparaitre un terreau propice à la réussite, comme autant de "dénominateurs communs".

La réussite semble ainsi aujourd'hui reposer sur une adaptabilité des parcours d'autant plus nécessaire que l'étudiant est, par exemple, âgé, que son "capital culturel" est faible ou qu'il travaille parallèlement à ses études. Par exemple, pour Raphaël*, qui émarge à l'aide sociale, le principe de la capitalisation de crédits et le fait de ne plus "réussir" ou "échouer" une année facilite la décision du Centre public d'action sociale de continuer à subvenir à ses besoins...

 

"Les dispositifs d'aide à la réussite sont mieux reçus si ils ne sont pas présentés comme tels ou de telle sorte qu'ils puissent être perçus comme autant de 'béquilles de secours'"


L'aide à la réussite avancerait-elle mieux masquée ?

Autre enseignement : les dispositifs d'aide à la réussite sont mieux reçus si ils ne sont pas présentés comme tels ou de telle sorte qu'ils puissent être perçus comme autant de "béquilles de secours". Un séminaire méthodologique ouvert à tous ? Des guidances, même sur base volontaire ? De tels éléments ne sont (curieusement) pas toujours perçus comme une forme d'aide à la réussite et semblent d'autant plus "attirants" qu'ils sont généraux et qu'ils ne ciblent pas les étudiants en difficulté.

Et que dire de la disponibilité des enseignants ? Parmi un éventail de 13 outils d'aide à la réussite, c'est elle que les étudiants interrogés plébiscitent. Elle recueille un taux de satisfaction moyenne de 43,3 % là, où, en queue de peloton, on retrouve les blocus assistés, le parrainage et les tests diagnostics...

*prénom d'emprunt

 

EN SAVOIR + : Pour en savoir plus, et notamment découvrir les autres conclusions de l'étude, consultez le rapport intégral de recherche ou le résumé du rapport.

Télécharger le rapport intégral de recherche (PDF - 2148 Ko)

Téléchargez le résumé du rapport de recherche (PDF - 800 Ko)

L'étude Réussir ses études. Quels parcours ? Quels soutiens ? Parcours de réussite dans le premier cycle de l'enseignement supérieur - Fédération Wallonie-Bruxelles a été réalisée par Leila Mouhib, chargée de recherche à l’ARES, à l'initiative et sous la supervision de la Commission d’aide à la réussite, et a bénéficié du soutien financier de la Fédération Wallonie-Bruxelles.

 

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Carrière des jeunes chercheures : quelles solutions ont-elle trouvées pour contourner les obstacles ?

Soumis par Anonyme (non vérifié) le

 

« Carrière des jeunes chercheures :
Quelles solutions ont-elle trouvées pour contourner les obstacles ? »

Journée internationale des femmes et des filles de science
Rencontre – témoignages de jeunes chercheures
BRUXELLES (RUE ROYALE 2-4), BIP, JEUDI 8 FÉVRIER 2018

 

PROGRAMME

9h00

Accueil des participant·e·s

9h15-10h00

Session d'ouverture
» Ouverture et présentation de la rencontre par Pr Bernard Fusulier, Président du Comité Femmes et Sciences
» Panorama statistique de la situation des chercheures F.R.S.-FNRS par Dre Ire Véronique Halloin, Secrétaire générale du F.R.S.-FNRS
» Le mentorat, l’une des solutions possibles à l’accompagnement des chercheures ? par Mme Tania Van Loon, Legal & Financial NCP Brussels (Horizon 2020) & Présidente de BeWiSe

10h00-11h00

Deux ateliers en parallèle

 

Atelier 1 – Comment aider les jeunes chercheures à persévérer dans une carrière faite d’incertitude et de précarité ?

Atelier 2 – L’inscription internationale de la carrière de chercheure est-elle compatible avec une vie familiale ?

11h00

Tea – coffee break

11h30-12h00

Deux ateliers en parallèle

 

Atelier 3 – Comment concilier maternité et carrière dans la recherche académique ?

Atelier 4 – Comment les jeunes chercheures peuvent-elles tirer profit des réseaux ?

12h30

Walking lunch & networking

14h00-15h00

Deux ateliers en parralèle

 

Atelier 5 – En quoi les relations quotidiennes de travail peuvent-elles influer sur la carrière des jeunes chercheures ?

Atelier 6 – Quelle autre vie que la carrière académique, après le doctorat ?

15h00-16h15 Session de clôture
 

Restitution des débats des ateliers et présentation des solutions par les rapportrices :

» Mme Marie-Eve Carrette Bouchat, USL-B, rapportrice de l’atelier 1
» Pre Tania Van Hemelryck, UCL, rapportrice de l’atelier 2
» Pre Claire Lobet-Maris, UNamur, rapportrice de l’atelier 3
» Dre Cynthie Marchal, UMONS, rapportrice atelier 4
» Pre Caroline Closon, ULB rapportrice de l’atelier 5
» Pre Angélique Léonard, ULiège, rapportrice de l’atelier 6

  Questions - réponses
16h00 Clôture par Mme Barbara Brunisso, Vice-présidente du Comité Femmes et Sciences
16h15 Fin de la rencontre

 

Le programme détaillé de la journée

 

Qui ?

Le Comité Femmes et Sciences, avec les soutien financier du F.R.S.-FNRS et en collaboration avec l'ARES

Quoi ?

Journée rencontre sur l'engagement des jeunes chercheures ("early stages") dans une carrière scientifique et/ou académique

Quand ?

Le jeudi 8 février 2018, de 9h00 à 16h15

Où ?

Bruxelles
BIP
Rue Royale 2-4, 1000 Bruxelles
 

Inscription ?

La participation est gratuite, moyennant inscription en ligne au plus tard le jeudi 1er février 2018.

EN SAVOIR +

Consultez le programme détaillé de la journée ou contactez :

 

 

Bruxelles
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Vers une plateforme collaborative pour l'internationalisation des institutions d'enseignement supérieur francophones

Soumis par Anonyme (non vérifié) le

<p><strong>Après deux premières éditions organisées à Montréal à 2016 et à Bruxelles en 2017, l’Université de Lausanne (UNIL) s’apprête à accueillir un troisième séminaire sur l’internationalisation des institutions d’enseignement supérieur francophones, avec une contribution toujours aussi importante de nos universités, nos hautes écoles, nos écoles supérieures des arts et de l’ARES.</strong></p>

<p>En février 2016, l’Université du Québec à Montréal (UQAM) proposait à ses partenaires francophones de se réunir en marge de la conférence annuelle de l’AIEA (rencontre des responsables des relations internationales en Amérique du Nord) afin de discuter des enjeux de l’internationalisation pour des institutions francophones dans un monde globalisé largement anglophone. Dans cette lancée, l’ARES proposait de poursuivre ce type de rencontre annuelle et&nbsp;<a href="index.php?option=com_content&amp;view=article&amp;id=279:l-internationalisation-des-institutions-d-enseignement-superieur-francophones-en-debat&amp;catid=53&amp;Itemid=353" title="2e séminaire sur l&apos;internationalisation des établissements d&apos;enseignement supérieur francophones">accueillait l’année suivante une septantaine de représentants d’établissements francophones</a>, avec cette fois une ouverture importante vers le Sud.<br><br>&nbsp;</p><h2>Développer un espace collaboratif</h2><p>De ces deux premiers séminaires, sont clairement apparues <strong>la nécessité et la pertinence de développer un espace collaboratif</strong> – plutôt informel et donc basé sur des attentes du « terrain » – entre professionnels des relations internationales des établissements francophones. Cet espace ne se conçoit certainement pas en opposition aux tendances observées aujourd’hui dans l’internationalisation. Au contraire, à travers cet espace, les partenaires francophones entendent contribuer efficacement – et avec leurs potentialités et spécificités – à l’internationalisation, entendue comme processus d’intégration intentionnel d’une dimension internationale, interculturelle ou mondiale dans les trois missions des établissements d’enseignement supérieur.<br><br>&nbsp;</p><h2>Le séminaire de Lausanne</h2><p>C’est dans cette perspective que l’UNIL accueille ces 7 et 8 février 2018 <strong>une septantaine de représentants d’établissements, issus d’une douzaine de pays francophones</strong> (et francophiles). Avec l’appui de l’ARES et de l’UQAM, les hôtes de cette troisième édition ont souhaité favoriser le <strong>partage de pratiques</strong> et organiseront par exemple une session « Mon projet d’internationalisation en 180 secondes ». Développée sur le format de « Ma thèse en 180 secondes », les responsables des relations internationales expliqueront les projets innovants déjà initiés, en développement ou seulement au stade d’idée, auprès de leurs collègues. L’objectif principal étant de <strong>susciter le développement de nouveaux projets, de nouvelles collaborations, de nouvelles approches</strong> auprès des participants.</p><p>La question de&nbsp;<a href="index.php?option=com_content&amp;view=article&amp;id=285:le-francais-a-toute-sa-place-dans-l-internationalisation-de-l-enseignement-superieur&amp;catid=53&amp;Itemid=353" title="Le français a toute sa place dans l&apos;internationalisation de l&apos;enseignement supérieur"><strong>la place du français</strong></a>&nbsp;et, plus largement, celle du <strong>multilinguisme</strong> seront abordées en ouverture grâce à une contribution du prof. François Grin, économiste des langues à l’Université de Genève. Les représentants des établissements d’enseignement supérieur de la Fédération Wallonie-Bruxelles pourront certainement faire état des <strong>réalités et enjeux observés en Belgique francophone</strong>, puisque cette thématique a fait l’objet d’un <a href="index.php?option=com_content&amp;view=article&amp;id=354:14-11-17-midis-enseignement-l-enseignement-en-anglais-opportunite-necessite-ou-menace&amp;catid=61&amp;Itemid=180" target="_blank" title="Midi de l&apos;ARES - L&apos;enseignement supérieur en anglais"><strong>« Midi de l’ARES »</strong></a><strong> </strong>en octobre 2017.</p><p>D’autres ateliers de travail sont prévus, durant lesquels les participants aborderont les <strong>nouvelles formes de mobilité</strong>, le développement de <strong>programmes conjoints</strong>, la <strong>gouvernance des relations internationales</strong> au sein des établissements ou encore le <strong>développement de partenariats stratégiques</strong>.<br><br>&nbsp;</p><blockquote><p><em><span style="color:#00a5bd;"><strong>«&nbsp;D’un séminaire entre quelques représentants d’établissements francophones, nous avons favorisé l’émergence d’un réel espace collaboratif&nbsp;»</strong></span></em></p></blockquote><p><br><em>« Le programme très riche de cette troisième édition</em>, souligne <strong>Julien Nicaise, administrateur de l’ARES</strong>, <em>démontre l’importance de favoriser les échanges entre "praticiens" des relations internationales, d’échanger sur les enjeux rencontrés au quotidien par ces responsables des relations internationales dans leur établissement, etc. »</em>. <strong>Serge Jaumain, président de la Commission des relations internationales</strong>&nbsp;de l'ARES de compléter : <em>« D’un séminaire entre quelques représentants d’établissements francophones, grâce aux forces vives de l’UQAM, de l’UNIL et de l’ARES ainsi que grâce aux participants des deux premiers séminaires, <strong>nous avons favorisé l’émergence d’un réel espace collaboratif</strong> qui, je l’espère, pourra renforcer d’autant plus les liens entre nos établissements »</em>.</p><p>Le séminaire est précédé, le 7 février après-midi, d’une présentation du <strong>système d’enseignement supérieur et de la recherche en Suisse</strong>, suivie d’une <strong>conférence inaugurale du recteur de l’AUF, Monsieur Jean-Paul de Gaudemar</strong>, qui mettra en évidence <strong>les défis et objectifs liés à l’internationalisation qui se retrouvent dans la </strong><a href="https://www.auf.org/wp-content/uploads/2017/04/Strat%C3%A9gie-2017-2021…; target="_blank" title="AUF - Stratégie 2017-2021"><strong>stratégie 2017-2021 de l’AUF</strong></a>.<br><br>&nbsp;</p><p><a href="https://twitter.com/search?f=tweets&amp;q=#intlhedFR2018&amp;src=typd&q…; target="_blank" title="Twitter - #intlenssupFR2018"><strong>#intlenssupFR2018</strong></a><br><br>&nbsp;</p><p><strong>Représentants des établissements d'enseignement supérieur de la FWB participant au séminaire :</strong></p><ul><li>Maïté Abram (HE Vinci)</li><li>Laurence Barras (HEH)</li><li>Catherine Dassis (ULiège)</li><li>Annick Castiaux (UNamur)</li><li>Vinciane De Keyser (FedESup)</li><li>Cécile Dujardin (ESA St-Luc Bruxelles)</li><li>Gaëlle Ducarme (ULB)</li><li>Kevin Guillaume (ARES)</li><li>Fanny Lutz (USL-B)</li><li>Florence Maertens (ARES)</li><li>Prof. Serge Jaumain (président de la CRI, ARES)</li><li>Patricia Petit (ULiège)</li><li>Dana Samson (UCL)</li><li>Véronique Van Cauter (HEAJ)</li></ul><p>&nbsp;</p>

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