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Documents et outils

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L'internationalisation de part et d'autre de l'Atlantique : une importante délégation américaine à l'ARES pour renforcer les liens Europe - États-Unis

Soumis par Anonyme (non vérifié) le

Une trentaine de représentants d’établissements d’enseignement supérieur américains étaient à l’ARES ce 18 octobre 2018 pour évoquer, avec leurs homologues belges et plusieurs organisations européennes, l’internationalisation de l’enseignement supérieur et de la recherche en Europe, ainsi que l’avenir des partenariats entre les États-Unis et les pays européens, dont la Belgique.

Une délégation de représentants d’établissements d’enseignement supérieur américains rencontrait leurs homologues belges ainsi que des représentants d’institutions et d’associations européennes ce 18 octobre à l'ARES. Cette délégation est présente en Belgique dans le cadre d’une visite européenne organisée par les commissions Fulbright de France et d’Allemagne. Au coeur des discussions : les enjeux de l'internationalisation dans et avec l’Union européenne.

 

Perspectives d’internationalisation de part et d'autre de l'Atlantique

Deux discussions étaient organisées dans cette perspective, en collaboration avec la Commission Fulbright Belgique-Luxembourg et le Vlaamse Universiteiten en Hogescholen Raad (VLUHR).

La première portait sur les perspectives européennes d’internationalisation de l’enseignement supérieur. Le panel d’intervenants était constitué de spécialistes des relations internationales travaillant dans des établissements ou pour des organisations européennes, dont Judith le Maire, professeure à, l'ULB et présidente de la Commission des relations internationales de l’ARES, son homologue flamand, Peter Lievens, et Lesley Wilson, secrétaire générale de l'European University Association (EUA).

Ils ont interagi sur le sujet avec un parterre "mixte", composé d'une trentaine de représentants américains ainsi que d’académiques belges, francophones et néerlandophones. Une diversité qui a permis de mener des échanges passionnants sur les perspectives d’internationalisation de l’enseignement et de la recherche de part et d’autre de l’Atlantique.

 

Success stories belgo-américaines et partenariats européens

La deuxième discussion portait sur des projets de coopération entre  établissements américains et belges. Elle a permis de mettre en avant des collaborations fructueuses en matière d’enseignement supérieur et de recherche.

Mais cette journée de rencontre ne constitue qu’une étape dans le programme de la délégation. Celle-ci sera présente en Belgique jusqu’au 20 octobre. Au cours de leur séjour, les représentants auront également l’occasion de s’entretenir sur les possibilités de partenariats dans l’Union européenne dans le cadre de programmes européens tels qu’Horizon 2020 ou Erasmus.

 

Le Programme Fullbright est le programme phare d’échange culturel et éducatif international parrainé par le gouvernement des États-Unis. Il est conçu pour améliorer la compréhension mutuelle entre les États-Unis et les autres pays du globe. Il est considéré comme l'un des plus prestigieux programmes d'échange au monde, auquel participent plus de 160 pays.

 

 

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APPEL - Prix interrégional de la recherche en Grande Région : prolongation de la date de clôture de l'appel

Soumis par Anonyme (non vérifié) le

« Mettre à l'honneur la coopération scientifique » : tel est l'objectif du Prix interrégional de la recherche organisé par la Grande Région. Afin de permettre une participation la plus large possible, les organisateurs ont décidé de porter la date limite d'introduction des candidatures (initialement fixée au 15 octobre) au 5 novembre 2018.

La Grande Région couvre 5 régions réparties sur 4 pays : l'Allemagne (avec la Sarre et la Rhénanie-Palatinat), la France (avec la Lorraine), le Grand-Duché de Luxembourg et la Belgique (avec la Wallonie, la Fédération Wallonie-Bruxelles et la Communauté germanophone).

Au mois d'avril 2018, elle a lancé le Prix interrégional de la recherche. Destiné à mettre à l'honneur la coopération scientifique en Grande Région, ce prix est attribué à des réseaux de chercheurs travaillant au moins bilatéralement sur un thème d'intérêt transfrontalier dans le cadre de la Grande Région.

Initialement prévue au 15 octobre, la date limite pour l'introduction des candidatures a été portée au 5 novembre 2018.

Pour être éligible, les candidats doivent présenter un projet de recherche partenarial qui implique au moins deux laboratoires ou institutions de deux entités territoriales différentes de la Grande Région.

L'équipe à laquelle sera décerné le premier prix recevra une récompense de 35 000 €.

 

EN SAVOIR+ : téléchargez le règlement ainsi que le dossier de candidature

 

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APPEL - Coopération au développement : l'appel à projets de recherche et de formation 2020 ouvert

Soumis par Anonyme (non vérifié) le

Vous êtes membre permanent du corps académique ou scientifique d'un établissement d'enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles ou dans un pays en développement partenaire de l'ARES ? Vous souhaitez mettre sur pied un projet de recherche ou de formation répondant à une problématique de développement ou à un besoin en compétences identifié localement, en collaboration entre partenaires Nord et Sud ? L'ARES lance son appel à projets de recherche pour le développement et de formation Sud.

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L'ARES soutient des projets de recherche collaborative et des projets d'appui à ou de mise en place de formations, orientés développement et menés en partenariat entre les établissements d'enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles et les établissements de 18 pays de concentration.

Chaque année, elle lance un appel à Projets de recherche pour le développement (PRD) et Projets de formation Sud (PFS). Cet appel est destiné aux membres permanents des corps académique et/ou scientifique des établissements d'enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles et des établissements d'enseignement supérieur des pays du Sud (NB : les propositions doivent être introduites à l'ARES via l'établissement coordonnateur en Fédération Wallonie-Bruxelles).

Ouverture de l'appel : 15 octobre 2018.

Date limite pour l'introduction des propositions de préprojet : 3 janvier 2019 dans l'établissement d'enseignement supérieur du coodonnateur Nord.


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EN SAVOIR+ : consultez la page de l'appel sur le site de l'ARES (version française)

 

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Bourse ASEM-DUO : Rencontre avec Masami Miyake et Jacques Mainil, professeurs en médecine vétérinaire

Soumis par Anonyme (non vérifié) le

Masami Miyake et Jacques Mainil sont tous deux professeurs en médecine vétérinaire, l'un à Osaka et l'autre à Liège. Ils présentaient ce matin, à l'ARES, leur projet d’échange international entre le Japon et la Belgique pour lequel ils ont bénéficié d'une bourse de 5000 euros dans le cadre du programme ASEM-DUO, géré par l’ARES pour la Fédération Wallonie-Bruxelles. La bourse permettra notamment de financer leur transport et de participer aux frais liés à leurs séjours. 

Masami Miyake et Jacques Mainil sont tous les deux professeurs en médecine vétérinaire, respectivement à l’Université préfectorale d’Osaka et à l’ULiège. Ils effectuent des recherches sur des bactéries infectant des animaux et pouvant générer des intoxications alimentaires chez l’homme.

Masami Miyake arrivera en Belgique au mois de mars et enseignera pendant un mois à l’ULiège. L’occasion pour les étudiants belges d’en connaitre davantage sur des bactéries présentes au Japon, mais inconnues dans nos contrées. Jacques Mainil arrivera quant à lui en avril à Osaka. Il enseignera à l’Université préfectorale, pour permettre aux étudiants japonais de se familiariser avec les bactéries présentes en Belgique.

Au-delà de l’intérêt académique d’un tel projet, ces cours constitueront également une opportunité, pour les étudiants belges et japonais, de perfectionner leurs connaissances en anglais dans le domaine de la médecine vétérinaire

Les bourses ASEM-DUO permettent d’effectuer des échanges équitables entre des établissements d’Europe et d’Asie. Cette année, la Belgique offrait des bourses à un total de neuf binômes d’académiques, qui ont ainsi l’opportunité de mener un projet dans l’institution de leur partenaire. En Fédération Wallonie-Bruxelles, trois doubles programmes d’échange pourront ainsi être menés dans les universités, un dans une haute école et deux dans les écoles supérieures des arts.

 

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17.12.2018 - Troisième Journée de la recherche en Fédération Wallonie-Bruxelles

Soumis par Anonyme (non vérifié) le

Vous êtes doctorant, doctorante, jeune docteur ou docteure diplômé·e depuis moins de trois ans d'un établissement d'enseignement supérieur de la Fédération Wallonie-Bruxelles ? Vos travaux abordent la question des discriminations et se rapportent à l’un des domaines de compétence de la Fédération ? Proposez votre contribution dans le cadre de la troisième édition de la Journée de la recherche en Fédération Wallonie-Bruxelles et remportez peut-être l'un des deux prix, d'une valeur de 3 000 euros, qui récompenseront les meilleures communications.

La Fédération Wallonie-Bruxelles organise le 17 décembre 2018 la troisième édition de sa Journée de la recherche.

L'objectif consiste à renforcer le dialogue entre les milieux de la recherche et les centres d'activités de l'Administration qui poursuivent une mission d'études ou de recherche.

Cette année, la Fédération a souhaité souligner l'importance de favoriser l’épanouissement de toutes et tous dans notre société complexe et hétérogène. La journée sera donc centrée sur des recherches qui abordent la question des discriminations au sens large et qui entrent en résonance avec les différents domaines de compétence de la Fédération Wallonie-Bruxelles.


Appel à communications

La Fédération Wallonie-Bruxelles invite les doctorants et doctorantes et les jeunes docteurs et docteures diplômés depuis moins de trois ans d’un établissement d’enseignement supérieur de la Fédération à partager une communication sur leur recherche dont l'objet doit être en lien avec la thématique ci-dessus et avec un(e) ou plusieurs des politiques et domaines de compétences de la Fédération, à savoir : l'audiovisuel ; la culture ; l'enfance, la jeunesse et l'aide à la jeunesse ; l'enseignement ; l'éducation non formelle, les maisons de justice ; le sport, l'architecture et la recherche scientifique.

Au terme de la journée, un jury scientifique décernera les "Prix de la Journée de la recherche", d’une valeur de 3 000 € chacun, qui récompenseront les meilleures communications, d'un doctorant ou d'une doctorante, d'une part, et d'un ou une jeune docteur·e, d'autre part. 


Qui ?

La Fédération Wallonie-Bruxelles

Quoi ?

Troisième édition de la Journée de la recherche en Fédération Wallonie-Bruxelles

Où ?

Au Palais des Académies
Rue Ducale 1
1000 Bruxelles

Quand ?

Le 17 décembre 2018

Comment participer ?

Les propositions de communication feront l’objet d’une sélection en deux étapes qui déterminera celles qui seront diffusées lors de la Journée de la recherche :

  • Une première phase sélectionnera les candidats et candidates sur la base d’un abstract de la proposition de communication et d’un formulaire de participation. Ces documents devront être envoyés par e-mail pour le 12 aout 2018 à 23h59.
  • Les candidats et candidates recevront un courrier électronique du jury le vendredi 24 aout, leur indiquant s’ils sont sélectionnés.
  • Lors de la deuxième phase, il sera demandé aux candidats et candidates retenus d’envoyer le texte complet de leur communication pour le 14 octobre 2018 au plus tard.

Les candidats et candidates retenus s’engagent à présenter leur communication le 17 décembre 2018. Le prix sera décerné parmi les communications présentées lors de la journée.


Pour plus de détails sur les modalités et les conditions de candidature (notamment les domaines de recherche éligibles et les critères d'évaluation), rendez-vous sur le site web de la Fédération Wallonie-Bruxelles.

 

EN SAVOIR + : http://www.federation-wallonie-bruxelles.be/?journee-de-la-recherche-2018

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Une quarantaine d'universités taïwanaises à la rencontre de leurs partenaires belges

Soumis par Anonyme (non vérifié) le

Près d’une quarantaine de représentants d’établissements d’enseignement supérieur taïwanais, dont les présidents de neuf universités, sont à Bruxelles ces 11 et 12 juillet pour rencontrer leurs homologues belges, francophones et flamands. L’objectif pour nos établissements ? Renforcer leurs collaborations académiques et scientifiques avec les universités taïwanaises, qui comptent parmi les meilleures d’Asie.

 

La coopération académique et scientifique entre Taïwan et la Belgique peut encore certainement s'intensifier, notamment dans des domaines de recherche et d’innovation d’intérêt commun, tels que l’intelligence artificielle, les nanotechnologies ou encore les biotechnologies.


Depuis plusieurs années déjà, dans les établissements d’enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles, les regards se tournent de plus en plus vers Taïwan... Nos universités, hautes écoles et écoles supérieures des arts y ont multiplié les partenariats, essentiellement sous la forme de projets conjoints de recherche ou encore dans l’organisation de la mobilité étudiante. Mais cette coopération académique et scientifique peut encore certainement s'intensifier, notamment dans des domaines de recherche et d’innovation d’intérêt commun, tels que l’intelligence artificielle, les nanotechnologies ou encore les biotechnologies.

Au cours des derniers mois et à la demande des établissements, l’ARES a multiplié dans cette optique les contacts avec la représentation diplomatique de Taipei à Bruxelles, ainsi qu'avec la Foundation for International Cooperation in Higher Education of Taiwan, l’organisation taïwanaise en charge de la coopération internationale dans l’enseignement supérieur.

C’est à la suite de ces contacts répétés que l’ARES accueille, les 11 et 12 juillet 2018, une quarantaine de représentants d’universités taïwanaises pour une soirée de réseautage et une matinée de travail.

Au cours de cette matinée, les partenaires taïwanais et belges discuteront de leurs projets existants et en développement, mais aussi des enjeux spécifiques de l’internationalisation, comme le développement de programmes d’études conjoints, l’internationalisation "à domicile" ou encore de leur expérience des collaborations entre enseignement supérieur et industrie.

 

L’enseignement supérieur au cœur du développement économique, social, culturel et démocratique de Taïwan

Si les élites intellectuelles taïwanaises, principalement formées aux États-Unis, ont largement contribué au succès économique et social de l’île au sortir de la Seconde Guerre mondiale, elles ont très rapidement compris le rôle essentiel de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation et donc la nécessité d’investir dans ces secteurs pour poursuivre l’essor de Taïwan à long terme.

 

Plus de 13 milliards d’euros injectés dans le recherche et l’innovation.


Aujourd’hui, le gouvernement taïwanais consacre 2,1% du PIB à l’enseignement supérieur et, grâce à une politique volontariste à l’international, il a permis à ses plus grandes universités de devenir des leaders régionaux en Asie. De la même manière, le gouvernement investit massivement dans la recherche et l’innovation : ainsi en 2015, plus de 13 milliards d’euros ont été injectés dans le recherche et l’innovation.

 

Un système d’enseignement supérieur en pleine expansion et…

Le système d’enseignement supérieur taïwanais compte plus de 150 institutions dans lesquelles plus de 1,3 million d’étudiants sont inscrits dans un programme d’études supérieures. Malgré une taille de 5 à 6 fois supérieure à celle du paysage de l’enseignement supérieur de la Fédération Wallonie-Bruxelles, les deux systèmes partagent certaines caractéristiques – notamment dans l’organisation des études, la place des sciences humaines et sociales, la proportion assez élevée de doctorants, le caractère binaire avec des établissements et programmes plus professionnalisant et d’autres plus académiques.

 

Un plan de financement pluriannuel visant à aider les meilleures universités taïwanaises à acquérir une véritable stature internationale avec plus de 220 millions d’euros chaque année.

 

… tourné vers l’international

Sous l’impulsion des pouvoirs publics à nouveau, l’internationalisation des institutions taïwanaises s’est fortement renforcée au cours des 10 dernières années. Dès 2006, le gouvernement taïwanais développe un plan de financement pluriannuel visant à aider les meilleures universités taïwanaises à acquérir une véritable stature internationale. Chaque année, ce sont ainsi plus de 220 millions d’euros qui sont alloués – de manière concurrentielle – aux 12 meilleures universités de l’île. Et bien que les classements internationaux restent un indicateur très discutable, force est de constater que Taïwan est aujourd'hui le second pays asiatique avec le plus d’institutions reprises dans les principaux rankings.

 

Un mobilité étudiante assez limitée : 10 % d'étudiants étrangers et seulement 5 % de mobilité sortante.

 

Des défis persistants

Pourtant, à Taïwan, malgré cette volonté d’ouverture internationale, la mobilité étudiante (entrante et sortante) reste assez limitée. En moyenne, les institutions accueillent environ 10 % d’étudiants étrangers – essentiellement de la République populaire de Chine et des pays du Sud-est asiatique – et quelque 5 % des étudiants optent pour une mobilité vers l’étranger.

Le système d’enseignement supérieur taïwanais demeure, d'autre part, assez élitiste – du fait notamment d’un concours général d’admission à l’enseignement supérieur. Il est aussi très concurrentiel entre institutions, un trait de caractère qui explique, entre autre, une multiplication des opérateurs privés, qui représentent un important défi en termes de qualité de l’offre de formation.

 

#HigherEdBETW2018

La rencontre des 11 et 12 juillet à Bruxelles constitue une occasion unique pour les dirigeants des établissements taïwanais et belges de renforcer leurs collaborations. La matinée de travail sera l’occasion de mieux comprendre les réalités et les défis de chaque système d’enseignement supérieur, de mettre en évidence des projets existants de collaboration et de discuter sur des thématiques d’intérêt commun.

 

Offrir une image complète de l’excellence académique et scientifique que l’on retrouve en Fédération Wallonie-Bruxelles et en Flandre.

 

« À l’international, conclut Julien Nicaise, administrateur, l’ARES doit être un facilitateur des collaborations développées et mises en œuvre par nos établissements. Je suis donc ravi de voir que les contacts que nous avons noués avec FICHET, notre organisation-sœur à Taïwan, ont permis de faire venir les présidents et les représentants des plus prestigieuses universités taïwanaises. Je suis aussi heureux que nous ayons pu associer nos partenaires flamands, via le VLHUR, de manière à offrir une image complète de l’excellence académique et scientifique que l’on retrouve en Fédération Wallonie-Bruxelles et en Flandre. »

 

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La recherche et la formation, enjeux fondamentaux de la coopération académique au développement

Soumis par Anonyme (non vérifié) le

Entre 2008 et 2014, l’expertise académique de la Belgique francophone et celle de 17 pays partenaires du « Sud » a contribué, conjointement, à répondre aux besoins d’un monde en mouvement. Cette publication présente une photographie de 24 projets de recherche et de formation pour le développement soutenus par l’Académie de recherche et d’enseignement supérieur (ARES) en Afrique subsaharienne, en Amérique latine et Caraïbes, en Asie et en Afrique du Nord.

Où qu’ils soient dans le monde, les établissements d’enseignement supérieur jouent un rôle majeur pour nos sociétés. Laboratoires d’idées innovantes, transmetteurs de savoirs complexes, ils cultivent des compétences de haut niveau et produisent l’expertise et le recul critique nécessaires à une gestion autonome et équilibrée des transformations technologiques, économiques, sociales, ou encore culturelles de leur environnement direct comme de la planète tout entière.

 

Renforcer le capital humain pour mieux préparer l’avenir

Dans les pays du « Sud », l’enseignement et la recherche sur des problématiques clés du développement renforcent ce capital humain de plus en plus essentiel. Ils valorisent aussi les ressources naturelles et les richesses culturelles d’un pays ou d’une région, pour mieux préparer l’avenir, mieux avancer vers demain. Ils contribuent à l’émergence de solutions innovantes, par exemple en matière d’environnement, de santé, d’alimentation, d’éducation… Ils favorisent, en définitive, les conditions d’une société inclusive, démocratique, durable et portée vers le bien-être de chacun.

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Accompagner les universités partenaires dans l’exercice de leurs trois missions fondamentales

En tant que partenaire reconnu de la Coopération belge, qui finance ces interventions, l’ARES fédère chercheurs, professeurs, techniciens ou agents administratifs autour d’un même objectif : soutenir les établissements d’enseignement supérieur des pays du Sud dans l’exercice de leurs trois missions fondamentales – la formation, la recherche et les services à la société – et les accompagner pour réaliser leur considérable potentiel. Chaque année, cette expertise est sollicitée pour préparer et mettre en œuvre des initiatives de recherche et de formation utiles aux établissements du Sud comme aux pays partenaires.

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Un impact à mesurer sur le moyen et long terme

En Belgique, l’enseignement supérieur et la recherche scientifique figurent parmi les acteurs non gouvernementaux les plus importants sur lesquels les autorités fédérales peuvent compter en matière de coopération au développement. Cette publication traduit la richesse de la coopération académique dont l’impact se mesure sur le moyen et le long terme.

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Regroupées au sein de l’ARES, les universités, hautes écoles et écoles supérieures des arts francophones du pays conjuguent leurs forces avec celles de leurs partenaires du Sud pour répondre à nos défis communs sous la forme de programmes de bourses, de projets de recherche collaborative, de formation ou encore d’appui institutionnel de longue durée.

 

EN SAVOIR + : consultez la publication et découvrez l’ensemble des projets multidisciplinaires mis en œuvre dans les pays partenaires.

 

Pour toute information concernant ce rapport de résultats, contactez l'équipe PRD-PFS : prd-pfs@ares-ac.be

 

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