Documents et outils
La page « Documents et outils » de l'ARES vous permet de rechercher et d'accéder facilement aux documents, médias et outils essentiels liés à l'enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles.
Comment optimiser votre recherche ? Indiquez un ou plusieurs mots-clés, puis affinez les résultats à l'aide des filtres (ou inversement) OU utilisez les guillemets pour chercher une expression exacte.
Il est possible de réinitialiser la recherche en supprimant les critères de filtres.
8 résultat(s)
8 résultat(s)
Guide de montage d'un PRD-PFS
Ce guide s'adresse aux personnes candidates de projets désireuses de participer à un appel à PRD/PFS de l’ARES et vise à leur fournir les outils méthodologiques nécessaires pour concevoir et formuler des projets de coopération académique au développement efficaces et alignés sur les priorités locales.
Projets de recherche pour le développement et de formation Sud 2026
Appel à projets de recherche et de formation Sud 2026
/ Appel à projets
L'appel à projets de recherche et de formation sud est clôturé depuis le 11 avril 2025. Vous pouvez consulter les documents relatifs à cet appel à titre informatif.
Qui peut soumettre un projet et quel est le partenariat minimum ?
Le projet doit être déposé par une personne membre d’un établissement d’enseignement supérieur (EES) en Fédération Wallonie-Bruxelles (FWB) et habilitée par celui-ci à coordonner le projet avec, au moins, un ou une partenaire dans un autre EES en FWB et un ou une partenaire d’un établissement d’enseignement supérieur d’un pays de la liste ci-dessous.
Chaque personne coordinatrice de projet en FWB ne peut soumettre qu’un projet par appel.
Pays éligibles ?
Carte des 18 pays partenaires de projets de l'ARES
- En Afrique: Bénin, Burkina Faso, Burundi, Cameroun, RD Congo, Madagascar, Maroc, Niger, Rwanda, Sénégal.
- En Amérique du Sud et Caraïbes: Bolivie, Cuba, Équateur, Haïti, Pérou.
- En Asie du Sud-Est : Cambodge, Philippines, Vietnam.
Durée ?
3 ou 5 ans.
Budget ?
- Maximum 350 000 € pour les projets de 3 ans.
- Maximum 500 000 € pour les projets de 5 ans.
Détails de l'appel
Télécharger le document d'appel.
Comment soumettre un projet ?
- Le dépôt d’un projet se fait en ligne via la plateforme GIRAF.
- Pas encore de compte GIRAF? Créer un compte.
- Le lien de création d’un formulaire de préprojet est communiqué par la personne de contact pour la coopération de l’établissement dont est issue la personne coordinatrice du projet. Le formulaire doit être ouvert par la personne coordonnatrice FWB de la proposition.
- Date limite pour la création d’un formulaire de préprojet via ce lien : vendredi 28 mars 2025 à midi.
- Guide GIRAF du candidat.
Les propositions de préprojets doivent inclure :
- Les données du projet (fiche d’identification), les coordonnées des personnes coordonnatrices et partenaires et le résumé du projet, à fournir via le formulaire GIRAF.
- Le formulaire de proposition de projet complété.
- Le canevas du budget indicatif complété.
- Les CV des personnes coordonnatrices et partenaires.
- Pour les projets en lien avec un projet PRD ou PFS précédent, le rapport d’autoévaluation de cette intervention.
Ces documents seront téléchargés en pdf via GIRAF.
Critères de sélection
- Qualité scientifique et pédagogique.
- Pertinence au développement.
- Qualité de la stratégie d’intervention.
- Articulation avec les stratégies locales et autres activités de coopération.
- Adéquation de la ventilation budgétaire proposée à la stratégie d’intervention.
Procédure de sélection
- Vérification de la recevabilité administrative.
- Analyse par un comité d’expertise externe sur la base des critères de sélection.
- Avis de la Direction générale de la coopération au développement (DGD) et des missions diplomatiques.
- Analyse et sélection par le Bureau de la Commission de la coopération internationale.
Seules les propositions de préprojet sélectionnées pourront faire l’objet d’une proposition de projet complet.
Calendrier synthétique
13 janvier 2025 : Diffusion de l'appel à préprojet
11 avril 2025 à midi : Clôture et dépôt des préprojets sur GIRAF
18 avril 2025 à midi : Validation des propositions dans GIRAF par les EES
Septembre 2025 : Sélection des préprojets
16 octobre 2025 : Réunion d’information sur la formulation pour les préprojets sélectionnés
Mi-octobre 2025 - début février 2026 : Formulation des projets complets
2 février 2026 à midi : Soumission des projets complets
Mars 2026 : Approbation des projets complets par la Commission de la coopération internationale
Avril 2026 : Approbation des projets complets par le Conseil d'administration de l’ARES
Septembre-décembre 2026 : Démarrage des projets
Documents de référence
- Vademecum et guide des mobilités.
- Liste des pays éligibles.
- Liste des Objectifs de développement durable (ODD).
- Calendrier détaillé.
- Liste des annexes.
- CSC thématiques et géographiques.
- Liste des activités de l'ARES en cours.
- Grille d'analyse des préprojets.
- Guide de montage de projet.
Tutoriel sur le montage d'un PRD-PFS
EN SAVOIR + : contactez l’équipe via l'adresse prd-pfs@ares-ac.be.
Research projects and training projects for the South 2026
Call for research and training projects 2026
/ Call for projects
The call for research and training projects is closed since 11 April 2025. You can consult the documents relating to this call for information.
Who can submit a proposal and what is the minimum partnership?
The project must be submitted by a member of a higher education institution (HEI) in the Wallonia-Brussels Federation (WBF) and empowered by this HEI to coordinate the project, with at least one partner in another HEI in WBF and one partner of an HEI from a country included in the list below.
Every WBF coordinator can only submit one project per call.
Eligible countries?
Carte des 18 pays partenaires de projets de l'ARES
- In Africa: Benin, Burkina Faso, Burundi, Cameroon, DR Congo, Madagascar, Morocco, Niger, Rwanda, Senegal.
- In South America and Caribe: Bolivia, Cuba, Ecuador, Haiti, Peru
- In South-East Asia: Cambodia, Philippines, Vietnam.
Duration?
3 or 5 years.
Budget?
- Maximum 350 000 € for 3-year projects.
- Maximum 500 000 € for 5-year projects.
Call details
Download the call document.
How to submit a project?
- The project must be submitted online via GIRAF.
- You don’t have a GIRAF account? Create an account.
- The link to created a preproject form is provided by the contact person for cooperation of the HEI from which the project coordinator comes. The form must be opened by the WBF coordinator of the project proposal.
- Deadline to create a preproject form through the link: Friday 28 March 2025 at midday.
- GIRAF guide for the candidate (only in French).
Preproject proposals must include:
- The project data (identification sheet), the contact details of coordinators and partners and the project summary, to be provided through the GIRAF form.
- The project proposal form, duly filled.
- The indicative budget canevas, duly filled.
- CVs of coordinators and partners.
- For projects linked to a previous RPD or TPS project, the self-evaluation report of that project.
These documents will be uploaded in pdf through GIRAF.
Selection criteria
- Scientific and pedagogical quality.
- Relevance to development.
- Quality of the intervention strategy.
- Connection with local strategies and other cooperation activities.
- Adequacy of budget breakdown to the proposed intervention strategy.
Selection process
- Verification of the administrative admissibility.
- Analysis by a committee of external experts based on the selection criteria.
- Opinion of the General Direction for Development cooperation (DGD) and diplomatic missions in eligible countries.
- Analysis and selection by the bureau of the International Cooperation Commission (ICC).
The pre-project proposals that are selected will be the only ones eligible to submit a full project proposal.
Synthetic calendar
13 January 2025: Launch of the call for preprojects
11 April 2025 at midday: Close of the call and submission of the proposals through GIRAF
18 April 2025 at midday: Validation of the proposals in GIRAF by higher education institutions (HEI)
September 2025: Selection of preprojects
16 October 2025: Information meeting on formulation, for selected preprojects
Mid-October 2025 - beginning of February 2026: Formulation of full projects
2 February 2026 at midday: Submission of full projects
March 2026: Validation of full projects – approval by the ICC
April 2026: Approval of full projects by the executive board of ARES
September-December 2026: Start-up of projects
Reference documents
- Vademecum and mobility guide.
- List of eligible countries.
- List of Sustainable Development Goals (SDG).
- Detailed calendar.
- List of annexes.
- Thematic JSFs and geographical JSFs.
- List of on-going ARES activities.
- Pre-project evaluation grid.
- Project elaboration guide.
RPD-TPS assembly tutorial
More information : contact the team via prd-pfs@ares-ac.be.
Répondre aux besoins d'un monde en mouvement
Ce rapport présente une photographie de 24 projets de recherche et de formation pour le développement soutenus par l’ARES en Afrique subsaharienne pour moitié, en Amérique latine et Caraïbes, en Asie et en Afrique du Nord.
Vade-mecum
Vade-mecum unique pour les projets académiques de la coopération de l'ARES
L’expertise académique belge reconnue à Madagascar pour ses retombées scientifiques et sociétales
Vanille, concombre de mer, algue marine : saviez-vous que des chercheurs des universités francophones excellent dans le développement de ces produits qui font la réputation de Madagascar ? Une mission diplomatique conduite par l’Ambassadeur de Belgique en a fait la découverte du 18 au 22 novembre 2018. Tour d’horizon des projets de recherche et de formation menés actuellement par les académiques belges dans cette île de l’Océan Indien.
Le concombre de mer, star des tables asiatiques
Le concombre de mer… Un mets totalement inconnu en Belgique, mais dont raffolent des milliards de Chinois ! À Tuléar, au sud-ouest de Madagascar, Igor Eeckhaut, enseignant-chercheur en biologie marine de l’Université de Mons (UMONS) a fait de son projet de recherche sur les holothuries - le nom scientifique des concombres de mer - une success story scientifique et économique.
Progressivement mises en place depuis 1998, ses recherches ont finalement débouché sur la création d’une ferme aquacole dédiée à la croissance des concombres tout en permettant aux pêcheurs de la région de diversifier leurs revenus. Le potentiel économique des holothuries et l’existence d’un marché en Asie ont également permis la création de la société Indian Ocean Trepang (IOT), l’un des opérateurs majeurs au niveau mondial. Au final, ces concombres reconnus pour leurs multiples vertus se vendent à plus de 1000 $ le kilo sur le marché chinois. Ils ont aussi permis la reconnaissance des chercheurs malgaches, parmi les meilleurs au monde dans ce secteur.
{source}
<iframe width="560" height="315" src="https://www.youtube.com/embed/wvmF4fbuP4k" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe>
{/source}
La vanille, tout faire pour conserver le leadership mondial
Tout au nord de l’île, dans la région de Sambava et d’Antalaha, c’est à une autre ressource emblématique que s’intéresse l’enseignant-chercheur de l’Université libre de Bruxelles (ULB), Mondher El Jaziri : la vanille. Leader mondial incontesté pendant de nombreuses années, Madagascar doit faire face aujourd’hui à plusieurs menaces qui touchent le secteur : concurrence d’autres pays producteurs, vanilline de synthèse, sensibilité des vanilliers aux changements climatiques et, enfin, manque crucial de compétences scientifiques requises localement pour garantir une exploitation raisonnée et de qualité. Pour y remédier, Mondher El Jaziri et ses collègues malgaches mettent en place un réseau de compétences scientifiques dans la filière de production pour garantir une exploitation durable et de qualité, afin que la région de la Sava conserve son titre de « capitale de la vanille Bourbon ».

Plant de vanille dans la région de Sambava à Madagascar © Alexander_N/Shutterstock.com
Une île victime du dérèglement climatique
C’est aussi dans cette même région de la Sava que l’Université catholique de Louvain (UCLouvain) intervient à Madagascar. La zone est fortement exposée aux risques hydriques et leurs conséquences aux niveaux sociétal, économique et écologique sont une menace pour les populations locales. Crues, inondations, cyclones violents, glissements de terrain s’y succèdent, entrainant la perte d’une biodiversité exceptionnelle. Pour faire face à ces nombreux défis, le projet du chercheur Marnik Vanclooster propose de renforcer les capacités des acteurs académiques du Centre universitaire régional de la Sava (CURSA) et de ses partenaires dans le domaine de la gestion intégrée des ressources en eau.

Région de la Sava, au Nord-Est de Madagascar © Marnik Vanclooster

Région de la Sava, au Nord-Est de Madagascar © Marnik Vanclooster
L'écotourisme, une niche économique à valoriser
Autre secteur qui retient l’attention du monde académique francophone, le tourisme. Madagascar fait partie des pays à haut potentiel touristique. Dotée d’une faune et d’une flore exceptionnelles, l’île n’accueille toutefois qu’un nombre assez marginal de touristes, entre 200 et 300 000 visiteurs par an.
Le pays fait aussi face à une pénurie de personnel qualifié, notamment dans le domaine de l’écotourisme, secteur touristique sensible à la protection de l’environnement et au bienêtre des populations locales. Le projet de master en écotourisme, soutenu par l’Université de Mons et mis en œuvre par l’Université de Tuléar, est une réponse aux diverses lacunes constatées dans la formation. Il prévoit de former 25 étudiants par an pour répondre aux besoins de plus en plus exigeants des tours opérateurs, des hôtels, de sociétés privées, des ONG spécialisées ou encore de certains ministères. La formation inclut des modules sur le tourisme, l’écologie, la biodiversité marine et terrestre et le management. Sans oublier l’apprentissage de plusieurs langues en vue de satisfaire la clientèle internationale.
{source}
<iframe width="560" height="315" src="https://www.youtube.com/embed/e_bSJqXn2UQ" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe>
{/source}
Cette variété d’interventions proposées par les universités francophones de Belgique a marqué la mission diplomatique, conduite du 18 au 22 novembre 2018 par l’Ambassadeur de Belgique, Nicolas Nihon. À Tuléar, en visitant l'Institut halieutique et des sciences marines, en découvrant la réputation du concombre de mer ou en constatant l’impact de ces projets sur le développement de Madagascar, il s’est réjoui du rayonnement international des chercheurs belges et a salué la pertinence d’une coopération académique, même dans les contextes fragiles.
{source}
<iframe width="560" height="315" src="https://www.youtube.com/embed/05uSHVUHVeo" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe>
{/source}
L’arachide à Madagascar, une filière prometteuse mais fragile
L’ARES, l’Université d’Antananarivo et Louvain Coopération organisent les 23 et 24 avril 2018 à Antananarivo un atelier de réflexion sur le développement de la filière « arachide ». Par le biais d’un regard scientifique et technique, l’atelier visera à mieux positionner l’arachide face aux enjeux locaux, internationaux et environnementaux.
L’arachide… Nous la consommons nature, salée, caramélisée, en confiserie, en sauce ou encore sous forme d’huile. Les animaux préfèrent ses résidus transformés en tourteaux. L’un de ses principaux pays de production est Madagascar, où elle constitue la première culture oléagineuse. En termes de surfaces cultivées – plus ou moins 5 % –, elle se situe loin derrière le riz (50 %), le manioc (25 %) et le maïs (10 %), mais la demande locale et internationale augmentant, producteurs locaux et investisseurs s’y intéressent de plus près. La Chine notamment…
Située à l’ouest de Madagascar, la région du Menabe considère, depuis plusieurs années, l’arachide comme une filière très porteuse. Environ 15 000 tonnes de la variété très prisée « voanjo marakely » y ont été récoltées lors de la saison 2016. Générant pas moins de 35 000 emplois directs et indirects, la graine constitue désormais un « ingrédient » majeur de la vie socioéconomique locale. Véritable vedette locale, l’arachide a désormais son festival, organisé chaque année à Belo-sur-Tsiribihina. L’objectif ? La dynamisation et la promotion de la filière.
Comment répondre aux difficultés rencontrées par la filière ?
En dépit de ces potentialités, les producteurs locaux rencontrent diverses difficultés qui les empêchent d’en tirer pleinement les bénéfices et, in fine, des revenus adéquats. « Les faibles compétences techniques des agriculteurs, l’absence d’organisations professionnelles fonctionnelles et viables, un environnement économique et logistique fragile, ainsi que l’absence d’une règlementation spécifique nationale sur la production de l’arachide sont autant de freins au développement harmonieux de la filière », explique Jean-Patrick Masquelier, directeur national à Madagascar pour l’ONG Louvain Coopération, très active dans cette région de l’île pour améliorer la sécurité alimentaire et économique des communautés locales. Face à de tels constats, leurs responsables ont souhaité faire appel à l’expertise académique malgache et belge pour réfléchir aux enjeux techniques, agronomiques, économiques et écologiques posés par le développement de l’arachide dans le Menabe.
Une vision complémentaire pour aborder les enjeux locaux et internationaux
L’ARES a donc mobilisé son partenaire local, l’Université d’Antananarivo, mais aussi les ressources scientifiques des établissements d’enseignements supérieurs de la Fédération Wallonie Bruxelles pour organiser un atelier dont le thème central est « L’arachide dans les systèmes de production et pratiques agroécologiques ». « Pendant deux jours, précise Ravaka Andrianaivotseheno de l’Université d’Antananarivo, des experts universitaires, des chercheurs, des économistes, des sociologues, mais aussi des acteurs de terrain et des responsables du ministère de l’Agriculture et du ministère du Commerce et de la Consommation vont se pencher sur des questions très précises : quelles sont les possibilités de développement de l’arachide afin qu’elle apporte croissance économique et développement humain ? comment maximiser les profits de cette culture sans dégrader l’environnement ? Quelle est la place des organisations paysannes ? quelle est la mission de l’État malgache pour dynamiser la filière tout en l’encadrant ? »
À terme, les recommandations issues de cette réflexion associant académiques, praticiens et techniciens permettront d’apporter des solutions scientifiques, techniques, mais aussi institutionnelles pour le développement de la filière « arachide » à Madagascar tout en étant vigilant aux enjeux locaux et internationaux.
L’organisation de cet atelier et la collaboration entre l’ARES, l’Université d’Antananarivo et Louvain Coopération témoignent de l’intérêt que représente pour l’ensemble des parties prenantes la complémentarité des expertises dans le cadre des programmes de coopération financés par la Belgique à Madagascar.
EN SAVOIR + : pour en savoir plus, consultez le programme de l’atelier.
L’Atelier « L’arachide dans les systèmes de production et pratiques agroécologiques » est une initiative menée en synergie par les acteurs de la coopération non gouvernementale belge et leurs partenaires malgaches, avec le soutien de la Coopération belge au développement.
Université d’Antananarivo 23 et 24 avril 2018
Contact :
Ravaka Andrianaivotseheno
Université d’Antananarivo
ravaka_vola@yahoo.com