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Documents et outils

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26 résultat(s)

FORUM / Enseignement supérieur inclusif : réflexion... Action !

Soumis par Anonyme (non vérifié) le

Aujourd’hui, les universités, les hautes écoles et les écoles supérieures des arts de la Fédération Wallonie-Bruxelles se mobilisent pour répondre au mieux au décret sur l’enseignement supérieur inclusif et pour s’inscrire dans le cadre de la Convention des Nations unies relative aux droits des personnes handicapées.

L'enseignement supérieur inclusif ne peut, par ailleurs, se concevoir sans prendre en considération les contextes plus larges dans lesquels les établissements d’enseignement supérieur s’inscrivent. Une approche globale envisageant les multiples interdépendances entre les lieux de formation et les diverses composantes de la vie sociale parait donc aujourd'hui essentielle.

Comment un établissement d’enseignement supérieur peut-il/doit-il (re)définir ses modalités d’accueil, envisager d’adapter ses espaces et ses stratégies pédagogiques afin de permettre un parcours sans rupture de l’enseignement secondaire à l'enseignement supérieur, et vers la vie active et citoyenne ?

Le forum "Enseignement supérieur inclusif : réflexion... Action !" ambitionne de dégager, à partir des débats articulés autour de cinq tables-rondes, des propositions concrètes prenant en compte une approche multidimensionnelle de la question :

  • Comment aménager la transition secondaire-supérieur ?
  • Comment concevoir des aménagements rencontrant les besoins de chacun·e ?
  • Comment rendre les enseignements accessibles à chacun·e ?
  • Comment préparer les étudiant·e·s à besoins spécifiques à la vie citoyenne et professionnelle ?
  • Comprendre et agir : table-ronde qui fera la synthèse des propositions en présence de divers mandataires politiques et de représentants d’établissements d’enseignement supérieur.

 

Qui ?

Le Centre d'études et de formation pour l'éducation spécialisée et inclusive (CEFES-In) et l'ULB

 

Quoi ?

Forum : "Enseignement supérieur inclusif : réflexion... Action !"

 

Quand ?

Le vendredi 27 octobre 2017, de 8h30 à 17h00

 

Où ?

Université libre de Bruxelles
Auditoire Dupréel
Avenue Jeanne 44, 1er étage
1050 Bruxelles

 

Inscriptions ?

La participation au forum est gratuite mais l'inscription est obligatoire

 

EN SAVOIR + : consultez le programme du forum

 

Bruxelles
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Vers un enseignement supérieur inclusif. Boîte à outils des étudiants en situation de handicap

Soumis par Anonyme (non vérifié) le

Loin de se cantonner à une approche juridique de cette thématique, les organisateurs de cette après-midi ont souhaité ménager une large place aux expériences vécues par différents acteurs, qu’il s’agisse d’Unia (le Centre interfédéral pour l’égalité des chances), des services d’administration de l’enseignement de l’ULB et de l’USL-B ou encore d’étudiants à besoins spécifiques ayant suivi une formation universitaire.

L'objectif de cette après-midi est tout autant d’identifier d’éventuelles difficultés dans la mise en œuvre de la législation que de mutualiser les « bonnes pratiques ».

Dans cette perspective, il sera également rendu compte d’une expérience pilote, à savoir l’élaboration d’un code de conduite par l’Equality Law Clinic de l’ULB.

L’après-midi d’études sera clôturée par des conclusions générales présentées en duo par un philosophe et un juriste.

 

Qui ?

L'Université Saint-Louis-Bruxelles et l'Université libre de Bruxelles 

Quoi ?

Après-midi d'études sur l'enseignement supérieur inclusif à destination des étudiants en situation de handicap

Quand ?

Le 27 avril 2017 de 13h30 à 18h

Où ?

Université Saint-Louis-Bruxelles - Auditoire 301
(3e étage, accessible pour les personnes à mobilité réduite)
109, rue du Marais
1000 Bruxelles

Inscriptions ?

L’inscription est gratuite mais obligatoire. Elle se fait par email auprès de Gaëlle Hoogsteyn - gaelle.hoogsteyn@usaintlouis.be

Elle comprend la participation à l’après-midi d’études, la pause café et le cocktail.

 

EN SAVOIR + : consultez le programme de l'après-midi.

 

Bruxelles
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Assurer aux étudiants en situation de handicap un accès aux études supérieures : une question d’équité

Soumis par Anonyme (non vérifié) le

Jusqu’à l’adoption du décret relatif à l’enseignement supérieur inclusif, en décembre 2013, la Fédération Wallonie-Bruxelles ne disposait pas d’un cadre légal assurant aux étudiants dits « en situation de handicap » un accès équitable aux études supérieures. Avant le décret, c’était « la débrouille au quotidien », du « coup par coup », même si la bonne volonté y était…

Le cadre légal harmonisé met tous les étudiants sur un pied d’égalité

L’absence de cadre légal ne signifie pas qu’aucun établissement n’avait mis en place des dispositions permettant d’en prendre. Les mesures étaient laissées à l’initiative de chacun. Le décret a donc créé un cadre contraignant, harmonisé et applicable à toutes les institutions, tout en valorisant les initiatives existantes.

La FWB a ainsi appliqué les dispositions découlant des obligations et recommandations internationales (ONU, UE, etc.) auxquelles la Belgique a souscrit. Elles préconisent d’offrir une éducation inclusive apportant à ces étudiants une aide personnalisée, c’est-à-dire adaptée à leurs besoins individuels, tout au long de leurs études.

« Aujourd’hui, nous explique Loïc Sauvage, doctorant en Sciences politiques et sociales de l’ULg, le cadre est beaucoup plus structuré, plus coordonné, et on le sent dans la prise en charge : il y a moins de tâtonnements. Pourtant, il y a encore un grand effort à faire si l’on compare notre situation à celle d’autres pays, par exemple du Royaume-Uni, dont on pourrait s’inspirer ».

« Ce cadre modifie la perception que l’on a de la personne handicapée »

Nicole Bardaxoglou, présidente de la Commission de l’enseignement inclusif (CESI, installée au sein de l’ARES) confirme que « le cadre légal a le mérite de mettre tous les étudiants sur un pied d’égalité. Tous les établissements d’enseignement supérieur ont maintenant un cadre de référence un peu contraignant, mais, surtout, en dehors de la contrainte, ce cadre modifie la perception que l’on a de la personne handicapée et sensibilise à avoir une société inclusive de manière générale ».

 

L’enseignement inclusif, qu’est-ce que c’est ?

L’enseignement inclusif est un enseignement qui met en œuvre des dispositifs réduisant ou supprimant les barrières aux études rencontrées par des étudiants, ceci afin de leur permettre de trouver leur place dans la société. Ces barrières peuvent être matérielles, pédagogiques, culturelles, sociales et psychologiques.

Les dispositifs doivent être non seulement intégrés à la gestion administrative et logistique des établissements, mais également à leur projet pédagogique, de sorte que l’enseignement inclusif et la participation à une société non discriminante, participative et ouverte à tous en fassent pleinement partie.

 

Qui peut en bénéficier ?

Les bénéficiaires directs du nouveau cadre légal sont des étudiants présentant une « déficience avérée, un trouble spécifique d’apprentissage ou une maladie invalidante » qui les empêchent de participer pleinement à la vie académique. Il peut s’agir de personnes à mobilité réduite, d’étudiants qui éprouvent des troubles sensoriels (audition ou vue par exemple), des troubles psychiques (TOC) ou des troubles de l’apprentissage tels que la dyslexie, la dysorthographie ou la dyscalculie. Ce dernier groupe de personnes constitue d’ailleurs la majorité des bénéficiaires.

« Cette préoccupation n’est pas encore suffisamment présente à l’esprit »

Même s’il admet avoir suivi des études quasi identiques à celles des autres étudiants, Loïc Sauvage relativise la « participation pleine et entière à la vie académique » : « Même si les étudiants sont énormément aidés, on ne peut pas dire qu’ils sont autonomes au point de pouvoir participer à toutes les activités. Je prends l’exemple de ce cours qui, dix minutes avant de débuter, est déplacé dans un amphithéâtre avec des marches à franchir. On n’avait pas pensé à cette difficulté car cette préoccupation n’est pas encore suffisamment présente à l’esprit. D’où l’importance de la sensibilisation qui permet de prendre en compte nos difficultés pratico-pratiques de la vie de tous les jours ».

 

Concrètement, quels sont les aménagements ?

Les aménagements qualifiés de « raisonnables » dont bénéficient les étudiants sont d’ordre pédagogique, culturel, matériel ou social. Ils consistent en mesures concrètes neutralisant un environnement inadapté à la personne bénéficiaire, par exemple, un temps supplémentaire accordé aux étudiants dyslexiques, l’organisation de cours dans une salle située au rez-de-chaussée, la prise de note ou la relecture autorisée par un accompagnateur, la traduction en langue de signes ou en braille, ou encore l’utilisation d’un logiciel spécifique.

« Lorsque je suis arrivé à l’université, explique Mehdi Sauvage, bachelier ingénieur civil à l’ULg, les choses se sont mise en place très naturellement, sans que jamais je ne me sente mis à l’écart ou discriminé de quelque façon que ce soit. Ma situation a évolué positivement et j’ai toujours obtenu toutes les aides pratiques nécessaires. Néanmoins, il reste des améliorations à apporter et des difficultés qui peuvent être indépendantes de la bonne volonté des responsables, par exemple des difficultés liées aux bâtiments mêmes. Les informations sur ceux-ci doivent être glanées au fur et à mesure et sont d’ailleurs différentes selon les handicaps. »

 

Comment ces dispositions personnalisées sont-elles définies ?

Lorsqu’un étudiant introduit une demande d’aménagement « raisonnable » – car c’est à lui qu’il incombe de la formuler –, ses besoins spécifiques sont analysés par le service d’accueil et d’accompagnement de l’établissement.

Un plan d’accompagnement individualisé, élément essentiel du dispositif, est élaboré de façon concertée. Une convention est établie avec un étudiant accompagnateur, dans le respect d’une charte, convention qui peut être annexée à ce plan d’accompagnement, afin de définir les devoirs et les modalités de collaboration.

Le service d’accueil et d’accompagnement des établissements doit également mener des actions d’information et de sensibilisation à destination de l’ensemble de sa communauté afin de promouvoir une politique inclusive favorisant le respect et la solidarité.

« Ce qui est visé avant tout c’est l’autonomie de l’étudiant »

L’étudiant accompagnateur, qui doit suivre une formation spécifique ou valoriser une compétence utile en la matière, aide l’étudiant bénéficiaire et facilite sa participation à la vie académique. « Pour aider à la réussite, précise Nicole Bardaxoglou, l’étudiant accompagnateur doit avoir à la fois une proximité et une sensibilité au handicap, mais aussi la distance nécessaire pour ne pas "faire à la place de", sachant que ce qui est visé avant tout c’est l’autonomie de l’étudiant en situation de handicap qui doit aussi avoir son réseau d’amis pour favoriser une intégration sociale se mettant en place naturellement ».

 

La CESI : réfléchir à une vision sociétale plus holistique du handicap

Créée en juin 2015, la mission principale de la CESI – Commission de l’enseignement inclusif – est de coordonner la politique d’enseignement supérieur inclusif en FWB, de veiller à ce que les étudiants bénéficiaires reçoivent, dans tous les établissements d’enseignement supérieur, un traitement égal et harmonisé. Son secrétariat est assuré par l’ARES.

La CESI a également une mission d’information et de promotion de l’enseignement inclusif auprès de l’opinion publique, d’inventaire et de diffusion de bonnes pratiques et d’élaboration d’un outil statistique propre à l’enseignement supérieur inclusif.

Nicole Bardaxoglou, présidente de la CESI, souligne à quel point la sensibilisation au quotidien est importante : « Il est fondamental d’arriver à ce que la société en général favorise le vivre ensemble malgré la différence. Il est nécessaire de réfléchir de manière plus fondamentale au modèle de handicap que nous souhaitons voir se développer dans le futur en FWB, car nous sommes encore dans un modèle médical centré sur l’incapacité plutôt que sur une vision holistique du handicap. »

 

Liens utiles :

Le décret relatif à l’enseignement supérieur inclusif du 30 janvier 2014 (publication au MB le 9 avril 2014)
La page « enseignement inclusif » du site web de l’ARES

 

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Les bibliothèques des établissements d’enseignement supérieur désormais accessibles à tous les étudiants de la FWB

Soumis par Anonyme (non vérifié) le

Les collections et les services proposés par les bibliothèques des établissements d’enseignement supérieur de la Fédération Wallonie-Bruxelles seront désormais accessibles à tous les étudiants et membres du personnel du supérieur, quel que soit leur établissement d’origine. Universités, hautes écoles, écoles supérieures des arts et promotion sociale : les quatre formes d’enseignement supérieur participent. Elles mutualisent l’accès aux collections et services de plus d’une centaine de bibliothèques et centre documentaires.

Dès cette année académique, les étudiants, enseignants, chercheurs et membres du personnel des 6 universités, 19 hautes écoles, 16 écoles supérieures des arts et 86 établissements d’enseignement supérieur de promotion sociale de la Fédération Wallonie-Bruxelles auront accès à toutes les bibliothèques dépendant de l’un ou l’autre de ces établissements.

Portée par l’Académie de recherche et d’enseignement supérieur (ARES), l’initiative prend la forme d’une convention qui consacre le principe d’égalité des droits entre les usagers des différentes institutions en termes d’accès aux bibliothèques.

Avec cette nouvelle collaboration menée à l’échelle de la Fédération, l’ARES et les établissements des quatre formes d’enseignement supérieur concrétisent leur volonté de maximiser l’accès aux ressources documentaires.

Pour Paul Thirion, directeur des bibliothèques de l’Université de Liège et président de la Commission des bibliothèques et des services académiques collectifs de l’ARES, « optimiser l’utilisation des ressources documentaires en mutualisant l'accès aux bibliothèques et à leurs collections et services représente une avancée importante pour les étudiants et le personnel, et, plus généralement, pour la qualité de notre enseignement et de notre recherche ».

Concrètement, en présentant sa carte d’étudiant ou de membre du personnel, l’utilisateur pourra accéder gratuitement à l’ensemble des bibliothèques des établissements signataires. Seul le cout de fabrication de la carte d’accès pourra lui être réclamé. Le service de prêt lui sera aussi accessible, avec la possibilité, pour la bibliothèque « hôte », de restreindre malgré tout certaines modalités telles que la durée ou le nombre d’ouvrages empruntables simultanément.

« Le projet qui aboutit aujourd’hui démontre la volonté d'ouverture et de collaboration des bibliothèques afin de permettre à tous ces usagers d'accéder à une information la plus large et la plus complète possible », précise Paul Thirion.

Outre le principe de partage de ressources, la convention prévoit aussi, selon les possibilités techniques de chacune des bibliothèques, l’échange des chiffres relatifs à l’inscription des usagers « externes » et à leur usage des services offerts, notamment leurs statistiques d’emprunt.

L’initiative constitue un exemple concret de la mission générale que poursuit l’ARES de promouvoir les collaborations et les mises en commun entre établissements d’enseignement supérieur. La convention entrera en application dès cette année, pour une durée indéterminée.

 

 

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SOIRÉE HOW TO / ILIB Afterwork 2016

Soumis par Anonyme (non vérifié) le

Le colloque ILIB15 « Former aux compétences informationnelles à l’heure du Web 2.0 et des discovery tools » (Gembloux, 18 mai 2015) a rencontré un franc succès et brassé des expériences particulièrement riches, relayées dans les actes (voir : http://hdl.handle.net/2268/186578).

Les échanges lors du colloque et l’enquête de satisfaction ont révélé que nombre de participants étaient en demande d’outils concrets pour développer des formations documentaires de qualité.

Dans cette optique, le Groupe de travail ILIB (CBS-ARES) a décidé d’organiser une soirée « afterwork » sur le modèle d’une « foire aux idées » centrée sur les outils et supports de formation. Le principe est que chaque participant puisse passer d’un stand à un autre en fonction de ses intérêts. Sur chaque stand, des intervenants rassemblés en binôme présenteront et échangeront autour de leurs idées, outils, projets en cours et expériences de formation.

Cette soirée se déroulera à la Bibliothèque – learning center des sciences et technologies de l’UCL le mardi 1er mars 2016 de 18h à 21h

EN SAVOIR + : http://ilib.be/Wordpress/index.php/2015/12/12/soiree-how-to/

Louvain-la-Neuve
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