Documents et outils
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Podcast IMMERSION / Les pratiques artistiques au cœur des nouveaux équilibres Nord-Sud
Dans cet épisode, l’ARES revient sur le BE WELCOME DAY 2025, le grand rendez-vous annuel des boursières et boursiers de la coopération internationale. Nous y explorons le rôle des pratiques artistiques dans la compréhension des enjeux de société et l’émergence de nouveaux imaginaires. Portés par des intervenant·es aux parcours variés, les échanges ont révélé la puissance transformatrice de la création.
Un grand merci à :
Actualisation du « Guide pour l’inclusion des personnes trans dans l’enseignement supérieur »
En cette journée internationale du souvenir trans, la Direction de l'Égalité des Chances (DEC) du Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles et l’ARES publient une version actualisée du « Guide pour l’inclusion des personnes trans dans l’enseignement supérieur ». Cette initiative s’inscrit dans la volonté de promouvoir un enseignement supérieur inclusif, respectueux des diversités et garant des droits de toutes et tous.
Ce guide vise à favoriser un accueil adapté et cohérent des personnes trans* tout au long de leur parcours académique. Il s’adresse donc tant au personnel enseignant, administratif qu’à la communauté étudiante des quatre formes d’enseignement supérieur.
L’enseignement est un droit fondamental, mais de nombreux obstacles persistent pour les personnes trans*. Ce guide propose dès lors des éclairages essentiels sur la diversité des genres, le cadre légal belge, ainsi que des outils concrets et des bonnes pratiques pour les établissements. Il informe également les personnes trans* sur leurs droits dans les démarches qu’elles peuvent être amenées à entreprendre durant leurs études.
Le guide comprend notamment un lexique introductif facilitant la compréhension des notions abordées, et des ressources utiles sont proposées en fin de document, notamment les coordonnées d’associations et d’institutions spécialisées. Enfin, le guide propose également des recommandations concrètes destinées aux établissements, afin d’œuvrer à un environnement académique plus inclusif.
« Ce guide actualisé est un levier pour rendre l’enseignement supérieur réellement inclusif à toutes et tous. En donnant aux établissements des outils concrets pour accueillir les personnes trans*, nous affirmons que la diversité est une richesse et que l’inclusion doit se traduire dans les faits. »
Le terme « trans* » est utilisé comme terme coupole, englobant toute personne dont le parcours implique un éloignement de son genre assigné à la naissance. Autrement dit, une personne trans* n'est pas illégitime dans son identité si elle n'a pas fait des opérations ou des démarches administratives officielles. Ce qui importe, comme prescrit par la législation et rappelé par le guide, c'est le respect de son genre intimement vécu.
Un concours créatif pour illustrer le guide
Le Ministre de l’Égalité des chances, Yves Coppieters, a financé un concours pour illustrer la nouvelle version du guide. Organisé par la DEC et l’ARES, celui-ci s’adressait à l’ensemble de la communauté étudiante en enseignement supérieur et avait pour but d’imager la nouvelle version du guide à travers 10 illustrations.
Ce concours, ouvert du 14 avril au 30 mai 2025, a permis de décerner un prix de 100 euros par illustration. Un jury, composé de la DEC, de l’ARES et des membres de la Commission genre en enseignement supérieur de l’ARES, a évalué les candidatures reçues. Justine Van Lancker (École de Recherche Graphique), a remporté 7 illustrations, tandis que Karam Jaridi (UNamur) en a remporté 4. La onzième ayant été financée par le Comité Femmes et Sciences, également à hauteur de 100 euros.
Où se procurer ce guide ?
En le téléchargeant : www.egalite.cfwb.be et www.ares-ac.be
Sur simple demande par mail ou téléphone : egalite@cfwb.be / 0800 20 000
Qui économise aujourd’hui sur la coopération académique n’économise pas sur les dépenses, mais sur notre avenir
Les budgets consacrés à la coopération au développement sont soumis à de fortes pressions, en Belgique aussi. Maintenant que la Flandre met fin à son soutien, il est crucial que la Belgique maintienne son engagement. Une économie aujourd’hui affaiblit demain notre position et notre influence stratégiques.
Le savoir comme capital stratégique
La Belgique ne possède ni pétrole ni gaz, mais elle dispose d’institutions d’enseignement supérieur de niveau mondial. Le savoir est notre ressource la plus précieuse. À travers le VLIR-UOS, l’ARES et l’Institut de Médecine Tropicale, les établissements belges d’enseignement supérieur collaborent à la recherche de solutions pour la santé, le climat et la stabilité dans le monde entier. Ce faisant, ils renforcent non seulement les universités locales, mais aussi la capacité belge en matière d’enseignement, de recherche et d’innovation.
La sécurité grâce au savoir, à la confiance et aux réseaux
La coopération académique – un volet souvent oublié de la « coopération au développement » belge – relie des personnes, des institutions et des pays par le biais du savoir, de valeurs communes, de la confiance et de l’innovation. Elle crée des réseaux durables et apporte des solutions innovantes aux grands défis, sur lesquels les relations politiques, diplomatiques et économiques peuvent s’appuyer. Elle contribue ainsi à la prévention, à la sécurité et à la prospérité.
En partageant la connaissance, en renforçant les institutions locales et en construisant des réseaux durables, nos établissements aident à prévenir à l’échelle mondiale des tensions qui, autrement, se transformeraient en crises migratoires ou sécuritaires ayant également un impact en Belgique.
Elle crée de la confiance là où la politique échoue parfois, et pose, à travers ses réseaux, les bases d’une compréhension mutuelle et d’un monde plus sûr et plus prospère.
Outre un grand impact local — comme l’accès à des connaissances uniques, à l’innovation et à la stabilité —, la coopération académique procure aussi à la Belgique des avantages stratégiques : un « soft power » diplomatique grâce à des réseaux avec de futures et futurs dirigeants et entrepreneurs du monde entier, ainsi qu’un retour économique. Chaque euro investi dans la coopération académique renforce à la fois les capacités locales et notre propre force d’innovation, notre résilience et notre influence.
Intérêt à court terme ou affaiblissement stratégique ?
Dans un monde marqué par les tensions, la pression migratoire, le changement climatique et les menaces cybernétiques, la Belgique ne peut se permettre l’isolement international. Notre sécurité, nos valeurs et notre prospérité exigent une stratégie intégrée où la défense, la diplomatie et la coopération au développement se renforcent mutuellement. La coopération au développement est un instrument crucial qui favorise le savoir, la stabilité, l’influence et la prospérité — à l’échelle mondiale, mais aussi pour la Belgique elle-même.
Une diplomatie intelligente
L’un de nos plus grands atouts est le réseau mondial des anciennes et anciens étudiants de nos établissements d’enseignement supérieur. Beaucoup d’entre eux occupent aujourd’hui des postes clés dans les gouvernements, les universités et les entreprises de pays partenaires, et sont des passeurs pour notre diplomatie, nos entreprises et nos valeurs.
Prenons Éric Kalala, diplômé de l’UCLouvain, aujourd’hui CEO d’Entreprise Générale du Cobalt en République démocratique du Congo, entrepreneur influent en Afrique centrale. Il coordonne l’exploitation des minéraux critiques, essentiels à la transition énergétique et à l’industrie, tant en Afrique qu’en Belgique et en Europe.
Ou encore Kora Tushune, docteur en formation à l’UGent, actuellement secrétaire d’État à l’Enseignement supérieur en Éthiopie. Grâce à ses excellents liens avec les universitaires flamands, il est un partenaire fiable et un bâtisseur de ponts, même en temps de conflit.
Coopération et innovation : des bénéfices pour toutes et tous
À Dakar, des chercheurs de l’UCLouvain, de la KU Leuven et de l’UGent développent et produisent des vaccins de haute technologie contre des virus comme le MPox, qui nous menacent également. Ces collaborations représentent un investissement stratégique dans une économie du savoir partagée, générant des réseaux de recherche, des politiques publiques renforcées et des spin-offs avec des entreprises.
Dans la forêt tropicale congolaise, des chercheures et chercheurs belges et locaux, à l’aide de la tour de flux de l’UGent à Yangambi, mesurent les échanges de CO₂, d’eau et d’énergie entre la forêt et l’atmosphère. Leurs données montrent que cette forêt absorbe toujours plus de CO₂ qu’elle n’en émet — un service climatique naturel qui ralentit le réchauffement. Grâce à cette coopération académique, la Belgique accède à des données climatiques uniques, renforce sa position scientifique et diplomatique dans les négociations internationales, et contribue à protéger un écosystème bénéfique aussi à notre propre climat.
Des étudiant·es et enseignant·es de l’AP Hogeschool ont construit en Ouganda, avec une université locale, un instrument de mesure permettant de suivre le climat et de prévoir les inondations. La prochaine étape y intégrera l’intelligence artificielle. Ce projet pourrait devenir un système d’alerte précoce capable de sauver des vies à grande échelle – en Ouganda et dans d’autres régions vulnérables comme Madagascar et Haïti, où des chercheures et chercheurs de l’UCLouvain développent un système similaire. Cette technologie pourrait d’ailleurs aussi être utilisée en Belgique, où les « bombes d’eau » deviennent de plus en plus fréquentes. Des entreprises ougandaises et belges y voient déjà un intérêt.
Au Niger, l’UCLouvain renforce les capacités locales de gestion des conflits et de consolidation de la paix afin de promouvoir la stabilité dans la région sahélo-saharienne — une zone durement touchée par le terrorisme et les crises migratoires.
Les exemples donnés ne représentent qu’un échantillon du travail de recherche et d’enseignement organisé par les universités, les hautes écoles et écoles supérieures des arts belges, financé par la coopération belge au développement et mené avec leurs partenaires locaux. Dans un monde où les rapports de force évoluent, la Belgique ne peut se replier sur elle-même.
La coopération académique n’est pas une dépense, mais un investissement rentable — sur les plans géopolitique, social et économique. Celui qui désinvestit aujourd’hui rend la Belgique plus petite et moins influente.
La coopération académique avec le Sud global est un levier pour le savoir, la stabilité et l’influence — précisément les outils qui permettent à notre économie ouverte d’assurer sa place dans le monde. Il est temps de revoir la coopération au développement pour ce qu’elle est : un investissement — un investissement dans la sécurité, dans les opportunités pour nos jeunes, dans des relations durables et dans des solutions anticipées aux problèmes que nous ferions mieux de prévenir plutôt que de subir.
Tout le monde doit contribuer aux efforts d’économie à venir, y compris la coopération au développement. Mais une politique avisée regarde plus loin que le présent.
Celui qui réduit fortement aujourd’hui les budgets de la coopération au développement n’économise pas sur les dépenses, mais sur notre propre avenir.
Pr. Mieke Van Herreweghe, présidente du VLIR-UOS, et Pr. Éric Haubruge, président de la Commission de la Coopération internationale de l’ARES.
Qualité enseignement
Troisième édition de l’épreuve sur la maitrise approfondie de la langue française – élargissement aux sections 4 et 5
Réforme de la formation initiale des enseignants : la troisième édition de l’épreuve liminaire écrite portant sur la maitrise approfondie de la langue française en qualité d’émetteur et de récepteur en contexte professionnel (EMLF) aura lieu le mardi 21 octobre 2025 dans plusieurs établissements d’enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles. Les étudiantes et étudiants pourront s’y inscrire gratuitement, du 16 septembre au 7 octobre 2025, via une plateforme en ligne.
Qui est concerné ?
Elle est organisée pour :
- les sections 1 à 3 (futures enseignantes et futurs enseignants de la classe d’accueil à la 3e année du secondaire). Pour ces sections, l’épreuve est facultative et permet d’obtenir une dispense du cours de maitrise de la langue au programme de la première année d’études ;
- les sections 4 et 5 (futures enseignantes et futurs enseignants de la fin du secondaire). L’épreuve est ici obligatoire et liée à 5 crédits supplémentaires en cas d’échec.
Quelles sont les conditions de réussite ?
Pour réussir ce test, les étudiantes et étudiants doivent atteindre le niveau C1 du Cadre Européen Commun de Référence pour les Langues (CECRL). Deux compétences seront évaluées :
- analyser et résumer un texte écrit informatif ou argumentatif au niveau des contenus explicites et implicites.
- produire un texte écrit argumentatif en mettant en œuvre adéquatement un processus d’écriture, en ce compris les règles syntaxiques et orthographiques.
L'EMLF a donc pour objectif d'évaluer le niveau de maitrise de la langue française nécessaire pour enseigner. Si ce niveau n’est pas atteint, c’est le cours de maitrise de la langue qui permettra d’acquérir les compétences attendues.
Comment se préparer à l'épreuve ?
Les modalités académiques et les conditions de réussite sont définies au sein d’un programme détaillé rédigé par un jury composé de neuf membres représentant les établissements d’enseignement supérieur. Pour celles et ceux qui le souhaitent, il est d’ailleurs possible de se préparer à l’épreuve, par le biais des anciennes épreuves disponibles sur le site mesetudes.be.
Comment les résultats seront-ils communiqués ?
Chaque étudiante ou étudiant recevra personnellement le résultat de son épreuve au plus tard le mardi 2 décembre 2025 avec une mention de réussite ou de non-réussite. La grille d’évaluation reprenant les critères de réussite est mise à la disposition de l’étudiante ou de l’étudiant sur le site mesetudes.be à la suite des consignes de passation de l’épreuve.
Le concours d’entrée en médecine et dentisterie 2025 livre ses résultats
La troisième édition du concours d'entrée aux études en médecine et en dentisterie en Fédération Wallonie-Bruxelles a été délibérée par le Jury. Les taux de participation et les résultats de l’épreuve ont été définitivement établis et validés à cette occasion.
Sur les 6 674 inscriptions enregistrées pour l’épreuve du 28 août dernier, 5 294 ont fait l’objet d’une délibération. Au terme de celle-ci, 1 648 candidates et candidats ont été admis par le Jury, dont 1 462 en sciences médicales (219 personnes non-résidentes) et 186 en sciences dentaires (27 personnes non-résidentes). En termes de répartition hommes/femmes, cela représente 831 femmes en médecine pour 631 hommes, et 104 femmes en dentisterie pour 82 hommes. Par ailleurs, le jury a statué sur 1 cas de non-respect des consignes et a pris la décision d’annuler l’épreuve concernée.
Consulter le tableau détaillé.
Détails de l’épreuve
S’agissant d’un concours, il n’y a pas de cote d’exclusion ni de moyenne à atteindre. Tous les candidats et candidates classées en ordre utile ont donc l’opportunité de débuter des études de médecine ou de dentisterie. Le taux de personnes non-résidentes est lui plafonné à 15 % maximum du nombre total d’admissions.
L’épreuve comportait un total de 80 questions à choix multiples, réparties entre la matinée et l’après-midi sous la forme de deux séries de 40 questions. Celles-ci couvraient six matières : 4 matières scientifiques (chimie, biologie, physique, mathématiques), d’une part, et 2 matières relatives à la communication et à l’analyse critique de l’information (évaluation des capacités de raisonnement, évaluation de la capacité́ à communiquer), d’autre part.
Consulter le tableau reprenant les médianes et moyennes pour l'ensemble des candidat·es et par matière.
Résultats individuels
Les résultats individuels détaillés et les copies des examens peuvent être consultés en ligne par les candidates et candidats via leur compte en ligne. Les personnes admises peuvent y télécharger l’attestation d’admission qui leur permettra de finaliser leur inscription dans leur université.
Plus de 5200 candidates et candidats ont participé à la troisième édition du concours d’entrée en médecine et dentisterie
La troisième édition du concours d’entrée aux études en médecine et en dentisterie en Fédération Wallonie-Bruxelles s’est déroulée avec succès ce jeudi 28 août. Réunies dans 3 palais de Brussels Expo, un peu plus de 5200 personnes ont pris part à l’épreuve. Les résultats du concours seront rendus publics le 8 septembre.
Avec plus de 5200 présences effectives sur 6674 personnes attendues, le taux de participation s’élève à 79,3 %. Près de 21% de personnes inscrites ne se sont donc pas présentées. Ce taux est en hausse par rapport à l’an dernier (15 %). Parmi les participantes et participants, un peu plus de 916 avaient déjà tenté leur chance lors d’une édition précédente, représentant ainsi environ 17 % du total.
Cette année, un peu plus de 3600 personnes effectivement présentes sont résidentes, tandis que plus de 1660 sont non-résidentes. La participation est majoritairement féminine : plus de 3500 femmes contre environ 1750 hommes. Concernant le choix de filières, environ 4120 personnes souhaitent entamer des études en médecine, tandis qu’un peu plus de 1170 sont intéressées par la dentisterie.
Notons également qu’une centaine de personnes ont bénéficié d’un aménagement raisonnable accordé le Jury dans une optique inclusive, principalement sous la forme de temps supplémentaire pour répondre aux questions.
Puisqu’il s’agit d’un concours d’entrée, seuls les candidats et candidates classées en ordre utile pourront débuter des études de médecine (1 462 étudiant·es admissibles) ou de dentisterie (186 étudiant·es admissibles). Le taux de personnes non-résidentes est plafonné à 15 % maximum du nombre total, soit maximum 201 en médecine et maximum 26 en dentisterie.
L’épreuve comportait un total de 80 questions à choix multiple, réparties entre la matinée et l’après-midi sous la forme de deux séries de 40 questions. Celles-ci couvrent six matières : 4 matières scientifiques (chimie, biologie, physique, mathématiques), d’une part, et 2 matières relatives à la communication et à l’analyse critique de l’information (évaluation des capacités de raisonnement, évaluation de la capacité́ à communiquer), d’autre part.
Laurent Despy, administrateur de l’ARES, a tenu à exprimer sa reconnaissance : « Je tiens à saluer l’engagement des candidates et candidats, ainsi que le travail des équipes mobilisées pour garantir le bon déroulement de cette épreuve exigeante. Ensemble, nous mettons tout en œuvre pour assurer l’équité de traitement de l’ensemble des personnes participantes, notamment grâce l’organisation centralisée et au format d’épreuve sur papier. »
Les résultats individuels seront consultables en ligne par les candidates et candidats dès le samedi 6 septembre 2025 (rendus publics le 8 septembre), et les attestations d’admission directement téléchargeables.