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L’expertise académique belge reconnue à Madagascar pour ses retombées scientifiques et sociétales

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Vanille, concombre de mer, algue marine : saviez-vous que des chercheurs des universités francophones excellent dans le développement de ces produits qui font la réputation de Madagascar ? Une mission diplomatique conduite par l’Ambassadeur de Belgique en a fait la découverte du 18 au 22 novembre 2018. Tour d’horizon des projets de recherche et de formation menés actuellement par les académiques belges dans cette île de l’Océan Indien.

Le concombre de mer, star des tables asiatiques

Le concombre de mer… Un mets totalement inconnu en Belgique, mais dont raffolent des milliards de Chinois ! À Tuléar, au sud-ouest de Madagascar, Igor Eeckhaut, enseignant-chercheur en biologie marine de l’Université de Mons (UMONS) a fait de son projet de recherche sur les holothuries - le nom scientifique des concombres de mer - une success story scientifique et économique.

Progressivement mises en place depuis 1998, ses recherches ont finalement débouché sur la création d’une ferme aquacole dédiée à la croissance des concombres tout en permettant aux pêcheurs de la région de diversifier leurs revenus. Le potentiel économique des holothuries et l’existence d’un marché en Asie ont également permis la création de la société Indian Ocean Trepang (IOT), l’un des opérateurs majeurs au niveau mondial. Au final, ces concombres reconnus pour leurs multiples vertus se vendent à plus de 1000 $ le kilo sur le marché chinois. Ils ont aussi permis la reconnaissance des chercheurs malgaches, parmi les meilleurs au monde dans ce secteur.

 

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La vanille, tout faire pour conserver le leadership mondial

Tout au nord de l’île, dans la région de Sambava et d’Antalaha, c’est à une autre ressource emblématique que s’intéresse l’enseignant-chercheur de l’Université libre de Bruxelles (ULB), Mondher El Jaziri : la vanille. Leader mondial incontesté pendant de nombreuses années, Madagascar doit faire face aujourd’hui à plusieurs menaces qui touchent le secteur : concurrence d’autres pays producteurs, vanilline de synthèse, sensibilité des vanilliers aux changements climatiques et, enfin, manque crucial de compétences scientifiques requises localement pour garantir une exploitation raisonnée et de qualité. Pour y remédier, Mondher El Jaziri et ses collègues malgaches mettent en place un réseau de compétences scientifiques dans la filière de production pour garantir une exploitation durable et de qualité, afin que la région de la Sava conserve son titre de « capitale de la vanille Bourbon ».


actu mission diplomatique madagascar 2018 vanille

Plant de vanille dans la région de Sambava à Madagascar © Alexander_N/Shutterstock.com

 

Une île victime du dérèglement climatique

C’est aussi dans cette même région de la Sava que l’Université catholique de Louvain (UCLouvain) intervient à Madagascar. La zone est fortement exposée aux risques hydriques et leurs conséquences aux niveaux sociétal, économique et écologique sont une menace pour les populations locales. Crues, inondations, cyclones violents, glissements de terrain s’y succèdent, entrainant la perte d’une biodiversité exceptionnelle. Pour faire face à ces nombreux défis, le projet du chercheur Marnik Vanclooster propose de renforcer les capacités des acteurs académiques du Centre universitaire régional de la Sava (CURSA) et de ses partenaires dans le domaine de la gestion intégrée des ressources en eau.

 

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Région de la Sava, au Nord-Est de Madagascar © Marnik Vanclooster

 

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Région de la Sava, au Nord-Est de Madagascar © Marnik Vanclooster

 

L'écotourisme, une niche économique à valoriser

Autre secteur qui retient l’attention du monde académique francophone, le tourisme. Madagascar fait partie des pays à haut potentiel touristique. Dotée d’une faune et d’une flore exceptionnelles, l’île n’accueille toutefois qu’un nombre assez marginal de touristes, entre 200 et 300 000 visiteurs par an.

Le pays fait aussi face à une pénurie de personnel qualifié, notamment dans le domaine de l’écotourisme, secteur touristique sensible à la protection de l’environnement et au bienêtre des populations locales. Le projet de master en écotourisme, soutenu par l’Université de Mons et mis en œuvre par l’Université de Tuléar, est une réponse aux diverses lacunes constatées dans la formation. Il prévoit de former 25 étudiants par an pour répondre aux besoins de plus en plus exigeants des tours opérateurs, des hôtels, de sociétés privées, des ONG spécialisées ou encore de certains ministères. La formation inclut des modules sur le tourisme, l’écologie, la biodiversité marine et terrestre et le management. Sans oublier l’apprentissage de plusieurs langues en vue de satisfaire la clientèle internationale.

 

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Cette variété d’interventions proposées par les universités francophones de Belgique a marqué la mission diplomatique, conduite du 18 au 22 novembre 2018 par l’Ambassadeur de Belgique, Nicolas Nihon. À Tuléar, en visitant l'Institut halieutique et des sciences marines, en découvrant la réputation du concombre de mer ou en constatant l’impact de ces projets sur le développement de Madagascar, il s’est réjoui du rayonnement international des chercheurs belges et a salué la pertinence d’une coopération académique, même dans les contextes fragiles.

 

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Le rôle sociétal des établissements d’enseignement supérieur au cœur du volet académique de la visite d’État au Portugal

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Les recteurs de 5 universités et les autorités de l’ICHEC Brussels Management School, du F.R.S.-FNRS et de la Direction générale de l’enseignement supérieur, de l’enseignement tout au long de la vie et de la recherche scientifique du ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles (DGESVR) accompagneront les souverains et les ministres fédéraux, régionaux et communautaires, à l’occasion de la visite d’État au Portugal, qui se déroule du 22 au 24 octobre. Nos établissements aborderont avec leurs partenaires portugais leur rôle face aux défis sociétaux, notamment ceux liés au développement durable ou encore à l’accueil des réfugiés et des académiques en danger.

Grâce à l’appui de Wallonie-Bruxelles Campus et de l’ARES, une dizaine de représentants de nos établissements prendront part à la visite d’État au Portugal. Il s’agira d’une occasion unique de mettre en lumière les nombreuses collaborations existantes, mais également d’échanger sur de nouvelles perspectives de coopération académique et scientifique.

 

Un enseignement supérieur en évolution continue

Si le système de l’enseignement supérieur et de la recherche portugais présente encore aujourd’hui des performances généralement inférieures à celles moyennes de l’Union européenne et de l’OCDE, les politiques volontaristes des derniers gouvernements et l’engagement des institutions portugaises ont significativement modifié le paysage au cours des dernières années. À titre d’exemple, de 2007 à 2017, le taux de la population âgée de 25 à 34 ans et diplômée de l’enseignement supérieur est passé de 21 % à 34 % – démontrant la volonté de favoriser la formation au plus haut niveau des citoyens portugais.

La part du PIB consacré au secteur de l’éducation demeure plus élevée que la moyenne de l’OCDE – 5,2 % au Portugal, contre 5 % dans les pays de l’OCDE et 4,6 % dans les autres États membres. Par ailleurs, la baisse de l’investissement public dans l’enseignement observée au cours des dernières années s’explique non pas par un possible désengagement des autorités publiques, mais bien par la diminution de la population étudiante. Les dépenses publiques par étudiant ont même légèrement augmenté. Il est également intéressant de souligner qu’une partie importante de l’investissement dans l’enseignement supérieur est directement alloué à la recherche et au développement.

 

Une attractivité internationale auprès des pays lusophones

À l’instar de la majorité de pays de l’OCDE, la mobilité étudiante (entrante et sortante) a augmenté de manière significative au Portugal ces 10 dernières années. En 2016, les étudiants internationaux représentaient 6 % de la population étudiante. Plus du tiers de ces étudiants viennent du Brésil, d’Angola et du Cap-Vert et la majorité poursuivent des études doctorales. Le Royaume-Uni, l’Espagne et la France constituent les premières destinations des étudiants mobiles.

En 2016, le Gouvernement portugais prenait une résolution visant à renforcer l’internationalisation de l’enseignement supérieur et de la recherche. Celle-ci inclut des mesures spécifiques à la valorisation de la recherche, au renforcement de la diplomatie scientifique, au développement de programmes de bourses pour les étudiants étrangers, etc.

 

55 % des étudiants internationaux proviennent d’un pays lusophone, dont près de 75 % sont brésiliens

 

Des similarités mais une différence majeure


Avec un effectif étudiant un peu supérieur à celui de la Fédération Wallonie-Bruxelles (360 000 étudiants au au Portugal pour 220 000 en Fédération Wallonie-Bruxelles), les paysages respectifs de l’enseignement supérieur présentent de nombreuses similarités : système binaire avec des universités et des établissements plus professionnalisants dits « polytechniques », établissements privés subsidiés par les pouvoirs publics, structure en trois cycles, système d’assurance qualité axé sur les programmes, etc. Cependant, une différence majeure concerne l’accès à l’enseignement supérieur. Au Portugal, des examens d’entrée sont organisés pour l’accès à tout programme de premier cycle d’enseignement supérieur.

 

21% des étudiants portugais poursuivent leurs études dans le domaine des sciences de l’ingénieur et des sciences techniques, contre 12 % en Belgique et 14 % de moyenne pour les pays de l’OCDE.

 

#BELPORT2018

Le volet académique de cette visite d’État devrait permettre aux membres de la délégation académique d’être informés des derniers développements en matière d’enseignement supérieur et de recherche au Portugal, mais également d’échanger avec leurs partenaires des enjeux cruciaux pour notre société, tels que ceux liés au développement durable.

Ainsi, au cours d’une table ronde organisée à l’Université de Lisbonne, les membres de la délégation académique de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de la Flandre auront l’occasion de discuter avec leurs homologues portugais du rôle de l’enseignement supérieur comme moteur du développement durable. Il ne s’agira pas seulement d’échanger sur la contribution des établissements – de par leurs missions d’enseignement et de recherche –,  mais aussi sur la nécessité de faire des établissements des modèles d’organisation durable au sein de notre société. Le recteur de l’ULB et le vice-recteur de la KULeuven expliqueront les initiatives prises au sein de leur établissement en ce sens.

Cette activité fera certainement écho aux initiatives coordonnées par l’ARES en ce qui concerne le développement durable, notamment aux projets des 29 établissements sélectionnés dans le cadre de l’appel lancé en janvier 2018 par l’ARES.

 

Un riche programme académique « off »

Au début de la mission, la délégation académique se rendra au ministère portugais de l’enseignement supérieur où elle rencontrera le ministre qui leur présentera les récents développements au sein du paysage.


Les représentants de nos établissements rencontreront également les dirigeants la Plateforme globale pour les étudiants syriens, établie fin 2013 à l’initiative de l’ancien président du Portugal, Jorge Sampaio. Ce sera une nouvelle occasion d’échanger sur les initiatives prises par les établissements belges et portugais visant à faciliter l’accès des réfugiés à l’enseignement supérieur ou encore à soutenir les académiques et chercheurs en danger.

« Malgré la durée assez courte de la visite d’État au Portugal, souligne Julien Nicaise, administrateur de l’ARES, le programme – élaboré en étroite collaboration entre Wallonie-Bruxelles Campus et le VLHUR – est très riche. Il permettra une nouvelle fois à nos établissements de dépasser la dimension protocolaire inhérente de ce type de mission pour discuter avec leurs partenaires portugais de thématiques d’actualité et de grand intérêt pour l’enseignement supérieur de la Fédération Wallonie-Bruxelles. »

 

Composition de la délégation :

  • Prof. Vincent Blondel (recteur, UCLouvain)
  • Brigitte Chanoine (directrice-présidente, ICHEC)
  • Prof. Philippe Dubois (recteur, UMONS)
  • Prof. Yvon Englert (recteur, ULB)
  • Prof. Nadji Habra (recteur, UNamur)
  • Véronique Halloin (secrétaire générale, FNRS)
  • Prof. Pierre Jadoul (recteur, USL-B)
  • Chantal Kaufmann (directrice générale, DGESVR)
  • Cécile Liégeois (coordinatrice, WB Campus)
  • Loïc Lefèvre (WB Campus)
  • Yvon Molinghen (ULB)

 

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Internationalisation from both sides of the Atlantic: ARES hosts a networking meeting with a major US delegation

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Some 30 representatives of US higher education institutions attended this Thursday 18 October 2018 a networking event hosted by ARES to discuss, with their Belgian counterparts and several European organizations, the internationalisation of higher education and research in Europe, as well as the future of partnerships between the United States and European countries, including Belgium.

A delegation of representatives of US higher education institutions (HEIs) met their Belgian counterparts as well as representatives of European institutions and organisations on this 18 October at ARES. This delegation is present in Belgium as part of a European visit organised by the Fulbright commissions of France and Germany. At the heart of the discussions: the challenges of internationalisation with and within the European Union.


Perspectives of internationalisation on both sides of the Atlantic

Two discussions took place in this perspective, organised by ARES in collaboration with the Fulbright Commission Belgium-Luxembourg and the Vlaamse Universiteiten in Hogescholen Raad (VLUHR).

The first one was on European perspectives on the internationalisation of higher education. International relations specialists working in HEIs or for European organisations, including Judith le Maire, Professor at ULB and Chair of ARES’s International Relations Committee of ARES, her Flemish counterpart, Peter Lievens, and Lesley Wilson, Secretary General of the European University Association (EUA) spoke with an assembly of about thirty US representatives and Belgian, French- and Dutch-speaking academics. The diversity of the floor allowed inspiring exchanges regarding the prospects for internationalisation of teaching and research from both sides of the Atlantic.


Belgian-American success stories and European partnerships

The second discussion focused on successful higher education and research cooperation projects between US and Belgian institutions.

This networking event is only one step in the program of the delegation which will be in Belgium until 20 October. During their European tour, the US delegates will also have the opportunity to discuss partnerships opportunities in the European Union under European programs such as Horizon 2020 or Erasmus.


The Fullbright Program is the flagship international cultural and educational exchange program sponsored by the United States Government. Created in 1946, it is designed to enhance mutual understanding between the United States and partner countries around the globe. It is considered one of the most prestigious exchange programs in the world, involving more than 160 countries.

 

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L'internationalisation de part et d'autre de l'Atlantique : une importante délégation américaine à l'ARES pour renforcer les liens Europe - États-Unis

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Une trentaine de représentants d’établissements d’enseignement supérieur américains étaient à l’ARES ce 18 octobre 2018 pour évoquer, avec leurs homologues belges et plusieurs organisations européennes, l’internationalisation de l’enseignement supérieur et de la recherche en Europe, ainsi que l’avenir des partenariats entre les États-Unis et les pays européens, dont la Belgique.

Une délégation de représentants d’établissements d’enseignement supérieur américains rencontrait leurs homologues belges ainsi que des représentants d’institutions et d’associations européennes ce 18 octobre à l'ARES. Cette délégation est présente en Belgique dans le cadre d’une visite européenne organisée par les commissions Fulbright de France et d’Allemagne. Au coeur des discussions : les enjeux de l'internationalisation dans et avec l’Union européenne.

 

Perspectives d’internationalisation de part et d'autre de l'Atlantique

Deux discussions étaient organisées dans cette perspective, en collaboration avec la Commission Fulbright Belgique-Luxembourg et le Vlaamse Universiteiten en Hogescholen Raad (VLUHR).

La première portait sur les perspectives européennes d’internationalisation de l’enseignement supérieur. Le panel d’intervenants était constitué de spécialistes des relations internationales travaillant dans des établissements ou pour des organisations européennes, dont Judith le Maire, professeure à, l'ULB et présidente de la Commission des relations internationales de l’ARES, son homologue flamand, Peter Lievens, et Lesley Wilson, secrétaire générale de l'European University Association (EUA).

Ils ont interagi sur le sujet avec un parterre "mixte", composé d'une trentaine de représentants américains ainsi que d’académiques belges, francophones et néerlandophones. Une diversité qui a permis de mener des échanges passionnants sur les perspectives d’internationalisation de l’enseignement et de la recherche de part et d’autre de l’Atlantique.

 

Success stories belgo-américaines et partenariats européens

La deuxième discussion portait sur des projets de coopération entre  établissements américains et belges. Elle a permis de mettre en avant des collaborations fructueuses en matière d’enseignement supérieur et de recherche.

Mais cette journée de rencontre ne constitue qu’une étape dans le programme de la délégation. Celle-ci sera présente en Belgique jusqu’au 20 octobre. Au cours de leur séjour, les représentants auront également l’occasion de s’entretenir sur les possibilités de partenariats dans l’Union européenne dans le cadre de programmes européens tels qu’Horizon 2020 ou Erasmus.

 

Le Programme Fullbright est le programme phare d’échange culturel et éducatif international parrainé par le gouvernement des États-Unis. Il est conçu pour améliorer la compréhension mutuelle entre les États-Unis et les autres pays du globe. Il est considéré comme l'un des plus prestigieux programmes d'échange au monde, auquel participent plus de 160 pays.

 

 

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APPEL - Prix interrégional de la recherche en Grande Région : prolongation de la date de clôture de l'appel

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« Mettre à l'honneur la coopération scientifique » : tel est l'objectif du Prix interrégional de la recherche organisé par la Grande Région. Afin de permettre une participation la plus large possible, les organisateurs ont décidé de porter la date limite d'introduction des candidatures (initialement fixée au 15 octobre) au 5 novembre 2018.

La Grande Région couvre 5 régions réparties sur 4 pays : l'Allemagne (avec la Sarre et la Rhénanie-Palatinat), la France (avec la Lorraine), le Grand-Duché de Luxembourg et la Belgique (avec la Wallonie, la Fédération Wallonie-Bruxelles et la Communauté germanophone).

Au mois d'avril 2018, elle a lancé le Prix interrégional de la recherche. Destiné à mettre à l'honneur la coopération scientifique en Grande Région, ce prix est attribué à des réseaux de chercheurs travaillant au moins bilatéralement sur un thème d'intérêt transfrontalier dans le cadre de la Grande Région.

Initialement prévue au 15 octobre, la date limite pour l'introduction des candidatures a été portée au 5 novembre 2018.

Pour être éligible, les candidats doivent présenter un projet de recherche partenarial qui implique au moins deux laboratoires ou institutions de deux entités territoriales différentes de la Grande Région.

L'équipe à laquelle sera décerné le premier prix recevra une récompense de 35 000 €.

 

EN SAVOIR+ : téléchargez le règlement ainsi que le dossier de candidature

 

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APPEL - Coopération au développement : l'appel à projets de recherche et de formation 2020 ouvert

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Vous êtes membre permanent du corps académique ou scientifique d'un établissement d'enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles ou dans un pays en développement partenaire de l'ARES ? Vous souhaitez mettre sur pied un projet de recherche ou de formation répondant à une problématique de développement ou à un besoin en compétences identifié localement, en collaboration entre partenaires Nord et Sud ? L'ARES lance son appel à projets de recherche pour le développement et de formation Sud.

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L'ARES soutient des projets de recherche collaborative et des projets d'appui à ou de mise en place de formations, orientés développement et menés en partenariat entre les établissements d'enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles et les établissements de 18 pays de concentration.

Chaque année, elle lance un appel à Projets de recherche pour le développement (PRD) et Projets de formation Sud (PFS). Cet appel est destiné aux membres permanents des corps académique et/ou scientifique des établissements d'enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles et des établissements d'enseignement supérieur des pays du Sud (NB : les propositions doivent être introduites à l'ARES via l'établissement coordonnateur en Fédération Wallonie-Bruxelles).

Ouverture de l'appel : 15 octobre 2018.

Date limite pour l'introduction des propositions de préprojet : 3 janvier 2019 dans l'établissement d'enseignement supérieur du coodonnateur Nord.


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EN SAVOIR+ : consultez la page de l'appel sur le site de l'ARES (version française)

 

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Bourse ASEM-DUO : Rencontre avec Masami Miyake et Jacques Mainil, professeurs en médecine vétérinaire

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Masami Miyake et Jacques Mainil sont tous deux professeurs en médecine vétérinaire, l'un à Osaka et l'autre à Liège. Ils présentaient ce matin, à l'ARES, leur projet d’échange international entre le Japon et la Belgique pour lequel ils ont bénéficié d'une bourse de 5000 euros dans le cadre du programme ASEM-DUO, géré par l’ARES pour la Fédération Wallonie-Bruxelles. La bourse permettra notamment de financer leur transport et de participer aux frais liés à leurs séjours. 

Masami Miyake et Jacques Mainil sont tous les deux professeurs en médecine vétérinaire, respectivement à l’Université préfectorale d’Osaka et à l’ULiège. Ils effectuent des recherches sur des bactéries infectant des animaux et pouvant générer des intoxications alimentaires chez l’homme.

Masami Miyake arrivera en Belgique au mois de mars et enseignera pendant un mois à l’ULiège. L’occasion pour les étudiants belges d’en connaitre davantage sur des bactéries présentes au Japon, mais inconnues dans nos contrées. Jacques Mainil arrivera quant à lui en avril à Osaka. Il enseignera à l’Université préfectorale, pour permettre aux étudiants japonais de se familiariser avec les bactéries présentes en Belgique.

Au-delà de l’intérêt académique d’un tel projet, ces cours constitueront également une opportunité, pour les étudiants belges et japonais, de perfectionner leurs connaissances en anglais dans le domaine de la médecine vétérinaire

Les bourses ASEM-DUO permettent d’effectuer des échanges équitables entre des établissements d’Europe et d’Asie. Cette année, la Belgique offrait des bourses à un total de neuf binômes d’académiques, qui ont ainsi l’opportunité de mener un projet dans l’institution de leur partenaire. En Fédération Wallonie-Bruxelles, trois doubles programmes d’échange pourront ainsi être menés dans les universités, un dans une haute école et deux dans les écoles supérieures des arts.

 

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