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Visite ministérielle au Maroc : une délégation d’une quarantaine de représentants pour participer au premier Forum académique entre le Maroc et la Fédération Wallonie-Bruxelles

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Plus de 40 représentants du secteur de l’enseignement supérieur et de la recherche de la Fédération Wallonie-Bruxelles – parmi lesquels des recteurs, ainsi que des directeurs et directrices de hautes écoles et d’écoles supérieures des arts –  s’envolent ce mardi pour le Maroc où ils accompagnent le ministre Marcourt à l’occasion d’une visite de trois jours. Une opportunité de mettre en lumière les collaborations existantes, mais surtout d’envisager le futur de la coopération académique et scientifique avec le Maroc.

Une délégation de 46 personnes accompagne le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche Jean-Claude Marcourt dans sa visite ministérielle du 6 au 9 novembre au Maroc. Cette délégation compte dans ses rangs des représentants des six universités francophones, des directeurs et directrices de hautes écoles et des écoles supérieures des arts ainsi que des représentants de l’ARES et de WBI. Le Maroc est un partenaire important des institutions de la Fédération Wallonie-Bruxelles, notamment dans le cadre de projets financés par la Coopération belge au développement.

Le Maroc, un pays en rapide mutation

Troisième puissance économique d’Afrique du Nord, le Maroc a connu un des rythmes de croissance les plus élevés de la zone MENA (Moyen-Orient et Afrique du Nord). Son économie reste dominée par l’agriculture, mais il existe un potentiel de croissance élevé dans d’autres secteurs.

Au niveau de l’enseignement supérieur, le Maroc compte 13 universités et 28 établissements d’enseignement supérieur non universitaires. Par ailleurs 28 établissements privés reconnus par l’état ont également vu le jour pour répondre à une croissance du nombre d’étudiants. Ainsi, en 2017 le taux de scolarisation dans l’enseignement supérieur était d’environ 34% avec proportion plus ou moins égale en termes de genre. Par ailleurs l’enseignement supérieur est gratuit sauf pour les étudiants disposant de revenus élevés.

Au niveau de l’internationalisation des études, la Belgique est la dixième destination de prédilection des étudiants marocains. Ceux-ci sont de plus en plus nombreux à venir étudier en Belgique. Une tendance qui devrait se maintenir avec l’ouverture d’écoles secondaires belges à Casablanca et à Rabat dont les premiers diplômés sortiront en 2019.

Si les collaborations entre nos établissements et les partenaires marocains ont été développées notamment dans le cadre des activités de coopération au développement, la mutation du Maroc et de son système d’enseignement supérieur appelle à faire évoluer la coopération académique et scientifique. C’est donc dans une perspective de renforcement mutuel des capacités et de développement de réseaux conjoints d’académiques et de chercheurs issus du Maroc et de la Fédération Wallonie-Bruxelles, que nos établissements accompagneront le ministre à Rabat.

Trois « temps forts » dans un programme tourné vers l’avenir

Pour cette mission de trois jours, plus d’une dizaine d’activités sont prévues. Parmi celles-ci, trois « temps forts » baliseront le programme.

Le mercredi 7 novembre, un forum académique portant sur « les perspectives pour un partenariat renforcé et novateur » se tiendra en présence de Jean-Claude Marcourt et de son homologue marocain, Saaid Amzazi. Ce forum a pour objectif d’offrir un cadre de dialogue structuré pour discuter des perspectives de partenariats avec les établissements. Ainsi les participants pourront notamment s’informer sur les évolutions des paysages de l’enseignement supérieur des deux pays.

Le lendemain, une journée d’information sur le programme Erasmus+ mettra à l’honneur les établissements de la Fédération Wallonie-Bruxelles et l’utilisation du programme européen dans le développement de partenariat avec le Maroc. Cette matinée permettra également aux établissements marocains et de la FWB de se rencontrer pour envisager le développement de partenariats dans le cadre des programmes européens.

La journée se poursuivra par une table ronde sur les enjeux de la valorisation et du transfert technologique dans la coopération entre le Maroc et la Fédération Wallonie-Bruxelles. Le réseau de liaison Entreprises-Universités (LIEU), avec ses homologues français (CURIE) et québécois (les BLEU), a été à l’initiative d’une proposition de développer un Espace francophone de la valorisation, incluant les partenaires du Sud. Cette table ronde permettra donc de discuter avec les partenaires marocains de la réalisation de ce projet et d’envisager déjà des collaborations concrètes avec nos établissements.

« La large participation de nos établissements démontre l’opportunité unique qu’offre une visite ministérielle couplée d’un volet académique. De par la présence du ministre Marcourt, mais aussi grâce à l’appui de Wallonie-Bruxelles International au Maroc ainsi que l’excellente collaboration entre Wallonie-Bruxelles Campus et l’ARES, nous aurons l’occasion de rencontrer un éventail très diversifié de partenaires marocains. » se réjouit Julien Nicaise, administrateur de l’ARES. Il ajoute «  Si les établissements de la Fédération Wallonie-Bruxelles auront l’occasion de dialoguer avec leurs homologues marocains, l’ARES pourra également jouer pleinement son rôle de coordination et notamment favoriser l’émergence de nouveaux partenariats. »

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L'ARES publie son rapport d'activités 2016-2017

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L'ARES publie son troisième rapport d'activités : un panorama du travail accompli, des actions menées et des décisions ou positions prises durant l’année académique 2016-2017 au service de l’enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles.

À la fois exercice de reddition de compte, d’autoévaluation et de transparence, ce rapport 2016-2017 met l’accent sur les différentes formes que prend l’engagement des représentants du secteur, réunis au sein de l’ARES, pour l’avenir et pour le renforcement des missions de service public de l’enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles.


Du « local » à l’international

Des questions « locales » aux thèmes de société forts tels que l’avenir de l’enseignement ou la responsabilité sociétale, le rapport fait le point sur autant d'avancées collectives, dont le travail mené en termes de représentation et de visibilité internationales de notre enseignement supérieur.

Le rapport détaille notamment les synergies avec Wallonie-Bruxelles International dans le cadre des visites d’État ou des actions de promotion à l’étranger, et toutes les activités développées en soutien à une vision de l’internationalisation qui dépasse les questions d’attractivité.


Demain

Au-delà des 26 avis remis par l’ARES au Gouvernement sur les matières qui touchent à l’enseignement supérieur, le rapport revient aussi notamment sur le travail et les recommandations du Conseil d’orientation en matière d’offre d’enseignement ou sur les constats et les propositions du Collège d’experts pour « faire face aux défis de demain ».

Il dresse également un bilan des avancées engrangées en matière de gouvernance numérique et de pilotage statistique de l’enseignement supérieur, avec le projet e-paysage, et évoque la contribution apportée à d'autres grandes thématiques d’avenir comme la formation initiale des enseignants ou le refinancement de l’enseignement supérieur.


Accès et réussite

L’accès et la réussite ont également marqué 2016-2017.

En dehors du travail mené pour rendre notre enseignement supérieur toujours plus inclusif, l’année a été celle du lancement d’une vaste étude sur les conditions de réussite des étudiants de premier cycle, celle du premier test d’orientation pour les candidats aux études de vétérinaire et celle du premier examen d’entrée en médecine et dentisterie…


L’engagement

Enfin, le rapport fait aussi le point sur l’engagement de l’ARES et celui des établissements dans les pays du Sud, comme partenaires de la Coopération belge au développement. Il revient sur la contribution de l'institution à la question du rôle de l’enseignement supérieur face à la « crise » des réfugiés, à l’encouragement du développement durable sur les campus, ou encore aux questionnements que soulèvent les situations en Turquie, en Iran ou au Burundi.

Il met ainsi en lumière le rôle de l’ARES en matière de solidarité internationale et, plus largement, de responsabilité sociétale de l’enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles, et valorise la mission d’intérêt général collective que les établissements remplissent au quotidien à travers la recherche, la formation et le service à la société. 

 

Télécharger le rapport

Rapport d'activités 2016-2017. Septembre 2016 - septembre 2017. Bruxelles : ARES, juin 2018.

Un exemplaire papier peut être obtenu gratuitement, moyennant disponibilité, sur demande adressée à publications@ares-ac.be
 

 

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Regard sur 2015-2016... et au-delà : l'ARES publie son deuxième rapport d'activités

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Au terme d'une deuxième année académique marquée par l'entrée en vigueur du décret "Paysage", l'ARES publie son deuxième rapport d'activités. Regard sur 2015-2016... et au-delà.


Efficience, transparence et nouveau bilan

Au-delà des aspects budgétaires ou de ceux qui touchent à la consolidation de l’institution et de sa démarche d’efficience et de transparence, ce rapport dresse un bilan des travaux menés durant l’année académique 2015-2016.

Il détaille le rôle de soutien et de catalyseur que joue l'ARES pour et avec les établissements, au service de l’enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles, de son devenir et de son rôle dans la société.

 

Un rôle de catalyseur au service de l’avenir de l’enseignement supérieur

Avis et propositions en matière de politiques publiques, construction de l’offre d’enseignement, parcours et réussite des étudiants, relations internationales et internationalisation de l'enseignement supérieur – en partenariat avec Wallonie-Bruxelles Campus –, développements d’outils de pilotage et de statistique, et appui à la responsabilité sociétale des établissements en matière de développement durable, d’enseignement inclusif ou de coopération académique et scientifique avec les pays du Sud comme partenaire de de la Coopération belge au développement, etc. : le rapport fait le point sur les principaux enjeux de l'enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles et sur les plus-values que lui apporte le travail collectif des représentants du secteur, réunis au sein de l’ARES.

 

Les perspectives

En guise de conclusion, il met aussi l’accent sur quelques-unes des questions d’avenir sur lesquelles l'ARES continuera à travailler et à s’engager dans les années qui viennent : la poursuite du refinancement de l’enseignement supérieur, la formation et la valorisation des enseignants, l’avenir des formations médicales et paramédicales ou encore le renforcement de l’alternance dans l'enseignement supérieur.


 

Télécharger le rapport

Rapport d'activités 2015-2016. Septembre 2015 - septembre 2016. Bruxelles : ARES, janvier 2017.

Un exemplaire papier peut être obtenu gratuitement, moyennant disponibilité, sur demande adressée à publications@ares-ac.be

 

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Journées "Start-up & innovation" à l'Université Mohammed Premier : une initiative pour susciter l'envie auprès des jeunes étudiants d'entreprendre et de créer

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Dans le cadre de sa stratégie visant la promotion, la valorisation de l’innovation et la création d’emploi, l’Université Mohammed Premier (UMP) d’Oujda organise, du 9 au 11 novembre 2016 en collaboration avec l’ARES et le Conseil de la région de l’oriental, la 2e édition des « Start-up & innovation » au profit des jeunes étudiants et lauréats de l’UMP.

L’innovation est aujourd’hui l’un des facteurs essentiels du développement économique. Les entreprises, les institutions et les opérateurs de formation ont pris conscience de la nécessité d’intégrer, de développer et de commercialiser des technologies nouvelles et de gérer le changement.

L’innovation ne s’opère plus aujourd’hui selon un processus linéaire entre la recherche fondamentale et ses applications, mais au contraire implique des démarches itératives, une logique de transfert de technologie, un travail collaboratif entre différents acteurs, en particulier l’université et les entreprises.

Afin de gérer ces processus complexes, les besoins des entreprises évoluent, nécessitant des collaborations transversales entre différents domaines : la recherche et le développement, la production, la gestion de projet, le marketing, la finance, le commercial, la propriété industrielle, la veille technologique, la maitrise des processus de co-innovation, etc. La capacité à travailler en réseau, au sein de l’entreprise comme avec les partenaires universitaires, devient elle-même une compétence clé capable de procurer un avantage économique durable à l’entreprise.

Conscient des enjeux de l’innovation, l’UMP, en collaboration avec l’ARES et le Conseil de la région de l’oriental, organisent, pour la deuxième année consécutive, la « Start-up & innovation », dont l’objectif est de réunir des étudiants-chercheurs, des enseignants-chercheurs et des professionnels, afin de :

  • présenter les différents résultats scientifiques et travaux de recherche innovants réalisés par des chercheurs avec le secteur socioéconomique de la région ;
  • développer la stratégie de partenariat avec le secteur socioéconomique et les faire bénéficier des dernières avancées scientifiques à l’UMP ;
  • élaborer des projets communs, dont le but est d’encourager l’innovation et d'améliorer la compétitivité des entreprises ;
  • promouvoir la culture de l’innovation favorable au développement socioéconomique ;
  • encourager et accompagner la création de start-up à partir des projets innovants présentés au cours ces journées.

 

Des jeunes créatifs et entreprenants

Avec l’encadrement d'enseignants-chercheurs et acteurs socioprofessionnels de renommée, le défi à relever par les porteurs d’idées de projets est de créer une « ébauche » d’entreprise en 54 heures chrono. Porteurs d’idées innovantes, étudiants et professionnels ont donc rendez-vous sur le campus universitaire de transfert de technologies et d’expertise d’Oujda pour conjuguer leurs efforts et fédérer leurs savoir-faire afin de faire émerger de nouveaux projets entrepreneuriaux.

Pour le futur jeune entrepreneur, l'évènement est une opportunité unique pour débattre de son projet de création d’entreprise et surtout de l’enrichir par les conseils avisés des mentors dépêchés à l’occasion, le tout réalisé dans un esprit de groupe.

En marge de ces compétitions, des stands d’expositions et des animations scientifiques sont organisés. 

 

Le « Pitch fire », ou comment convaincre les investisseurs

Chaque porteur d’idée devra, en quelques minutes, présenter son projet pour convaincre, en fonction de ses besoins, les financiers, développeurs, responsables marketing, ingénieurs ou étudiants de rejoindre son groupe de travail. De l’étude de marché au business plan en passant par la stratégie de communication ou encore la réalisation de prototype, les équipes disposeront ensuite de 54 heures pour consolider un dossier viable.

L’événement sera couronné par le choix de trois projets qui seront subventionnés dans le cadre du partenariat avec le Conseil de la région de l’Oriental. Les lauréats bénéficieront également d’une bourse d’excellence, financée par la Coopération belge via l’ARES, pour réaliser un stage de recherche d’un mois en Belgique.

 

EN SAVOIR + : consultez le programme de ces journées.

 

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​Le premier centre public de PMA du Maroc rend la procréation médicalement assistée accessible à tous

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Le premier centre public de procréation médicalement assistée (PMA) du Maroc a été mis en place avec l’appui de l’ARES et de la Coopération belge dans le cadre d’un partenariat entre l’ULB et la faculté de médecine de l’Université de Rabat. Il a été inauguré le 20 mai 2016 au Centre hospitalier universitaire Ibn Sina (Rabat) en présence de l'Ambassadeur de Belgique et des partenaires scientifiques du projet : les Prof. Yvon Englert et Rachid Bezad. Le personnel marocain a été formé dans les centres de FIV de l'ULB (Hopital Érasme) et de l'ULg (Hopital de la Citadelle), qui a également soutenu le projet. Avec ce nouveau centre, le cout de la prise en charge de l’infertilité est diminué de 50 % et l’enseignement des techniques de PMA est désormais possible au Maroc.

L’infertilité du couple au Maroc est un problème de santé public réel. Il est d’autant plus difficile à surmonter en raison de ses aspects psychosociaux et d’une prise en charge jusqu’ici couteuse et réservée à une minorité aisée de la population.

Le centre permet aujourd’hui la prise en charge diagnostique et thérapeutique de l’infertilité, la diminution de la souffrance du couple touché et l’amélioration du statut de la femme infertile pour un cout réduit de moitié par rapport aux tarifs pratiqués par le privé et désormais accessible à tous.

Le projet a été largement soutenu par l’Université de Rabat, qui a financé sur fonds propres la construction du bâtiment. Les équipements ont été acquis sur le financement belge et la formation du personnel (médecins, biologistes, techniciens de laboratoire, personnel infirmier) menée en collaboration entre l’Hopital Érasme, l’Hopital de la Citadelle, le CHU Ibn Sina et leurs universités « mères ».

Jusqu’alors impossible au Maroc, la formation en technique de PMA des résidents de gynécologie-obstétrique est aussi désormais assurée directement par l’Université de Rabat et son CHU via le centre de PMA et le Centre national de la santé reproductive dont il fait partie.

Pour Yvon Englert, « le projet et le centre démontrent la possibilité d’un transfert de technologie complexe, comme la culture cellulaire, dans le secteur public et l’importance d’implémenter la capacité des universités marocaines à assurer une formation médicale très spécialisée au bénéfice du service public et des patients ».

Le centre de PMA, lancé à titre pilote depuis un peu plus d’un an, a déjà permis de prendre en charge de plus de 400 couples. Selon Yvon Englert, « on n’est pas au bout de ce qu’il y a moyen de faire ». L’équipe de recherche étudie la possibilité d’encore réduire les couts, sans impacter les résultats. La possibilité d’inclure la PMA dans la nomenclature des caisses de prévoyance sociale marocaines est aussi examinée en partenariat avec le centre. Enfin, sous l’impulsion de ce dernier, le ministère de la Santé travaille à l’élaboration d’un cadre légal et de normes sanitaires spécifiques à la PMA.


 

EN SAVOIR + :

Le centre de PMA a vu le jour dans le cadre d’un projet de coopération scientifique porté par les Prof. Yvon Englert (ULB) et Rachid Bezad (Université de Rabat), mené en partenariat avec l’ULg et financé via l’ARES par la Coopération belge au développement : « Développement, implémentation et évaluation d'un programme de Prise en charge à bas prix des problèmes de Stérilité du couple dans le Secteur Public au Maghreb: projet pilote et transfert de technologies – PSSP » (2009-2014)

 

Photo : Y. Englert

 

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L'ARES publie son premier rapport d'activités

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Premier bilan

"Ensemble"

Créée par le décret "Paysage" en tant que fédération des établissements d'enseignement supérieur de Wallonie et de Bruxelles, l'ARES a relevé le défi de rassembler au sein d’une même entité et en un lieu unique, les représentants des quatre formes d’enseignement supérieur et des collaboratrices et collaborateurs qui travaillaient pour des organismes et dans des lieux différents et qui, pour certains, ne se connaissaient pas, ne s’étaient jamais parlé et avaient parfois même des intérêts divergents.

La mise en place

Au-delà des aspects "logistiques" qui sont aussi évoqués dans le rapport, c'est tout le fonctionnement de l’institution qui a été mis en place et qui y est détaillé : déploiement de l'organigramme, recrutements, mise en route et entretien de la dynamique des instances de décision (le conseil d'administration et son bureau exécutif) et d'avis (chambres thématiques et commissions), définition des procédures comptables et de GRH, etc.

Le rôle structurant et de soutien aux établissements

Le rapport développe également le rôle structurant et de soutien aux établissements que joue l'ARES sur les questions académiques, dans l'internationalisation – notamment en partenariat avec Wallonie-Bruxelles Campus –, la coopération académique au développement – en tant qu'acteur non gouvernemental de la Coopération belge au développement –, ou les développements statistiques. Il passe en revue l'essentiel du travail qui vient en amont des avis formulés et des actions entreprises par l'ARES dans tous ces domaines. Par exemple : l'analyse,​ désormais​ collégiale et transparente, des demandes d'habilitation à organiser de nouveaux cursus, la définition d'une position commune sur les modalités d'organisation des cursus à horaire décalé​ ou encore l'évolution de certaines formation​s académiques ​de première importance comme celles de nos futurs ​kinés et infirmiers​. Il souligne aussi le travail très concret mené par l'ARES comme l'organisation du test d'orientation du secteur de la santé ou du tirage au sort des étudiants "non résidents", la coordination des activités de coopération au développement avec les pays du Sud, le soutien aux missions internationales, le travail d'appui à la commission chargée de l'examen des recours contre un refus d'inscription, etc.

Un regard prospectif

Ce premier rapport jette, pour conclure, un regard prospectif sur quelques-uns des enjeux pour l'enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles : le refinancement, la formation des enseignants, la formation en alternance, la réforme du système des passerelles, le suivi statistique de notre enseignement supérieur, etc.

Des défis aussi nombreux que cruciaux pour l'avenir et sur lesquels l'ARES est aujourd'hui déjà engagée.

 

Télécharger le rapport

Rapport d'activités 2014-2015. Janvier 2014 - septembre 2015. Bruxelles : ARES, décembre 2015.

Un exemplaire papier peut être obtenu gratuitement dès janvier 2016, moyennant disponibilité, sur demande adressée à publications@ares-ac.be

 

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