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Plus de 200 boursiers de 17 pays en développement font leur rentrée académique
Chaque année, l'ARES octroie 150 bourses de master et 70 bourses de stage à de jeunes professionnels des pays en développement dans le cadre du volet académique francophone de la Coopération belge. Les candidats retenus cette année parmi près de 3 200 demandes entameront dans quelques jours leur formation avant de repartir mettre au service de leur pays les compétences qu’ils et elles auront acquises dans les universités de la Fédération Wallonie-Bruxelles.
Plus de 200 boursiers et boursières issus de 17 pays en développement entameront dans quelques jours une formation dans les universités de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Ils et elles viennent suivre l'un des 13 masters de spécialisation ou des 5 stages de perfectionnement promus par l'ARES dans le cadre de sa politique de coopération au développement, avec le soutien financier de la Coopération belge.
Ces formations, qui figurent au catalogue « ordinaire » de l'offre des établissements, sont ouvertes à toute personne qui remplit les conditions d'admission, mais sont spécifiquement consacrées à des problématiques clés du développement. L'ARES finance, pour chacune d'elles, 12 bourses destinées aux ressortissants de 19 pays éligibles qui détiennent localement au minimum deux ans d’expérience professionnelle en lien avec la problématique ciblée et qui sont en mesure de produire une garantie de réinsertion au terme de leur séjour en Belgique.
Avec le programme de bourses en Belgique, l'ARES et les établissements d’enseignement supérieur poursuivent un objectif de transfert des connaissances et de renforcement des capacités individuelles d'acteurs de changement dans les pays en développement. En leur offrant la possibilité de suivre, en Fédération Wallonie-Bruxelles durant un an ou quelques mois, des formations qui ne sont pas ou insuffisamment organisées sur place, l’intention est qu’ils et elles puissent enrichir leurs compétences dans un contexte interculturel avant de repartir pour les mettre au service du progrès dans leur pays.
L’ARES est un important partenaire non gouvernemental de la Coopération belge au développement. Avec les universités, les hautes écoles et les écoles supérieures des arts de la Fédération Wallonie-Bruxelles, elle assure la définition et l’exécution du volet académique francophone de la Coopération belge, dont elle perçoit annuellement une subvention d’environ 30 millions d’euros pour soutenir des partenariats entre les établissements d'enseignement supérieur de la Fédération Wallonie-Bruxelles et des pays du Sud dans leurs missions de formation, de recherche et de service à la société.
Les boursiers et boursières seront officiellement accueillis le 19 octobre à l’occasion d’une journée d’étude consacrée aux questions d’égalité femmes-hommes et d’une soirée qui les rassembleront sur le campus de Gembloux Agro-Bio Tech de l'Université de Liège.
1187 non-résidents tirés au sort pour accéder aux filières contingentées de l’enseignement supérieur
Les étudiants et les étudiantes ne résidant pas en Belgique autorisés à s’inscrire dans les filières médicales et paramédicales contingentées de l’enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles ont été sélectionnés ce lundi 27 aout 2018 par tirage au sort. Sur un total de 3943 dossiers introduits, 1 187 demandes pouvaient être satisfaites. Les candidats et candidates avaient en moyenne environ une chance sur trois d’être sélectionnés.
En Fédération Wallonie-Bruxelles, l’accès des non-résidents au premier cycle d’études de huit filières médicales et paramédicales de l’enseignement supérieur est régulé par un système de contingentement : les bacheliers universitaires en médecine vétérinaire, en kinésithérapie et réadaptation, en sciences psychologiques et de l’éducation – orientation logopédie, en médecine et en sciences dentaires, et les bacheliers de haute école en kinésithérapie, en logopédie et en audiologie peuvent accueillir un maximum de 30 % d’étudiants et étudiantes ne résidant pas en Belgique à titre principal (20 % pour les vétérinaires).
Lorsque les demandes d’inscription des non-résidents dépassent les quotas, celles-ci sont départagées par tirage au sort – exception faite pour les deux filières d’études en médecine et en sciences dentaires, pour lesquelles l’éventuelle sélection est effectuée depuis 2017 en fonction des résultats à l’examen d’entrée.
3943 demandes d’inscription pour 6 filières
Cette année, 3943 candidats et candidates ne résidant pas en Belgique ont introduit un dossier pour entamer, en septembre 2018, l’un des 6 bacheliers concernés.
Pour ces cursus, les quotas sont établis sur la base des effectifs de l’année académique précédente.
1 187 dossiers sélectionnés
Les quotas 2018-2019 permettaient de satisfaire 1 187 candidatures qui ont donc été tirés au sort ce lundi 27 aout 2018.
La procédure est anonyme et menée sous la supervision d’un huissier de justice. Elle a été organisée de manière électronique et centralisée par l’ARES pour les cinq universités et pour six des huit hautes écoles concernées, les autres continuant à procéder elles-mêmes au tirage au sort. Au total l’ARES était donc en charge de 3347 dossiers sur les 3943.
En moyenne environ 1 chance sur 3 d’être retenu
En fonction des cursus, la « demande » était de 2 à 5 fois plus importante que le nombre de places disponibles (voir le détail en annexe). Par exemple, un non-résident candidat aux études en kinésithérapie avait cette année 36% de chance d’être retenu alors que pour des études de médecine vétérinaire, il ne pouvait compter que sur une probabilité de 20%.
Prévenir la saturation et les risques de pénurie en soins de santé
Les quotas ont été instaurés en Fédération Wallonie-Bruxelles en 2006. Ils visent à modérer la charge que les effectifs « non-résidents » représentent ainsi qu’à prévenir la saturation et la dépréciation de la qualité d’enseignement des cursus concernés. Surtout, ils visent à contenir les risques de pénurie en matière d’offre de soins de santé en favorisant le maintien d’une proportion suffisante de diplômés qui s’établiront et exerceront sur le territoire.
Depuis 1998, en vertu du principe de non-discrimination, les ressortissants d’un État membre de l’Union européenne peuvent s’inscrire dans l’enseignement supérieur aux mêmes conditions (notamment de droits d’inscription et de financement par les pouvoirs publics) que les nationaux.
Les principales filières médicales et paramédicales avaient été confrontées, dans ce contexte, à un accroissement des inscriptions en provenance de l’étranger – de France, en particulier –, où les restrictions d’accès rendent la Fédération Wallonie-Bruxelles d’autant plus attractive pour les étudiants et les étudiantes, sans qu’ils ou elles aient l’intention d’y rester et d’y exercer au terme de leur formation.
De 75 à 35%
En 2005-2006, les titulaires d’un diplôme secondaire étranger inscrits pour la première fois en première année du premier cycle de certains de ces cursus représentaient ainsi jusqu’à plus de 75 % des effectifs. Les chiffres avaient alors conduit la Fédération à envisager ces mesures dérogatoires au principe de libre circulation.
En 2016-2017, ils et elles représentaient, toutes filières confondues, environ 20% des inscriptions dans l’enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles. Dans les cursus contingentés, les deux cycles compris, ils comptaient en moyenne pour un peu plus d’un tiers (35 %) des effectifs.
Un fonds européen de compensation ?
Pour l’administrateur de l’ARES, Julien Nicaise, « l’importante demande d’inscriptions de ressortissants étrangers est un signe qui confirme l’attractivité de notre enseignement supérieur du fait de sa qualité, de son ouverture, mais également de son accessibilité ». Il ajoute cependant que « l’importance d’un tel phénomène de "reconnaissance" entraine, en contrepartie, une charge pour nos établissements d’enseignement supérieur, tant au niveau des infrastructures que de l’encadrement ».
Aujourd’hui le mécanisme de l’enveloppe fermée immunise notre système d’enseignement en termes de surcout financier, « mais en termes de couts réels, la charge est importante », insiste Julien Nicaise, qui estime donc que « la prise en charge d’étudiants non-résidents en particulier français dans de telles proportions pose sérieusement question. Des compensations, via un fond européen ou des mécanismes similaires dans le cadre d’accords bilatéraux devraient être mis en place ».
Annexe : Demandes d’inscription d’étudiant·e·s non-résident·e·s au bachelier de six filières médicales et paramédicales contingentées de l’enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles pour l’année 2018-2019
|
FILIERE |
DEMANDES |
QUOTA |
DEMANDE / OFFRE |
PROBABILITÉ D'ÊTRE RETENU·E |
|
|
Université
|
Vétérinaire
|
548
|
111
|
4,9
|
20 %
|
|
|
Kinésithérapie
|
623
|
290
|
2,1
|
47 %
|
|
|
Logopédie
|
255
|
69
|
3,7
|
27 %
|
|
Haute école
|
Kinésithérapie
|
1 961
|
502
|
3,9
|
26 %
|
|
|
Logopédie
|
525
|
199
|
2,6
|
38 %
|
|
|
Audiologie
|
31
|
16
|
1.9
|
52 %
|
|
TOTAL
|
|
3 943
|
1 187
|
Une quarantaine d'universités taïwanaises à la rencontre de leurs partenaires belges
Près d’une quarantaine de représentants d’établissements d’enseignement supérieur taïwanais, dont les présidents de neuf universités, sont à Bruxelles ces 11 et 12 juillet pour rencontrer leurs homologues belges, francophones et flamands. L’objectif pour nos établissements ? Renforcer leurs collaborations académiques et scientifiques avec les universités taïwanaises, qui comptent parmi les meilleures d’Asie.
La coopération académique et scientifique entre Taïwan et la Belgique peut encore certainement s'intensifier, notamment dans des domaines de recherche et d’innovation d’intérêt commun, tels que l’intelligence artificielle, les nanotechnologies ou encore les biotechnologies.
Depuis plusieurs années déjà, dans les établissements d’enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles, les regards se tournent de plus en plus vers Taïwan... Nos universités, hautes écoles et écoles supérieures des arts y ont multiplié les partenariats, essentiellement sous la forme de projets conjoints de recherche ou encore dans l’organisation de la mobilité étudiante. Mais cette coopération académique et scientifique peut encore certainement s'intensifier, notamment dans des domaines de recherche et d’innovation d’intérêt commun, tels que l’intelligence artificielle, les nanotechnologies ou encore les biotechnologies.
Au cours des derniers mois et à la demande des établissements, l’ARES a multiplié dans cette optique les contacts avec la représentation diplomatique de Taipei à Bruxelles, ainsi qu'avec la Foundation for International Cooperation in Higher Education of Taiwan, l’organisation taïwanaise en charge de la coopération internationale dans l’enseignement supérieur.
C’est à la suite de ces contacts répétés que l’ARES accueille, les 11 et 12 juillet 2018, une quarantaine de représentants d’universités taïwanaises pour une soirée de réseautage et une matinée de travail.
Au cours de cette matinée, les partenaires taïwanais et belges discuteront de leurs projets existants et en développement, mais aussi des enjeux spécifiques de l’internationalisation, comme le développement de programmes d’études conjoints, l’internationalisation "à domicile" ou encore de leur expérience des collaborations entre enseignement supérieur et industrie.
L’enseignement supérieur au cœur du développement économique, social, culturel et démocratique de Taïwan
Si les élites intellectuelles taïwanaises, principalement formées aux États-Unis, ont largement contribué au succès économique et social de l’île au sortir de la Seconde Guerre mondiale, elles ont très rapidement compris le rôle essentiel de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation et donc la nécessité d’investir dans ces secteurs pour poursuivre l’essor de Taïwan à long terme.
Plus de 13 milliards d’euros injectés dans le recherche et l’innovation.
Aujourd’hui, le gouvernement taïwanais consacre 2,1% du PIB à l’enseignement supérieur et, grâce à une politique volontariste à l’international, il a permis à ses plus grandes universités de devenir des leaders régionaux en Asie. De la même manière, le gouvernement investit massivement dans la recherche et l’innovation : ainsi en 2015, plus de 13 milliards d’euros ont été injectés dans le recherche et l’innovation.
Un système d’enseignement supérieur en pleine expansion et…
Le système d’enseignement supérieur taïwanais compte plus de 150 institutions dans lesquelles plus de 1,3 million d’étudiants sont inscrits dans un programme d’études supérieures. Malgré une taille de 5 à 6 fois supérieure à celle du paysage de l’enseignement supérieur de la Fédération Wallonie-Bruxelles, les deux systèmes partagent certaines caractéristiques – notamment dans l’organisation des études, la place des sciences humaines et sociales, la proportion assez élevée de doctorants, le caractère binaire avec des établissements et programmes plus professionnalisant et d’autres plus académiques.
Un plan de financement pluriannuel visant à aider les meilleures universités taïwanaises à acquérir une véritable stature internationale avec plus de 220 millions d’euros chaque année.
… tourné vers l’international
Sous l’impulsion des pouvoirs publics à nouveau, l’internationalisation des institutions taïwanaises s’est fortement renforcée au cours des 10 dernières années. Dès 2006, le gouvernement taïwanais développe un plan de financement pluriannuel visant à aider les meilleures universités taïwanaises à acquérir une véritable stature internationale. Chaque année, ce sont ainsi plus de 220 millions d’euros qui sont alloués – de manière concurrentielle – aux 12 meilleures universités de l’île. Et bien que les classements internationaux restent un indicateur très discutable, force est de constater que Taïwan est aujourd'hui le second pays asiatique avec le plus d’institutions reprises dans les principaux rankings.
Un mobilité étudiante assez limitée : 10 % d'étudiants étrangers et seulement 5 % de mobilité sortante.
Des défis persistants
Pourtant, à Taïwan, malgré cette volonté d’ouverture internationale, la mobilité étudiante (entrante et sortante) reste assez limitée. En moyenne, les institutions accueillent environ 10 % d’étudiants étrangers – essentiellement de la République populaire de Chine et des pays du Sud-est asiatique – et quelque 5 % des étudiants optent pour une mobilité vers l’étranger.
Le système d’enseignement supérieur taïwanais demeure, d'autre part, assez élitiste – du fait notamment d’un concours général d’admission à l’enseignement supérieur. Il est aussi très concurrentiel entre institutions, un trait de caractère qui explique, entre autre, une multiplication des opérateurs privés, qui représentent un important défi en termes de qualité de l’offre de formation.
#HigherEdBETW2018
La rencontre des 11 et 12 juillet à Bruxelles constitue une occasion unique pour les dirigeants des établissements taïwanais et belges de renforcer leurs collaborations. La matinée de travail sera l’occasion de mieux comprendre les réalités et les défis de chaque système d’enseignement supérieur, de mettre en évidence des projets existants de collaboration et de discuter sur des thématiques d’intérêt commun.
Offrir une image complète de l’excellence académique et scientifique que l’on retrouve en Fédération Wallonie-Bruxelles et en Flandre.
« À l’international, conclut Julien Nicaise, administrateur, l’ARES doit être un facilitateur des collaborations développées et mises en œuvre par nos établissements. Je suis donc ravi de voir que les contacts que nous avons noués avec FICHET, notre organisation-sœur à Taïwan, ont permis de faire venir les présidents et les représentants des plus prestigieuses universités taïwanaises. Je suis aussi heureux que nous ayons pu associer nos partenaires flamands, via le VLHUR, de manière à offrir une image complète de l’excellence académique et scientifique que l’on retrouve en Fédération Wallonie-Bruxelles et en Flandre. »
Mesetudes.be : le nouveau site web de référence sur les études supérieures en Fédération Wallonie-Bruxelles
Accessible depuis le 15 juin, mesetudes.be est « le » nouveau site web de référence sur l'enseignement supérieur en Fédération wallonie-Bruxelles. Publié à l’initiative du ministre de l’Enseignement supérieur et mis en œuvre par l’ARES, il rassemble l’essentiel de ce qu’il faut savoir sur les études et répertorie plus de 2 500 formations diplômantes ou certifiantes organisées par les établissements d'enseignement supérieur officiellement reconnus.
Un catalogue exhaustif de l'offre, réponse à la problématique des « fausses universités »
Mesetudes.be est centré sur un moteur de recherche qui répertorie l’ensemble des programmes d’études diplômants (bacheliers, masters…) ainsi que l’offre de formation continue certifiante (minimum 10 crédits) des 6 universités, 19 hautes écoles, 16 écoles supérieures des arts et 86 établissements d’enseignement supérieur de promotion sociale reconnus en Communauté française.
Le nouveau portail rend accessible un catalogue exhaustif des études et formations alimenté par des données centralisées, à jour et donc fiables. Il offre ainsi une réponse concrète à la problématique des « fausses universités », ces établissements privés dont certains s’approprient de façon abusive le vocabulaire de l’enseignement supérieur, mais ne délivrent aucun diplôme reconnu.
Des infos pour chaque profil
Avec des informations de première ligne sur plus de 2 500 programmes d’études, telles que les conditions d’accès, les modalités pédagogiques, la langue ou la géolocalisation, mesetudes.be est un incontournable pour qui souhaite obtenir un panorama complet, avant d’être redirigé, pour tous les détails, vers les sites web des établissements.
Mesetudes.be s’adresse principalement aux jeunes qui souhaitent entamer des études supérieures, mais également aux étudiantes et étudiants en cours de cursus ou aux adultes en reprise d’études.
Outre le moteur de recherche, il est aussi conçu comme un guide pour se familiariser avec l’univers de l’enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles. Du paysage institutionnel aux différents niveaux, diplômes et domaines d’études, en passant par l’organisation pratique d’un cursus et les possibilités offertes à chaque profil, l’utilisateur ou l’utilisatrice a ainsi la possibilité d’aborder le site selon son objectif personnel : commencer des études, changer d’orientation ou reprendre des études.
EN SAVOIR + : rendez-vous sur mesetudes.be
Irlande : un partenaire privilégié pour nos futurs partenariats académiques
<p><strong>L’Irlande a l’ambition de devenir un leader mondial de l’innovation et d’offrir, d’ici à 2025, le meilleur système d’enseignement supérieur en Europe. Les mesures prises au cours des 20 à 30 dernières années, dans un contexte économique favorable, ont déjà montré leurs effets. Avec l’ARES et l’agence WB Campus, nos établissements d’enseignement supérieur se rendent en Irlande du 16 au 18 mai pour développer et renforcer leurs collaborations.</strong></p>
<p>Via une coordination de l’ARES et la Commission des relations internationales (CRI), et avec l’appui de <a href="http://www.studyinbelgium.be" target="_blank" title="Study in Belgium">WB Campus</a>, une trentaine de représentants de nos institutions d’enseignement supérieur prendront part à cette mission interinstitutionnelle en Irlande. Si des collaborations académiques et scientifiques existent déjà (notamment dans le cadre des programmes européens « Erasmus+ » et « Horizon 2020 »), cette mission offre une opportunité unique de développer de nouvelles collaborations et d’en renforcer d’autres, notamment dans le contexte sensible du « Brexit », qui impactera l’ensemble des acteurs européens de l’enseignement supérieur et en particulier les institutions irlandaises.<br><br> </p><h2><strong>Un système d’enseignement supérieur en constante évolution</strong></h2><p>Au cours des deux dernières décennies, l’enseignement supérieur a joué un rôle central dans la transformation économique, sociale et culturelle de l’Irlande, à commencer par une augmentation rapide et constante du taux de participation à l’enseignement supérieur. Ainsi, alors qu’en 1980 seulement 20 % de la population irlandaise poursuivait des études supérieures, aujourd’hui près de 60 % de la population est inscrite dans une institution d’enseignement supérieur. Si bien qu’aujourd’hui l’Irlande possède un des taux les plus élevés de sa population âgée de 30-34 ans détenant un diplôme d’enseignement supérieur.<br><br> </p><blockquote><p><em><span style="color:#00a5bd;"><strong>Entre 2006 et 2017, le taux de la population âgée de 30-34 ans ayant obtenu un diplôme d’enseignement a évolué de 41,3 % à 53,5 %. Sur la même période, alors que la Belgique avait un taux similaire en 2006, celui-ci atteint aujourd’hui 45,9 %.</strong></span></em></p></blockquote><h2><br><strong>Un investissement public dans l’enseignement supérieur en baisse</strong></h2><p>Malgré les développements positifs dans l’enseignement supérieur irlandais, l’investissement des pouvoirs publics dans le secteur reste plus faible que la moyenne européenne et donc également plus faible que celui observé en Fédération Wallonie-Bruxelles. Pourtant, le gouvernement irlandais – à travers sa stratégie de financement de l’enseignement supérieur – souhaite renforcer les ressources pour les institutions, notamment en ce qui concerne les infrastructures de recherche.<br><br> </p><blockquote><p><em><span style="color:#00a5bd;"><strong>En 2017, l’Irlande a consacré 1,1 % de son PIB au secteur de l’enseignement supérieur – en compris les dépenses pour la recherche et le développement. Ce taux a constamment baissé depuis 2010 </strong></span></em><br><span style="color:#00a5bd;"><strong>Un attrait pour le français et la francophonie.</strong></span></p></blockquote><p><br>Le français est la première langue étrangère enseignée dans l’enseignement secondaire et dans les institutions d’enseignement supérieur irlandaises. Ainsi, en 2012, près de 55 % des élèves irlandais apprenaient le français comme première langue étrangère. Par ailleurs, les universités irlandaises disposent d’importants département de français et français appliqué avec une population étudiante stable au cours des 10 dernières années. De même, les instituts de technologie offrent des programmes partiellement en français, langue de spécialité ou langue appliquée : français des affaires, du tourisme et du droit notamment. Enfin, il est important de souligner que la France est le premier pays d’accueil d’étudiants irlandais en mobilité d’étude.<br><br> </p><blockquote><p><em><span style="color:#00a5bd;"><strong>En 2017, près de 25 % des étudiants irlandais en mobilité ont choisi la France comme destination, soit près de 600 étudiants. En Fédération Wallonie-Bruxelles, une trentaine d’étudiants seulement ont été accueilli dans un de nos établissements.</strong></span></em><br> </p></blockquote><h2><br>Le « Brexit » en ligne de mire pour les institutions irlandaise</h2><p><br>Le Royaume-Uni est le premier partenaire de l’Irlande. Dès lors, le « Brexit » constitue une menace non négligeable pour les institutions irlandaises. La mobilité des étudiants, des chercheurs et des professeurs entre les deux pays sera certainement impactée en premier lieu. En effet, en 2015-2016, plus de 12 000 étudiants ont circulé entre l’Irlande et le Royaume-Uni. Le « Brexit » amène dès aujourd’hui les institutions irlandaises à se repositionner auprès de ces partenaires de l’UE pour devenir le premier partenaire anglophone.<br><br> </p><blockquote><p><em><span style="color:#00a5bd;"><strong>Dans le cadre d’une enquête récente, 79 % des professeurs et chercheurs irlandais ont affirmé que leurs collaborations avec le Royaume-Uni étaient essentielles dans leur domaine. </strong></span></em></p></blockquote><h2><br><strong>Une dizaine de rencontres sur trois jours pour 35 représentants d’établissements d’enseignement supérieur</strong></h2><p>Outre des rencontres avec les organisations faitières irlandaises que sont <a href="https://www.iua.ie/" target="_blank" title="Irish Universities Association">Irish Universities Association</a>, <a href="http://www.thea.ie" target="_blank" title="Technological Higher Education Association">Technological Higher Education Association</a> ou encore <a href="http://hea.ie/" target="_blank" title="Higher Education Authority">Higher Education Authority</a>, la délégation académique visiteront les principales universités et instituts de technologie à Dublin, Galway et Limerick. Ces rencontres seront l’occasion d’échanger sur les derniers développements au sein des paysages de l’enseignement supérieur respectifs, de mettre en évidence les collaborations existantes mais surtout de discuter de pistes pour renforcer les partenariats. « <em>Dans le contexte actuel du ‘Brexit’, les membres de la Commission des relations internationales </em>(CRI) <em>de l’ARES ont estimé essentiel de renforcer le dialogue avec les partenaires irlandais et de leur rappeler notre volonté forte de travailler ensemble </em>»<em>, </em>souligne le professeur Serge Jaumain, président de la CRI.</p><p>Et Julien Nicaise, administrateur de l’ARES de rajouter sur la mission académique : « <em>C’est un des rôles majeurs de l’ARES que d’appuyer les établissements dans le développement de leurs collaborations. Je suis d’ailleurs ravi de voir qu’un nombre important de hautes écoles seront représentées et que cette mission ait été organisée par la CRI sous le pilotage de la directrice des relations internationales de la HE Vinci, Maïté Abram </em>».</p><p><br><a href="https://twitter.com/search?f=tweets&q=%23ARESmissionIE&src=typd…; target="_blank">#ARESmissionIE</a><br> </p><p><strong>Composition de la délégation :</strong></p><ul><li>Maïté Abram (HE Vinci)</li><li>Jonathan Bangels (WBI)</li><li>Henrich Brunke (Université de Namur)</li><li>Carine Closter (HENALLUX)</li><li>Gertrude Croé (HE Vinci)</li><li>Julie David (WB Campus)</li><li>Christine Demaecker (ULB)</li><li>Catherine Finozzi (HE Condorcet)</li><li>Patrick Galliez (HERS)</li><li>Martine Gérard (HELHa)</li><li>Nathalie Gerlach (HEPL)</li><li>Christian Goethals (HELHa)</li><li>Julie Guiot (HELMo)</li><li>Sophie Henrard (HE Galilée, IHECS)</li><li>Camille Kelbel (ULB)</li><li>Caroline Laloux (ICHEC)</li><li>Bénédicte Ledent (ULiège)</li><li>Anne Ledoux (HE Vinci)</li><li>Fanny Lutz (USL-B)</li><li>Florence Maertens (ARES)</li><li>Pierre Meulenyzer (HEH)</li><li>Kristien Minet (ICHEC)</li><li>Margaret Mulcahy (UCL)</li><li>Elisabeth Plard (HEFF)</li><li>Laetitia Pozniak (UMONS)</li><li>Olivier Praz (HELMo)</li><li>Yves Satinet (HERS)</li><li>Aude Segers (UMONS)</li><li>Cécile Thuillier (ESA Saint-Luc Bruxelles)</li><li>Murielle Thunus (HENALLUX)</li><li>Véronique Van Cauter (HEAJ)</li><li>Alain Vande Wouwer (UMONS)</li><li>Gunther Vranken (ULiège)</li></ul><p> </p><p> </p><p><span lang="EN-US">Photo : </span> <a href="https://creativecommons.org/licenses/by-sa/2.0/" title="Creative Commons Attribution-Share Alike 2.0<p></p>"><span lang="EN-US">CC BY-SA 2.0</span></a> <span lang="EN-US"> / </span><a href="https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Flag_of_ireland.jpg" target="_blank" title="https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Flag_of_ireland.jpg"><span lang="EN-US">https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Flag_of_ireland.jpg</span></a><… lang="EN-US"> / ARES</span></p><p> </p>
Visite d’État au Canada : langues, numérique et accords pour la plus importante délégation académique jamais constituée
Quelque 80 représentants du secteur de l’enseignement supérieur et de la recherche – dont une quarantaine pour la Fédération Wallonie-Bruxelles – s’envolent ce dimanche pour le Canada où ils accompagnent les Souverains à l’occasion de la visite d’État programmée entre ces 11 et 17 mars. L’occasion de mettre en lumière les collaborations existantes et de préparer… ou de signer de nouveaux partenariats.
Première destination extraeuropéenne des étudiants francophones de Belgique en mobilité sortante, le Canada est aussi un partenaire stratégique de premier ordre pour les établissements d’enseignement supérieur de la Fédération Wallonie-Bruxelles.
Fort de ses 93 universités – dont 3 figurent au top 100 mondial – et 250 « collèges » (l’équivalent de nos hautes écoles) regroupant quelque 2 millions d’étudiants, le pays peut s’appuyer sur un système éducatif solidement financé à hauteur de 6 % de son PIB, qui a, par exemple, généré au cours des 9 dernières années plus d’1,5 million d’emplois nets pour les seuls diplômés des universités.
Parmi la quinzaine d’activités prévues pour la plus importante délégation académique jamais constituée pour une visite d’État, quatre « temps forts » baliseront le programme, d’Ottawa à Montréal, en passant par Toronto :
- Les expériences et expertises que la Belgique et le Canada partagent en matière d’enseignement multilingue seront mises en lumière à l’occasion d’un séminaire scientifique qui aura lieu, en présence de SM le Roi, le mardi 13 mars à l’Université d’Ottawa, l’une des plus importantes universités bilingues de par le monde.
Après avoir brossé un tableau général de l’apprentissage des langues dans les deux pays, il s’agira de présenter les résultats des recherches les plus récentes menées sur les questions d’enseignement en immersion et d’apprentissage linguistique en contexte universitaire. Le séminaire sera suivi d’un déjeuner au cours duquel les conclusions seront discutées avec SM la Reine.
- La délégation académique et le ministre-président Rudy Demotte seront reçus, le mercredi 14 mars, sur le campus de l’Université de Toronto. L’occasion de développer les liens avec une université, qui compte parmi les mieux classées du pays, mais avec laquelle il n’existe pour l’heure encore aucun accord spécifique.
- Le jeudi 15 mars, à l’Université de Montréal, une série de tables rondes académiques, conclues en présence de SM le Roi, seront consacrées aux innovations technopédagogiques par le numérique. Elles couvriront trois thèmes : les inégalités en termes de compétences numériques à l’entrée du supérieur, la qualité des cours en ligne et la formation des enseignants aux technologies.
- Enfin, les collaborations en recherche fondamentale seront, quant à elles, au cœur d’une rencontre de haut niveau entre les fonds belges de la recherche scientifique (FRS-FNRS et FWO) et leur homologue québécois (FRQ). L’évènement, conçu comme l’occasion d’insister, projets à l’appui, sur la pertinence des accords bilatéraux pour l’avancement des connaissances se prolongera par un déjeuner présidé par SM la Reine.
« Le volet académique et scientifique des visites d’État est aujourd’hui reconnu, à juste titre, comme le complément naturel de leurs aspects économiques », se réjouit Julien Nicaise, administrateur de l’ARES, qui note qu’« à l’heure actuelle, les partenariats internationaux de recherche, d’échanges d’étudiants ou de personnel, de programmes conjoints ou de codiplômation, sont incontournables, tant pour nourrir nos relations diplomatiques que pour renforcer la dimension internationale de nos établissements d’enseignement supérieur dans un contexte mondial toujours plus compétitif ».
Véritable « sésames » et opportunités uniques d’accroitre la visibilité des acteurs de l’enseignement supérieur, les visites d’État sont des moments privilégiés pour les relations internationales des établissements. « Avec le soutien de nos Souverains et avec plusieurs ministres de l’État fédéral et des entités fédérées aux côtés de nos universités et de nos hautes écoles, le renforcement de nos liens et de nos échanges internationaux, ici avec le Canada, s’en trouve facilité ».
Du côté francophone, la visite d’État sera ponctuée par la signature de 11 accords de coopération académique et scientifique, dont 3 signés par 2 hautes écoles.
EN SAVOIR + : https://www.belgianstatevisit.be/
Réussir ses études : des parcours types aux dispositifs d'aide
Que signifie aujourd'hui "réussir ses études" ? Des différents types de parcours de réussite aux meilleures façons d'accompagner les étudiants, l'aide à la réussite était au coeur de la journée organisée ce mardi 27 février autour des résultats d'une étude menée par l'ARES sur les parcours et les formes de soutien apporté aux étudiants dans les établissements d'enseignement supérieur de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Les principaux constats et les principales conclusions de cette recherche sont à présent disponibles sous la forme d'un résumé du rapport de recherche, dont la version complète, elle aussi, sera bientôt en ligne.
Les pratiques de promotion de la réussite et d’accompagnement des étudiants de l’enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles connaissent, ces dernières années, un développement à la fois quantitatif et qualitatif et une "institutionnalisation" croissante. Et pourtant, l’échec et l’abandon persistent... Serait-ce donc une "fatalité" dans un système d'enseignement supérieur où l'accès est "ouvert" comme le nôtre (avec peu de filtres à l'entrée) ? Ou encore une résultante assez logique de l'augmentation très significative du nombre d'étudiants qui entament des études supérieures ces dernières années ? Existe-t-il des obstacles expliquant que l'offre d'aide à la réussite ne rencontre pas toujours les besoins des étudiants ?
La recherche autour de laquelle la journée était construite se base sur les réponses apportées par 2505 étudiants "diplômables" au terme de l'année académique 2016-2017 et qui ont été interrogés par questionnaire en 2017, ainsi que sur l'analyse de 17 entretiens qualitatifs réalisés en août et septembre 2017 auprès d'un échantillon des répondants. Elle avait pour but de s’interroger sur la notion de réussite et de mettre en évidence des "parcours de réussite" dans le premier cycle de l’enseignement supérieur. Avec, en toile fond, la réforme de l'organisation académique des études entrée en vigueur en 2014, qui a vu "disparaitre" le principe d'année d’études et le concept de réussite évoluer. Quelles sont les principales conclusions ?
"Le parcours d'un étudiant qui réussit trois blocs de 60 crédits en trois ans n'est qu'un exemple parmi d'autres"
9 profils types de parcours de réussite
Le parcours d'un étudiant qui réussit trois blocs de 60 crédits en trois ans n'est qu'un exemple parmi d'autres. En élargissant le spectre, la recherche a permis de mettre en évidence, auprès des étudiants, différentes formes de résilience et de stratégies, et d'aboutir à la caractérisation de neuf profils types de "parcours de réussite" conjuguant durée (parcours direct, intermédiaire et long) et degré de personnalisation (classique, personnalisé, très personnalisé).
Dix indices regroupant des variables "individuelles" susceptibles d'influencer les parcours ont également été construits et mis en relation avec ces profils. Il s'agissait ici notamment de vérifier la mesure dans laquelle le fait de "posséder" telle caractéristique impactait la probabilité de s'inscrire dans un tel parcours de réussite, sans toutefois que ces corrélations impliquent des liens de causalité. L'analyse permet ainsi d'observer que les étudiants de l'enseignement supérieur artistique suivent davantage un parcours direct que les autres. Ou, plus étonnant, qu'un soutien pédagogique important ne signifie pas nécessairement "parcours direct", ce qui tend à remettre en cause l'idée selon laquelle ceux qui bénéficient de l'aide à la réussite sont ceux qui en ont le moins besoin.
"La réussite semble ainsi aujourd'hui reposer sur une adaptabilité des parcours d'autant plus nécessaire que l'étudiant est, par exemple, âgé, que son "capital culturel" est faible ou qu'il travaille parallèlement à ses études"
L'adaptabilité des parcours au service de la réussite
A partir de ces parcours, précise Leila Mouhib, chargée de recherche à l'ARES, "l'idée était aussi de mettre en lumière les dispositifs d'aide qui ont permis aux étudiants, notamment ceux en difficulté, d'arriver au bout de leur bachelier, pour favoriser leur mise en perspective, identifier leurs dénominateurs communs, et favoriser leur potentielle adaptation aux besoins et aux perceptions des bénéficiaires".
Là où les variables "individuelles" ne permettent pas de prédire le type de parcours d'un étudiant, l'analyse des données du questionnaire – et, plus encore, les récits livrés au cours des entretiens individuels – fait, elle, apparaitre un terreau propice à la réussite, comme autant de "dénominateurs communs".
La réussite semble ainsi aujourd'hui reposer sur une adaptabilité des parcours d'autant plus nécessaire que l'étudiant est, par exemple, âgé, que son "capital culturel" est faible ou qu'il travaille parallèlement à ses études. Par exemple, pour Raphaël*, qui émarge à l'aide sociale, le principe de la capitalisation de crédits et le fait de ne plus "réussir" ou "échouer" une année facilite la décision du Centre public d'action sociale de continuer à subvenir à ses besoins...
"Les dispositifs d'aide à la réussite sont mieux reçus si ils ne sont pas présentés comme tels ou de telle sorte qu'ils puissent être perçus comme autant de 'béquilles de secours'"
L'aide à la réussite avancerait-elle mieux masquée ?
Autre enseignement : les dispositifs d'aide à la réussite sont mieux reçus si ils ne sont pas présentés comme tels ou de telle sorte qu'ils puissent être perçus comme autant de "béquilles de secours". Un séminaire méthodologique ouvert à tous ? Des guidances, même sur base volontaire ? De tels éléments ne sont (curieusement) pas toujours perçus comme une forme d'aide à la réussite et semblent d'autant plus "attirants" qu'ils sont généraux et qu'ils ne ciblent pas les étudiants en difficulté.
Et que dire de la disponibilité des enseignants ? Parmi un éventail de 13 outils d'aide à la réussite, c'est elle que les étudiants interrogés plébiscitent. Elle recueille un taux de satisfaction moyenne de 43,3 % là, où, en queue de peloton, on retrouve les blocus assistés, le parrainage et les tests diagnostics...
*prénom d'emprunt
EN SAVOIR + : Pour en savoir plus, et notamment découvrir les autres conclusions de l'étude, consultez le rapport intégral de recherche ou le résumé du rapport.
Télécharger le rapport intégral de recherche (PDF - 2148 Ko)
Téléchargez le résumé du rapport de recherche (PDF - 800 Ko)
L'étude Réussir ses études. Quels parcours ? Quels soutiens ? Parcours de réussite dans le premier cycle de l'enseignement supérieur - Fédération Wallonie-Bruxelles a été réalisée par Leila Mouhib, chargée de recherche à l’ARES, à l'initiative et sous la supervision de la Commission d’aide à la réussite, et a bénéficié du soutien financier de la Fédération Wallonie-Bruxelles.